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Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
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Leroy de Louvière
Svetlana Mikhaïlov
Lucas Crawd
Xenia P. Romanova
Mangemort
9 participants
Les Maraudeurs R.P.G :: ECOSSE :: PRE-AU-LARD :: Pré-au-Lard :: Cabane hurlante
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Xenia était vraiment énervée mais sentir la main de sa cousine dans la sienne la calma quelque peu. Le rouge pétard de se cheveux devinrent orange fluo. Elle regardait autour d'elle prête à taper sur le Serpentard de pacotille. Tout le monde semblait tendu. Comme si quelque chose allait leur tomber sur la tête. Xenia elle avait juste l'impression qu'aujourd'hui ce n'était pas son jour et qu'on s’évertuait à la mettre dans tous ses états.
Ce qui se produisit par la suite Xenia le comprit, mais ne sut que faire et resta bouche bée. Elle regardait tout autour d’elle pour débusquer le fameux Serpentard quand elle vit Gabrielle en compagnie d’une sorte d’ombre disparaître dans un nuage de fumée. Xenia regarda interloqué à l’endroit où la blonde se tenait il y avait encore quelques minutes. C’est à ce moment là que Lucas commença à la chercher comme si, ayant un sixième sens il avait senti sa disparition. Xenia sortit également sa baguette. Elle aussi commençait à sentir la peur sur ses épaules. Une peur tenace et tranchante. Une véritable épée de Damoclès. Elle allait parler ouvrir la bouche pour dire que Gabrielle avait disparut dans un nuage noir quand elle perçut non loin d’eux ce même nuage. Elle voulu criait « c’est ça qui à pris Gaby » mais c’était déjà trop tard. Elle venait de voir son petit-copain se prendre un sortilège de Lanceflèche en plein dans l’épaule. Xenia porta lâcha la main de sa cousine et porta ses mains devant sa bouches pour ne pas crier. Elle sentait que ses larmes n’allaient pas tarder à jaillir par flot. Elle se précipita vers lui, mais n’osa pas le toucher. Il semblait hébété par ce qu’il venait de subir et semblait ne pas encore prendre conscience de ce qui venait de se passer. Il était à genoux devant elle et elle ne savait pas quoi faire. Les larmes ne pouvaient plus être contenues et roulèrent sur ses joues. Plus de cheveux orange fluo. Ses cheveux étaient noirs comme de l’encre chinoise. Noir de douleur et désespoir. Ses yeux bleus devinrent également de cette couleur. Elle vit Lucas tentait d’enlever la flèche qu’il avait reçu et qui l’avait totalement transpercer de part en part. Elle tentait de reprendre ses esprits mais voir son sang rougir la neige autour de lui la paralyser. Si c’était quelqu’un d’autre peut-être aurait-elle mieux réagis ? Là, face au garçon qu’elle aimait elle se sentait démunie. C’était comme si elle avait reçu cette même flèche et qu’elle ressentait sa douleur. Elle avait elle même très mal de le voir ainsi.
Quand elle réussis à prendre plus ou moins contenance pour se pencher vers lui et l’aider à se relever. Un cri strident s’échappa de la Cabane Hurlante. Cela n’avait rien avoir avec les cris qui s’en échappaient d’habitudes. Celui là était celui de fille, ce n’était pas un râle. Lucas comprit immédiatement et elle aussi. Cette fille qui criait à en fendre l’âme c’était Gabrielle. Lucas se releva et couru en criant son nom. Xenia était de nouveau paralyser, elle regarda de nouveau le sang dans la neige, essuya se larmes rageusement et couru à la poursuite de l’amour de sa vie. Elle commençait à retrouver une certaine hargne et elle savait qui les attaquaient. Elle avait déjà vu ce type de transplanage, elle avait déjà vu ce type de cape, ces masques … Son grand-père en avait également. Elle l’avait trouver dans son bureau une fois dans le vieux manoir familial. Serrant fermement sa baguette elle entra à la suite de Lucas et le vit allonger sur le sol. Il y avait trois personnes debout. Tous porter les mêmes vêtements. Elle le jaugea avec dégoûts et s’adressa à eux avec un ton fier. Ses cheveux n’étaient plus noirs, il avait retrouvé leur blond presque blanc comme la neige. Ses yeux céruléens montrer un grand mépris. Elle ne pouvait voir leur visage, mais elles savaient que la dessous ils devaient étirer leur lèvres en un sourire satisfait d’eux. Il en avait déjà 3 sur 5. Xenia lança alors avec mépris :
« Les Mangemorts, les sangs pures sont tombés bien bas pour s’en prendre à des pauvres élèves de Poudlard. »
Elle ne tentait pas encore de lancer un sort. A quoi bon ? Il était trois et elle était seule et avait deux idiots sur le sol. Elle regarda Lucas avec un mélange de douleur et de rancœur. Il avait réagis comme un fou. D’abord il l’avait amené ici pour sa Gabrielle, maintenant il l’amenait à se jeter dans la gueule du loup pour cette même fille. Elle lui avait dit qu’elle ferait tout pour lui et leur amour. Elle le faisait, mais que tout ce qu’elle faisait ait pour origine Gabrielle cela la m’était dans une rage et une rancœur monstre. Elle aperçut d’ailleurs la jeune fille sur le sol convulsant encore. Elle avait dut avoir un endoloris. Xenia leva les mains pour montrer qu’elle voulait juste s’approcher de Lucas. Elle savait qu’elle aussi risquerait de se faire torturé. Pour une fois, elle compté quand même sur son rang, son nom de famille et son sang pour les faire sortir de là. Près de Lucas elle s’assura qu’il était encore vivant. Son cœur battait la chamade. Quand elle vit qu’il respirait encore, elle leur cracha :
« Vous devriez vous renseigner sur qui vous attaquez »
Elle s’attendait d’un instant à l’autre à être aussi torturé, mais pour autant elle ne baissa pas les yeux. Elle priait juste pour que les deux autres, bien plus intelligent qu’eux, n’allaient pas se précipité dans la gueule du loup et allaient donner l’alerte.
Ce qui se produisit par la suite Xenia le comprit, mais ne sut que faire et resta bouche bée. Elle regardait tout autour d’elle pour débusquer le fameux Serpentard quand elle vit Gabrielle en compagnie d’une sorte d’ombre disparaître dans un nuage de fumée. Xenia regarda interloqué à l’endroit où la blonde se tenait il y avait encore quelques minutes. C’est à ce moment là que Lucas commença à la chercher comme si, ayant un sixième sens il avait senti sa disparition. Xenia sortit également sa baguette. Elle aussi commençait à sentir la peur sur ses épaules. Une peur tenace et tranchante. Une véritable épée de Damoclès. Elle allait parler ouvrir la bouche pour dire que Gabrielle avait disparut dans un nuage noir quand elle perçut non loin d’eux ce même nuage. Elle voulu criait « c’est ça qui à pris Gaby » mais c’était déjà trop tard. Elle venait de voir son petit-copain se prendre un sortilège de Lanceflèche en plein dans l’épaule. Xenia porta lâcha la main de sa cousine et porta ses mains devant sa bouches pour ne pas crier. Elle sentait que ses larmes n’allaient pas tarder à jaillir par flot. Elle se précipita vers lui, mais n’osa pas le toucher. Il semblait hébété par ce qu’il venait de subir et semblait ne pas encore prendre conscience de ce qui venait de se passer. Il était à genoux devant elle et elle ne savait pas quoi faire. Les larmes ne pouvaient plus être contenues et roulèrent sur ses joues. Plus de cheveux orange fluo. Ses cheveux étaient noirs comme de l’encre chinoise. Noir de douleur et désespoir. Ses yeux bleus devinrent également de cette couleur. Elle vit Lucas tentait d’enlever la flèche qu’il avait reçu et qui l’avait totalement transpercer de part en part. Elle tentait de reprendre ses esprits mais voir son sang rougir la neige autour de lui la paralyser. Si c’était quelqu’un d’autre peut-être aurait-elle mieux réagis ? Là, face au garçon qu’elle aimait elle se sentait démunie. C’était comme si elle avait reçu cette même flèche et qu’elle ressentait sa douleur. Elle avait elle même très mal de le voir ainsi.
Quand elle réussis à prendre plus ou moins contenance pour se pencher vers lui et l’aider à se relever. Un cri strident s’échappa de la Cabane Hurlante. Cela n’avait rien avoir avec les cris qui s’en échappaient d’habitudes. Celui là était celui de fille, ce n’était pas un râle. Lucas comprit immédiatement et elle aussi. Cette fille qui criait à en fendre l’âme c’était Gabrielle. Lucas se releva et couru en criant son nom. Xenia était de nouveau paralyser, elle regarda de nouveau le sang dans la neige, essuya se larmes rageusement et couru à la poursuite de l’amour de sa vie. Elle commençait à retrouver une certaine hargne et elle savait qui les attaquaient. Elle avait déjà vu ce type de transplanage, elle avait déjà vu ce type de cape, ces masques … Son grand-père en avait également. Elle l’avait trouver dans son bureau une fois dans le vieux manoir familial. Serrant fermement sa baguette elle entra à la suite de Lucas et le vit allonger sur le sol. Il y avait trois personnes debout. Tous porter les mêmes vêtements. Elle le jaugea avec dégoûts et s’adressa à eux avec un ton fier. Ses cheveux n’étaient plus noirs, il avait retrouvé leur blond presque blanc comme la neige. Ses yeux céruléens montrer un grand mépris. Elle ne pouvait voir leur visage, mais elles savaient que la dessous ils devaient étirer leur lèvres en un sourire satisfait d’eux. Il en avait déjà 3 sur 5. Xenia lança alors avec mépris :
« Les Mangemorts, les sangs pures sont tombés bien bas pour s’en prendre à des pauvres élèves de Poudlard. »
Elle ne tentait pas encore de lancer un sort. A quoi bon ? Il était trois et elle était seule et avait deux idiots sur le sol. Elle regarda Lucas avec un mélange de douleur et de rancœur. Il avait réagis comme un fou. D’abord il l’avait amené ici pour sa Gabrielle, maintenant il l’amenait à se jeter dans la gueule du loup pour cette même fille. Elle lui avait dit qu’elle ferait tout pour lui et leur amour. Elle le faisait, mais que tout ce qu’elle faisait ait pour origine Gabrielle cela la m’était dans une rage et une rancœur monstre. Elle aperçut d’ailleurs la jeune fille sur le sol convulsant encore. Elle avait dut avoir un endoloris. Xenia leva les mains pour montrer qu’elle voulait juste s’approcher de Lucas. Elle savait qu’elle aussi risquerait de se faire torturé. Pour une fois, elle compté quand même sur son rang, son nom de famille et son sang pour les faire sortir de là. Près de Lucas elle s’assura qu’il était encore vivant. Son cœur battait la chamade. Quand elle vit qu’il respirait encore, elle leur cracha :
« Vous devriez vous renseigner sur qui vous attaquez »
Elle s’attendait d’un instant à l’autre à être aussi torturé, mais pour autant elle ne baissa pas les yeux. Elle priait juste pour que les deux autres, bien plus intelligent qu’eux, n’allaient pas se précipité dans la gueule du loup et allaient donner l’alerte.
Xenia P. RomanovaHer Royal Highness Princess Xenia Petrovna Romanova of Russia - Messages : 570
Date d'inscription : 05/10/2010
Age : 32
Localisation : Paradise
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Leroy entendit les derniers mots de Sveltlana. Lui non plus n’appréciait guère la situation. Qu’ils soient aussi loin du village l’inquiétait d’un coup…Les alentours étaient pourtant tranquilles, mais il sentait la nervosité des autres, qui faisait écho à la sienne. Tous tendus, ils ne pouvaient s’empêcher d’observer les alentours. Les étendues neigeuses, silencieuses, prenaient presque une allure menaçante.
Le Poufsouffle qu’il ne connaissait pas prit la parole pour répondre à sa question. Apparemment, il n’avait rien remarqué en venant. Il semblait énervé par la situation, agacé plutôt comme s’il en avait marre. Xenia et Sveltlana avaient également sorti leur baguette et Leroy n’avait pas rangé la sienne depuis sa chute. Rien ne bougeait encore. Leur souffle dessinait des nuages de buée devant leur bouche, mais c’était bien la seule trace de vie perceptible. Les auteurs de la blague devaient être bien cachés…Leroy commençait à douter qu’il s’agît d’élèves. Mais alors…
Le Poufsouffle le fit sursauter en appelant la Gryffondor qui était restée en arrière. Curieux qu’elle ne les ait pas encore rejoints, elle avait été la première du petit groupe à le voir tomber. Leroy jeta un coup d’œil vers la Cabane hurlante. Personne en vue. Comment était-ce possible ? La Gryffondor serait-elle entrée dans la vieille bâtisse ? Pourquoi ? Leroy continuait de sonder les environs, les sens en alerte, mais l’attaque le prit au dépourvu.
Un nuage noir se forma soudain au centre de leur groupe, sans qu’ils aient le temps de réagir, et s’évanouit presque aussitôt, comme un mauvais rêve. Mais il avait laissé des traces de son passage. L’air stupéfait, le Poufsouffle porta la main à son épaule gauche, où naissait une fleur de sang qui s’élargissait peu à peu, autour de la hampe de bois d’une flèche. Le garçon tomba à genoux sous le coup de la douleur. Tout un panel de sorts défila dans l’esprit de Leroy, mais aucun qui puisse remédier au Lanceflèche. Une pensée incongrue, inepte dans une telle situation lui vint en tête. Pourquoi donc ne recevaient-ils pas de cours de premiers soins à Poudlard ? C’aurait été bien plus utile que la Divination ! Mais il songerait à cela plus tard, s’il sortait vivant de cette histoire…
Car Leroy savait qui transplanait de cette manière. Il n’y avait qu’eux pour laisser une telle traînée noire dans leur sillage, comme des oiseaux de mauvais augure. La rapidité de l’attaque ne leur avait pas laissé le temps d’entrevoir les capes et les masques, mais Leroy n’en avait pas besoin. De nouveau en décalage complet avec la situation, comme si son cerveau ne voulait pas admettre et comprendre la réalité de ce qu’il vivait et préférait se concentrer sur des détails mineurs, il se demanda vaguement s’il connaissait les agresseurs. Les amis de son père, ceux dont il avait rejoint les rangs, venaient souvent dans leur manoir autrefois ; le garçon les avait rencontrés à maintes reprises, surtout quand son père avait voulu le faire admettre parmi eux. Désormais, il n’était plus, pour eux, qu’un traître à son sang. Leroy se secoua, reprenant brutalement prise avec la réalité. Combien de temps était-il resté sous le choc ? Trop longtemps sûrement.
Le Serdaigle gardait encore sa baguette à la main, et ce fut heureux. Il perçut plus qu’il ne vit le nuage noir qui apparaissait à quelque distance, sentit le danger. Dans un mouvement de défense, sans réfléchir, il pointa sa baguette, songea : « Protego ! ». Articuler lui aurait fait perdre un temps trop précieux. Le bouclier doré se dressa devant leur petit groupe à la dernière seconde. L’éclair de stupéfixion qui lui était destiné rebondit sur l’écran protecteur dressé devant lui et se dissipa aussitôt. Raté pour cette fois. Le nuage noir disparut. Impossible de savoir qui était derrière. Carrow, Lestrange, Black, Rosier, Nott, Malefoy…Louvière…les noms défilèrent dans son esprit. Concentre-toi, bon sang !
Leroy pivotait sur lui-même aux aguets, prêt à parer une autre attaque, mais soudain, un hurlement strident retentit, déchira l’air. Le Serdaigle devint livide. La Gryffondor ! Il ne savait que trop bien quel sort ces fous furieux lui lançait pour lui arracher un tel cri. Le souvenir des Doloris jetés par son père et de la douleur provoquée était encore vivace en lui. Son cœur se serra à la pensée de ce qu’elle devait ressentir. Il devait agir !
Le Poufsouffle l’avait devancé, s’élançant dès que le cri avait jailli. Xenia, qui l’avait aidé à se relever, n’avait pas tardé à suivre le mouvement. Tous deux atteignaient déjà la Cabane hurlante. Leroy hésita à peine avant de leur emboîter le pas, prenant juste le temps d’envoyer une nuée d’étincelles rouges au-dessus de la Cabane hurlante et d’enjoindre du regard à Sveltlana de se mettre à l’abri. Il ne voulait pas qu’il lui arrive malheur en plus. Le garçon espérait que des gens du village apercevraient ses étincelles et donneraient l’alerte ; malgré le temps couvert, les éclats de lumière devaient pouvoir se distinguer. Sans doute aurait-il été plus sage de courir au village, de donner l’alerte pour de bon, de ne pas parier sur le nombre d’habitants qui auraient le nez tourné vers l’endroit. Quitter enfin les parages en espérant que les Mangemorts n’auraient pas le temps de faire trop de dégâts, mais cette pensée même lui répugnait. Il avait fui assez souvent, et il ne laisserait jamais personne endurer la torture des Mangemorts sans lui venir en aide ! Le garçon avait déjà perdu des amis chers par leur faute ; il ne reculerait plus maintenant. Quoi qu’il puisse lui en coûter. Même si son sang avait encore quelque valeur pour les sbires de Voldemort, cela ne signifiait pas qu’ils l’épargneraient pour autant. Il les avait quittés, ils voulaient le lui faire payer. Mais peu importait. Il n’était pas assez lâche pour fuir et abandonner les autres.
Finalement, n’était-ce pas pour ce genre de situation que son père l’avait entraîné ? Il l’avait formé pour qu’il sache se battre, qu’il acquiert des réflexes, qu’il soit capable de vaincre enfin ses adversaires. Bon, le chef de famille des Louvière n’envisageait pas alors que son unique héritier oserait changer de camp. Mais l’entraînement demeurait. Et Leroy n’avait cessé de s’exercer, d’augmenter sa rapidité en pratiquant autant que possible les sortilèges à Poudlard.
Il atteignit le seuil de la Cabane peu de temps après les deux autres. Xenia avait rejoint le Poufsouffle, défiant les Mangemorts présents. La Gryffondor inconnue était au sol, convulsant encore après l'effet du sortilège. Sans entrer vraiment, Leroy utilisa de nouveau le Charme du Bouclier pour dresser une protection autour des deux filles de Gryffondor et du Poufsouffle. C’était dérisoire, peut-être, face à la puissance que pouvaient les Mangemorts, mais les trois autres élèves étaient hors d'atteinte pour quelques instants. Leroy entendait bien faire comprendre Au Mangemorts qu’il ne se rendrait pas si facilement. Une fois le bouclier en place, il pointa sa baguette sur les silhouettes noires, prêt à tout.
[HRP: s'il y a des choses qui vous gênent dans ce que j'ai écrit, dites-moi, je changerai =)]
Le Poufsouffle qu’il ne connaissait pas prit la parole pour répondre à sa question. Apparemment, il n’avait rien remarqué en venant. Il semblait énervé par la situation, agacé plutôt comme s’il en avait marre. Xenia et Sveltlana avaient également sorti leur baguette et Leroy n’avait pas rangé la sienne depuis sa chute. Rien ne bougeait encore. Leur souffle dessinait des nuages de buée devant leur bouche, mais c’était bien la seule trace de vie perceptible. Les auteurs de la blague devaient être bien cachés…Leroy commençait à douter qu’il s’agît d’élèves. Mais alors…
Le Poufsouffle le fit sursauter en appelant la Gryffondor qui était restée en arrière. Curieux qu’elle ne les ait pas encore rejoints, elle avait été la première du petit groupe à le voir tomber. Leroy jeta un coup d’œil vers la Cabane hurlante. Personne en vue. Comment était-ce possible ? La Gryffondor serait-elle entrée dans la vieille bâtisse ? Pourquoi ? Leroy continuait de sonder les environs, les sens en alerte, mais l’attaque le prit au dépourvu.
Un nuage noir se forma soudain au centre de leur groupe, sans qu’ils aient le temps de réagir, et s’évanouit presque aussitôt, comme un mauvais rêve. Mais il avait laissé des traces de son passage. L’air stupéfait, le Poufsouffle porta la main à son épaule gauche, où naissait une fleur de sang qui s’élargissait peu à peu, autour de la hampe de bois d’une flèche. Le garçon tomba à genoux sous le coup de la douleur. Tout un panel de sorts défila dans l’esprit de Leroy, mais aucun qui puisse remédier au Lanceflèche. Une pensée incongrue, inepte dans une telle situation lui vint en tête. Pourquoi donc ne recevaient-ils pas de cours de premiers soins à Poudlard ? C’aurait été bien plus utile que la Divination ! Mais il songerait à cela plus tard, s’il sortait vivant de cette histoire…
Car Leroy savait qui transplanait de cette manière. Il n’y avait qu’eux pour laisser une telle traînée noire dans leur sillage, comme des oiseaux de mauvais augure. La rapidité de l’attaque ne leur avait pas laissé le temps d’entrevoir les capes et les masques, mais Leroy n’en avait pas besoin. De nouveau en décalage complet avec la situation, comme si son cerveau ne voulait pas admettre et comprendre la réalité de ce qu’il vivait et préférait se concentrer sur des détails mineurs, il se demanda vaguement s’il connaissait les agresseurs. Les amis de son père, ceux dont il avait rejoint les rangs, venaient souvent dans leur manoir autrefois ; le garçon les avait rencontrés à maintes reprises, surtout quand son père avait voulu le faire admettre parmi eux. Désormais, il n’était plus, pour eux, qu’un traître à son sang. Leroy se secoua, reprenant brutalement prise avec la réalité. Combien de temps était-il resté sous le choc ? Trop longtemps sûrement.
Le Serdaigle gardait encore sa baguette à la main, et ce fut heureux. Il perçut plus qu’il ne vit le nuage noir qui apparaissait à quelque distance, sentit le danger. Dans un mouvement de défense, sans réfléchir, il pointa sa baguette, songea : « Protego ! ». Articuler lui aurait fait perdre un temps trop précieux. Le bouclier doré se dressa devant leur petit groupe à la dernière seconde. L’éclair de stupéfixion qui lui était destiné rebondit sur l’écran protecteur dressé devant lui et se dissipa aussitôt. Raté pour cette fois. Le nuage noir disparut. Impossible de savoir qui était derrière. Carrow, Lestrange, Black, Rosier, Nott, Malefoy…Louvière…les noms défilèrent dans son esprit. Concentre-toi, bon sang !
Leroy pivotait sur lui-même aux aguets, prêt à parer une autre attaque, mais soudain, un hurlement strident retentit, déchira l’air. Le Serdaigle devint livide. La Gryffondor ! Il ne savait que trop bien quel sort ces fous furieux lui lançait pour lui arracher un tel cri. Le souvenir des Doloris jetés par son père et de la douleur provoquée était encore vivace en lui. Son cœur se serra à la pensée de ce qu’elle devait ressentir. Il devait agir !
Le Poufsouffle l’avait devancé, s’élançant dès que le cri avait jailli. Xenia, qui l’avait aidé à se relever, n’avait pas tardé à suivre le mouvement. Tous deux atteignaient déjà la Cabane hurlante. Leroy hésita à peine avant de leur emboîter le pas, prenant juste le temps d’envoyer une nuée d’étincelles rouges au-dessus de la Cabane hurlante et d’enjoindre du regard à Sveltlana de se mettre à l’abri. Il ne voulait pas qu’il lui arrive malheur en plus. Le garçon espérait que des gens du village apercevraient ses étincelles et donneraient l’alerte ; malgré le temps couvert, les éclats de lumière devaient pouvoir se distinguer. Sans doute aurait-il été plus sage de courir au village, de donner l’alerte pour de bon, de ne pas parier sur le nombre d’habitants qui auraient le nez tourné vers l’endroit. Quitter enfin les parages en espérant que les Mangemorts n’auraient pas le temps de faire trop de dégâts, mais cette pensée même lui répugnait. Il avait fui assez souvent, et il ne laisserait jamais personne endurer la torture des Mangemorts sans lui venir en aide ! Le garçon avait déjà perdu des amis chers par leur faute ; il ne reculerait plus maintenant. Quoi qu’il puisse lui en coûter. Même si son sang avait encore quelque valeur pour les sbires de Voldemort, cela ne signifiait pas qu’ils l’épargneraient pour autant. Il les avait quittés, ils voulaient le lui faire payer. Mais peu importait. Il n’était pas assez lâche pour fuir et abandonner les autres.
Finalement, n’était-ce pas pour ce genre de situation que son père l’avait entraîné ? Il l’avait formé pour qu’il sache se battre, qu’il acquiert des réflexes, qu’il soit capable de vaincre enfin ses adversaires. Bon, le chef de famille des Louvière n’envisageait pas alors que son unique héritier oserait changer de camp. Mais l’entraînement demeurait. Et Leroy n’avait cessé de s’exercer, d’augmenter sa rapidité en pratiquant autant que possible les sortilèges à Poudlard.
Il atteignit le seuil de la Cabane peu de temps après les deux autres. Xenia avait rejoint le Poufsouffle, défiant les Mangemorts présents. La Gryffondor inconnue était au sol, convulsant encore après l'effet du sortilège. Sans entrer vraiment, Leroy utilisa de nouveau le Charme du Bouclier pour dresser une protection autour des deux filles de Gryffondor et du Poufsouffle. C’était dérisoire, peut-être, face à la puissance que pouvaient les Mangemorts, mais les trois autres élèves étaient hors d'atteinte pour quelques instants. Leroy entendait bien faire comprendre Au Mangemorts qu’il ne se rendrait pas si facilement. Une fois le bouclier en place, il pointa sa baguette sur les silhouettes noires, prêt à tout.
[HRP: s'il y a des choses qui vous gênent dans ce que j'ai écrit, dites-moi, je changerai =)]
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Non, Leroy, ne me laisse pas. C'était ce que semblait hurler son cœur et son regard lorsqu'elle vit son ami se précipiter à la suite des autres, la laissant seule au beau milieu du jardin enneigé de la Cabane Hurlante. Mais elle resta plantée comme une statue de marbre, n'osant bouger tant la peur la paralysait. Des flash revenaient sans cesse dans son esprit.
« La Cabane Hurlante porte si bien son nom ! »
Frisson de peur, respiration qui s'accélère. L'angoisse commence à monter sans que le visage de poupée russe n'exprime quoique ce soit. C'était un véritable exercice, mais Lana allait bientôt exploser. Le cri de la jeune fille retentit encore dans son esprit. Le sortilège interdit, celui de la douleur. Était-ce cela qui les attendait à l'intérieur ? Une torture gratuite pour semer la terreur dans le monde magique mais aussi à Poudlard. Et ses amis qui étaient tous là bas. Elle ne pouvait rester là à ne rien faire. Le regard de Leroy l'intimant de se cacher s'évapora et elle se précipita à l'intérieur, lançant de multiples appels dans le ciel, signe qu'il y avait danger et qu'ils avaient besoin d'aide. Arrivée devant la porte, Svetlana hésita. La jolie russe n'avait aucun courage, aucune témérité, elle était nulle en défense contre les forces du mal … que faisait-elle là ? C'était la peur de perdre son confident et sa cousine qui l'avait poussée à se jetée dans la gueule du loup mais … c'est d'un pas lent et silencieux qui l'amena dans la maison glauque. Ils étaient à l'étage.
Lana cherchait à garder son attention, ne pas laisser ses pensées et ses peurs prendre le dessus. Elle arriva dans une sorte de salon. Elle pouvait entendre leurs voix, celle impérieuse de sa cousine semblait se rapprocher du mur et les rires sadiques des mangemorts juste au dessus d'elle. Ses yeux gris de Playne fixaient le plafond, sa respiration s'accélérait suite à la dose d'adrénaline qui circulait dans ses veines. L'image de cette ombre qui était apparue de nulle part s'imposa à elle et elle revit le Poufsouffle se prendre une flèche, Xénia lui lâchait la main et se précipiter sur son amour. Ces ombres folles qui partaient en fumée, lançant des sortilèges horribles … mangemort.
« Reste à Poudlard ! »
Le masque de glace se fissura et vola en éclat pour exposer sa peur, son désarrois, sa stupéfaction. Il était au courant. Son père était au courant et il avait tenté de la prévenir de rester à l'abri. Il savait … pas parce qu'il était espion, mais qu'il les avait enfin rejoint. Il était entré dans le cercle, Lana en était sûre et certaine maintenant. Sa plus grande peur s'était matérialisée, sa pire crainte. Dès lors, une sorte de rage mêlée à l'effroi la poussa à agir. Sa baguette se pointa sur le plafond, là om elle percevait des mouvements et de rires.
« Cracbadaboum »
Au dessus d'elle, le plafond s'effondra subitement et le débris tombèrent droit sur elle. Lana eut à peine le temps de se bouger, une planche lui tomba dessus et l'assomma. Elle savait que c'était risqué, mais c'était le meilleur moyen pour surprendre les sbires et laisser une chance à ses camarades de fuir. La reine des glaces voyait flou et tremblante, elle rampa, cherchant à se relever mais trébuchant à chaque tant elle était désorientée. La poussière avait formé un nuage qui la dissimulait … pour l'instant. Mais Lana n'espérait qu'une chose, qu'ils fuient tous. Mieux valait qu'une seule personne soit prise que quatre. Meilleur ratio. Et puis … si son père était dans leurs rangs, elle avait peut être une chance, malgré sa tare.
« La Cabane Hurlante porte si bien son nom ! »
Frisson de peur, respiration qui s'accélère. L'angoisse commence à monter sans que le visage de poupée russe n'exprime quoique ce soit. C'était un véritable exercice, mais Lana allait bientôt exploser. Le cri de la jeune fille retentit encore dans son esprit. Le sortilège interdit, celui de la douleur. Était-ce cela qui les attendait à l'intérieur ? Une torture gratuite pour semer la terreur dans le monde magique mais aussi à Poudlard. Et ses amis qui étaient tous là bas. Elle ne pouvait rester là à ne rien faire. Le regard de Leroy l'intimant de se cacher s'évapora et elle se précipita à l'intérieur, lançant de multiples appels dans le ciel, signe qu'il y avait danger et qu'ils avaient besoin d'aide. Arrivée devant la porte, Svetlana hésita. La jolie russe n'avait aucun courage, aucune témérité, elle était nulle en défense contre les forces du mal … que faisait-elle là ? C'était la peur de perdre son confident et sa cousine qui l'avait poussée à se jetée dans la gueule du loup mais … c'est d'un pas lent et silencieux qui l'amena dans la maison glauque. Ils étaient à l'étage.
Lana cherchait à garder son attention, ne pas laisser ses pensées et ses peurs prendre le dessus. Elle arriva dans une sorte de salon. Elle pouvait entendre leurs voix, celle impérieuse de sa cousine semblait se rapprocher du mur et les rires sadiques des mangemorts juste au dessus d'elle. Ses yeux gris de Playne fixaient le plafond, sa respiration s'accélérait suite à la dose d'adrénaline qui circulait dans ses veines. L'image de cette ombre qui était apparue de nulle part s'imposa à elle et elle revit le Poufsouffle se prendre une flèche, Xénia lui lâchait la main et se précipiter sur son amour. Ces ombres folles qui partaient en fumée, lançant des sortilèges horribles … mangemort.
« Reste à Poudlard ! »
Le masque de glace se fissura et vola en éclat pour exposer sa peur, son désarrois, sa stupéfaction. Il était au courant. Son père était au courant et il avait tenté de la prévenir de rester à l'abri. Il savait … pas parce qu'il était espion, mais qu'il les avait enfin rejoint. Il était entré dans le cercle, Lana en était sûre et certaine maintenant. Sa plus grande peur s'était matérialisée, sa pire crainte. Dès lors, une sorte de rage mêlée à l'effroi la poussa à agir. Sa baguette se pointa sur le plafond, là om elle percevait des mouvements et de rires.
« Cracbadaboum »
Au dessus d'elle, le plafond s'effondra subitement et le débris tombèrent droit sur elle. Lana eut à peine le temps de se bouger, une planche lui tomba dessus et l'assomma. Elle savait que c'était risqué, mais c'était le meilleur moyen pour surprendre les sbires et laisser une chance à ses camarades de fuir. La reine des glaces voyait flou et tremblante, elle rampa, cherchant à se relever mais trébuchant à chaque tant elle était désorientée. La poussière avait formé un nuage qui la dissimulait … pour l'instant. Mais Lana n'espérait qu'une chose, qu'ils fuient tous. Mieux valait qu'une seule personne soit prise que quatre. Meilleur ratio. Et puis … si son père était dans leurs rangs, elle avait peut être une chance, malgré sa tare.
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
C’est qu’ils étaient combatifs les morpions. Alecto avait eu un grand sourire quand elle avait vu le petit Serdaigle se protéger de son Stupefix. Elle voulait que les choses trainent un peu plus mais Rabastan ne savait pas plus attendre qu’Amycus. Heureusement qu’elle avait été plus réactive et qu’elle avait pu lancer le sortilège de torture avant lui. Rabastan et Amycus eurent un sourire pervers. Voire la jolie blonde se tortiller sous leurs yeux leur faisait grandement plaisir. Alecto savait que les élèves allaient venir aider leurs amis. De ce qu’elle avaient pu voire ils n’étaient pas froussard. Les deux autres blondes avaient un caractère bien trempé, le blond semblait attaché à celle qui venaient de crier. Le Serdaigle quant à lui. Elle semblait l’avoir déjà vu, elle n’était pas sûr, mais s’il était bien celui qu’elle pensait, il viendrait lui aussi dans le piège. En regardant par la fenêtre après avoir torturé la blonde au cheveux bouclés, les trois mangemorts devraient transplantaient à l’étage. Amycus fut le seul à avoir eu le temps de le faire. Le blond était entré avec son épaule meurtrie et avait bousculer Rabastan. Ce dernier rigola en le voyant s’évanouir comme une fille. Peut de temps après la fille au cheveux très blond entra à sa suite. Elle dit quelque chose qui fit sourire Alecto, mais qui frappa Rabastan. Les deux mangemorts pointaient leur baguette vers elle, mais elle semblait ne pas s’en soucier elle se dirigeait juste vers le blond par terre.
Tout en elle déplaisait à Alecto elle avait envie de l’entendre crier aussi. Elle les regardait avec mépris. Non mais pour qui se prenait-elle. Même si elle était intelligente, il ne vint pas à l’idée d’Alecto que cette gamine vindicative puisse être une sang-pure. Rabastan lui l’avait déceler dès qu’il l’avait vu dès en le observant tout à l’heure sur le palier. Il tenta de se souvenir de qui elle était, de qu’elle famille. Et puis il comprit, il se souvint. Il avait déjà vu ces yeux bleus, durs et fiers. Une fierté royale mal placé. Un Romanov. C’est chiant de Russe qui son venue habiter en Angleterre quand leur famille de Cracmol c’était fait liquider. Elle était jolie, elle était fière, tout ce qu’il aimait. Ce qu’il n’aimait pas c’est qu’elle s’occupe de ce blond idiot. Son sang aurait pu l’épargner, le regard qu’elle avait jeté sur le Poufsouffle l’a condamné comme tous les autres. Quand elle dit qu’ils devaient se renseigner avant d’attaquer il était sûr de qui il elle l’était. Et puis elle était métamorphomage comme sa charmante mère. Elle était fière aussi, mais son dévouement pour le maître lui donné du poids. Torturer la fille lui apporterait des ennuies, mais tant pis. Elle le méritait, elle préférait trainer avec ces sangs salit plutôt qu’avec les siens.
Alecto elle n’avait envie que d’une seule chose, voir son petit Serdaigle arriver. Il entra et se précipita vers ses autres amies. Il lança un Protego inutile. Les mangemorts n’attaqueraient pas maintenant, ils voulaient que tout le monde vienne jusqu’à eux. Ce qui se produisit quand la dernière blondasse se joignit elle aussi à leur petite fête. Elle entra en trombe et lança un sortilège sur le toit où se trouver sûrement Amycus. Le toit s’effondra en partie. Cette idiote se blessa elle même. Amycus avait réapparut moqueur à côté de sa sœur jumelle. Alecto soupira et jeta un sortilège sur la porte d’entrée. Elle était verrouillée et seul un mot de passe pouvait l’ouvrir. Bien sûr on pouvait toujours la détruire, mais ces idiots n’auraient sûrement pas le temps. Effectivement qui serait assez intelligent pour se jeter de son plein grès dans la gueule du loup ? Amycus approcha vers la blonde qui rampait avoir lancé un sortilège pour essayer de le tuer. Il marcha sur ses doigts tenant sa baguette les écrasant totalement. Il donna même un bon coup pour être sûr qu’elle lâche sa baguette et que quelques petits os soient en mauvais état. Il pointa alors sa baguette vers elle et lança aux autres. Alecto vint alors récupérer la baguette et la cassa avant de la jeter dans un coin. Elle pointa ensuite sa baguette en direction des 4 autres protégés provisoirement par le Protego du Serdaigle. Amycus parla
« Vous bougez elle meurt. Vous parlez, elle meurt. Vous lancez vos baguettes et elle aura peut-être une chance de seulement devenir folle avec ce que je lui réserve. Est ce que je me suis bien fait comprendre ? »
Sa voix était posée et calme presque trépignant de plaisir en prononçant « elle meurt ». Alecto pouffa de rire contente de voir toute ses jolies filles souffrir. Pas toute non, il en manquait une. Celle qui les regardaient comme des excréments de dragons. Elle ne l’aimait vraiment pas celle-là. Alecto portait bien son nom, elle était intelligente et posée et parfois elle devenait une véritable furie. Rabastan sentie cela, il la connaissait assez pour savoir ce qu’elle avait l’intention de faire. Il lui lança alors :
« Bouge pas, où tu devras dire pourquoi tu as liquidé un sang pur qui aurait put gonfler nos rangs. »
Alecto grinça des dents, elle regarda alors la blondasse au visage fière puis le Serdaigle. Elle pensait que le français était le seul qui était sang-pur parmi ces larves. Elle avait reconnu le personnage, en le voyant entré et lançait un Protego avec ces petits yeux bleus. Elle l’avait déjà aperçut. Louvière, une recrût qui aurait pu être très prometteuse et qui a craché dessus. Elle n’écouta pas Rabastan et lança un sortilège sur la blondasse aux yeux bleus près du Poufsouffle dès qu’elle perçut que le Protego c’était dissipé. Le sortilège un Lashlabask toucha la Gryffondor à la poitrine la projetant en arrière. Alecto avait envie que ses cheveux blond presque blanc flambe, se consume dans un concert de cris. Elle ne désarma pas immédiatement le Serdaigle, elle voulait voir le joli corps de la blonde brûler avant. Rabastan soupira et lança un sortilège inverse pour ne pas que la jeune fille soit trop brûler et qu’elle ne décède prématurément de ses blessure. Il parla à son tour, s’adressant plus particulièrement au Serdaigle.
« Tu es le seul qui n’est pas amoché. Récupère les baguettes de la Romanov et celui de celui qui pisse le sang et jette les dans notre direction. Je pense que tu sais qu’on va pas rigolait, on va pas encore vous tuez on attend d’autres invités. »
Alecto compris de qu'elle famille venait la blonde métamorphomage. Mais bien sûr. Elle devrait donc rentre des comptes à la mère, au père et au grand-père. Et puis, peut-importe, elle le mérité bien cette insolente. Elle méritait de brûle comme toutes les autres filles de sont genre. Amycus lui écrasa de son coté un peu plus les doigts de sa victime et l’attrapant par les cheveux l’obligea à regarder ses yeux derrières le masques. Il lui murmura presque tendrement à l’oreille.
« Ton jolie masque est tombée mal belle, tu es bien moins attrayant sans ça. Dommage j’aurais aimé le faire sauté moi-même en te torturant. »
Il lâcha se cheveux la projetant violemment contre le sol et en ricanant presque comme une hyènes. Alecto rejoignit le rire de son frère.
Ordre :
Tout en elle déplaisait à Alecto elle avait envie de l’entendre crier aussi. Elle les regardait avec mépris. Non mais pour qui se prenait-elle. Même si elle était intelligente, il ne vint pas à l’idée d’Alecto que cette gamine vindicative puisse être une sang-pure. Rabastan lui l’avait déceler dès qu’il l’avait vu dès en le observant tout à l’heure sur le palier. Il tenta de se souvenir de qui elle était, de qu’elle famille. Et puis il comprit, il se souvint. Il avait déjà vu ces yeux bleus, durs et fiers. Une fierté royale mal placé. Un Romanov. C’est chiant de Russe qui son venue habiter en Angleterre quand leur famille de Cracmol c’était fait liquider. Elle était jolie, elle était fière, tout ce qu’il aimait. Ce qu’il n’aimait pas c’est qu’elle s’occupe de ce blond idiot. Son sang aurait pu l’épargner, le regard qu’elle avait jeté sur le Poufsouffle l’a condamné comme tous les autres. Quand elle dit qu’ils devaient se renseigner avant d’attaquer il était sûr de qui il elle l’était. Et puis elle était métamorphomage comme sa charmante mère. Elle était fière aussi, mais son dévouement pour le maître lui donné du poids. Torturer la fille lui apporterait des ennuies, mais tant pis. Elle le méritait, elle préférait trainer avec ces sangs salit plutôt qu’avec les siens.
Alecto elle n’avait envie que d’une seule chose, voir son petit Serdaigle arriver. Il entra et se précipita vers ses autres amies. Il lança un Protego inutile. Les mangemorts n’attaqueraient pas maintenant, ils voulaient que tout le monde vienne jusqu’à eux. Ce qui se produisit quand la dernière blondasse se joignit elle aussi à leur petite fête. Elle entra en trombe et lança un sortilège sur le toit où se trouver sûrement Amycus. Le toit s’effondra en partie. Cette idiote se blessa elle même. Amycus avait réapparut moqueur à côté de sa sœur jumelle. Alecto soupira et jeta un sortilège sur la porte d’entrée. Elle était verrouillée et seul un mot de passe pouvait l’ouvrir. Bien sûr on pouvait toujours la détruire, mais ces idiots n’auraient sûrement pas le temps. Effectivement qui serait assez intelligent pour se jeter de son plein grès dans la gueule du loup ? Amycus approcha vers la blonde qui rampait avoir lancé un sortilège pour essayer de le tuer. Il marcha sur ses doigts tenant sa baguette les écrasant totalement. Il donna même un bon coup pour être sûr qu’elle lâche sa baguette et que quelques petits os soient en mauvais état. Il pointa alors sa baguette vers elle et lança aux autres. Alecto vint alors récupérer la baguette et la cassa avant de la jeter dans un coin. Elle pointa ensuite sa baguette en direction des 4 autres protégés provisoirement par le Protego du Serdaigle. Amycus parla
« Vous bougez elle meurt. Vous parlez, elle meurt. Vous lancez vos baguettes et elle aura peut-être une chance de seulement devenir folle avec ce que je lui réserve. Est ce que je me suis bien fait comprendre ? »
Sa voix était posée et calme presque trépignant de plaisir en prononçant « elle meurt ». Alecto pouffa de rire contente de voir toute ses jolies filles souffrir. Pas toute non, il en manquait une. Celle qui les regardaient comme des excréments de dragons. Elle ne l’aimait vraiment pas celle-là. Alecto portait bien son nom, elle était intelligente et posée et parfois elle devenait une véritable furie. Rabastan sentie cela, il la connaissait assez pour savoir ce qu’elle avait l’intention de faire. Il lui lança alors :
« Bouge pas, où tu devras dire pourquoi tu as liquidé un sang pur qui aurait put gonfler nos rangs. »
Alecto grinça des dents, elle regarda alors la blondasse au visage fière puis le Serdaigle. Elle pensait que le français était le seul qui était sang-pur parmi ces larves. Elle avait reconnu le personnage, en le voyant entré et lançait un Protego avec ces petits yeux bleus. Elle l’avait déjà aperçut. Louvière, une recrût qui aurait pu être très prometteuse et qui a craché dessus. Elle n’écouta pas Rabastan et lança un sortilège sur la blondasse aux yeux bleus près du Poufsouffle dès qu’elle perçut que le Protego c’était dissipé. Le sortilège un Lashlabask toucha la Gryffondor à la poitrine la projetant en arrière. Alecto avait envie que ses cheveux blond presque blanc flambe, se consume dans un concert de cris. Elle ne désarma pas immédiatement le Serdaigle, elle voulait voir le joli corps de la blonde brûler avant. Rabastan soupira et lança un sortilège inverse pour ne pas que la jeune fille soit trop brûler et qu’elle ne décède prématurément de ses blessure. Il parla à son tour, s’adressant plus particulièrement au Serdaigle.
« Tu es le seul qui n’est pas amoché. Récupère les baguettes de la Romanov et celui de celui qui pisse le sang et jette les dans notre direction. Je pense que tu sais qu’on va pas rigolait, on va pas encore vous tuez on attend d’autres invités. »
Alecto compris de qu'elle famille venait la blonde métamorphomage. Mais bien sûr. Elle devrait donc rentre des comptes à la mère, au père et au grand-père. Et puis, peut-importe, elle le mérité bien cette insolente. Elle méritait de brûle comme toutes les autres filles de sont genre. Amycus lui écrasa de son coté un peu plus les doigts de sa victime et l’attrapant par les cheveux l’obligea à regarder ses yeux derrières le masques. Il lui murmura presque tendrement à l’oreille.
« Ton jolie masque est tombée mal belle, tu es bien moins attrayant sans ça. Dommage j’aurais aimé le faire sauté moi-même en te torturant. »
Il lâcha se cheveux la projetant violemment contre le sol et en ricanant presque comme une hyènes. Alecto rejoignit le rire de son frère.
Ordre :
Gabrielle Kipenson
Svetlana Mikhaïlov
Xenia Rostislavana
Leroy de Louvière
Lucas Crawd
Mangemort
Svetlana Mikhaïlov
Xenia Rostislavana
Leroy de Louvière
Lucas Crawd
Mangemort
- Spoiler:
- Légende couleur :
Rabastan : Blanc
Amycus : Vert
Alecto : Olive
Mangemort- Messages : 13
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
La douleur était fulgurante. Impossible de s'en défaire, de penser à autre chose, seulement au mal qui m'habitait entièrement le corps et l'esprit. J'avais à peine conscience de ce qui m'entourait, et ma vision se brouillait, je voyais des formes, j'entendais des voix, mais les détails flous m'empêchaient de distinguer correctement les visages, et l'identité de ceux qui m'entouraient. Bientôt, ce fut si intense, si horrible que mes oreilles bourdonnèrent. Je n'entendais même pas mes propres cris, mais...criais-je encore ou m'étais-je tue ? Je ne savais même pas, ne m'en rendais pas compte. La douleur contractait tous mes muscles, comme si chaque centimètre de ma peau souffrait sans s'arrêter. Mais bientôt, alors que je sombrais dans ma douleur, sourde à ce qui existait autour de moi, j'entendis une voix, un cri. Quelqu'un m'appelait. La voix m'était familière, mais je ne su tout de suite la reconnaître. L'espace d'un instant, je crus voir une chevelure blonde. Blonde ? Lucas ? Sa voix s'imposa à moi, son image aussi. Il était là. Je me sentie rassurée, mais terriblement inquiète pour lui. Etait-il blessé ? Je n'arrivais pas à voir, à me concentrer suffisamment pour le voir. Je savais juste qu'il était près de moi : c'était assez. S'il n'y avait pas eu tout ce danger autour de nous, j'en aurais été heureuse, mais là...il risquait sa vie. Ma respiration se coupait, reprenait, se coupait encore, dans un rythme plus qu'irrégulier. Je réussis à tendre la main sur le côté, et je sentis la sienne...utilisant le peu de forces qu'il me restait, je la serrai entre mes doigts, faiblement. Et tournai la tête vers lui...Mes cris s'étaient arrêtés, et mes lèvres bougèrent légèrement. J'aurais voulus lui dire que j'étais désolée, que tout irait bien, qu'il irait bien, mais c'était impossible. Mes lèvres bougèrent, mes mots restèrent, eux, coincés dans ma gorge serrée. Ma voix semblait être partie, je ne pouvais plus parler.
J'entendis aussi bientôt d'autres cris, d'autres exclamations terrifiées et surprises. Puis, aussi des remarques sadiques, des rires gras, des voix profondes et chaudes, rauques. Les mangemorts. Il était devenu évident qu'ils en étaient vu leurs tenues et leurs méthodes. Le sortilège Doloris n'était utilisé que par eux, ou quelques autres fous. Les sortilèges impardonnables...qui pouvait faire cela, à part eux ? A part ces fidèles suiveurs, répandant sang et malheur derrière leurs sombres silhouettes encapuchonnées, dirigées par leur maître sans âme....Je me forçai à faire un sourire rassurant à Lucas. Je crus déceler de la souffrance chez lui ? Etait-il blessé ? Je n'arrivais pas à savoir, à voir correctement à travers ma vision trouble, mes longs cils, et la douleur intenable qui secouait mon corps, bien qu'atténuée tout à coup...un repos ? Peut-être...mais pour combien de temps ?
[ c'est court, désolé mais elle est juste en train de souffrir donc je voyais pas quoi mettre d'autre :/ ]
Invité- Invité
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Elle rampait, marchait à quatre patte cachée sous le nuage de poussière, pourvu qu'ils partent. Tandis qu'elle se relevait, une main par terre, un pied l'écrasa avec force et un cri de douleur menaça de franchir ses lèvres. Lana dut se mordre la lèvre pour ne pas hurler en sentant ses doigts craquer sous le poids du mangemort. Les larmes perlaient au coin de ses yeux, et elle relâcha sa baguette. Ce qui suivit fut pire qu'un sortilège noir de douleur, de mort. La vieille sorcière venait de casser sa baguette en deux, et la russe sentit en elle quelque chose se rompre, se casser et être détruit. C'était Olivander qui le lui avait donné, c'était cette baguette qui l'avait choisi, elle, et personne d'autre. Lana avait appris à la manier et ne faire qu'un lorsqu'elle lançait des sortilèges. Et maintenant … Svetlana n'entendit même pas les menaces de son persécuteurs qui gardait le pied sur ses doigts meurtris.
Son masque de glace s'était littéralement effondré, ne laissant voir que la souffrance liée à la perte de sa baguette et de sa main. Peut être alors qu'Alexaï avait raison … qu'elle n'était pas faite pour être sorcière, qu'elle aurait du être moldu comme l'était ses grands-parents maternels. C'était peut être le destin. Un vent de chaleur souffla sur son visage et elle regarda sans vraiment le voir sa cousine subir un maléfice flamboyant, brûlant. Ses cris résonnaient dans la maison hantée mais ne semblait pas lui parvenir, c'était comme si elle était immergée sous l'eau et coupée du monde. Et pourtant, elle savait ... savait que c'était sa cousine qui souffrait à cet instant précis. L'eau commence à bouillonner, lentement. Un douce et terrible colère commençait à la ronger.
Nouvelle pression sur ses doigts qui lui arracha un gémissement de douleur tandis qu'il lui tirait les cheveux avec force. Lana croisa alors son regard, un regard fou qui fait naître en elle une terrible terreur mais dont les murmures la mettait dans une rage folle, une colère meurtrière. Visage contre terre, elle fulminait. Enfant, elle ne se mettait jamais en colère, de nature très calme et discrète, ce qui de ce fait, avait rendu ses premières manifestations magiques imperceptibles. Ses parents avaient cru avoir affaire à une cracmol. Et pourtant, une fois, elle s'était mise en colère. Une fois, elle avait piqué une crise et elle avait réussi à détruire le beau mobilier du salon et tous les carreaux de la maison. C'est depuis ce temps que Dmitri lui enseigne l'art de dissimuler ses émotions et celui de la froideur, pour éviter les catastrophes.
Son poing gauche se serra doucement tandis qu'elle sentait en elle un grondement terrible grandir, grandir.
- Это я сделаю вас прыгать, мусор. Вы будете платить. *
Ces mots avaient été littéralement crachés avec une haine viscérale. Jamais au grand jamais elle n'avait été ainsi à Poudlard, ni chez elle, nul part. La grande colère ne faisait pas partie d'elle, ou plutôt si, mais elle était bien cachée derrière un contrôle glacé de ses émotions. Ils venaient de déclencher un blizzard sibérien. Elle n'avait pas de baguette, mais elle avait des poings … et des dents.
Avec violence, la belle enragée mordit dans le mollet de son persécuteur, jusqu'à sentir le sang couler dans sa bouche, lui donnant des airs de vampire, de cannibale et de démon. Son regard si froid, si glacé était brûlant et fou.
Son masque de glace s'était littéralement effondré, ne laissant voir que la souffrance liée à la perte de sa baguette et de sa main. Peut être alors qu'Alexaï avait raison … qu'elle n'était pas faite pour être sorcière, qu'elle aurait du être moldu comme l'était ses grands-parents maternels. C'était peut être le destin. Un vent de chaleur souffla sur son visage et elle regarda sans vraiment le voir sa cousine subir un maléfice flamboyant, brûlant. Ses cris résonnaient dans la maison hantée mais ne semblait pas lui parvenir, c'était comme si elle était immergée sous l'eau et coupée du monde. Et pourtant, elle savait ... savait que c'était sa cousine qui souffrait à cet instant précis. L'eau commence à bouillonner, lentement. Un douce et terrible colère commençait à la ronger.
Nouvelle pression sur ses doigts qui lui arracha un gémissement de douleur tandis qu'il lui tirait les cheveux avec force. Lana croisa alors son regard, un regard fou qui fait naître en elle une terrible terreur mais dont les murmures la mettait dans une rage folle, une colère meurtrière. Visage contre terre, elle fulminait. Enfant, elle ne se mettait jamais en colère, de nature très calme et discrète, ce qui de ce fait, avait rendu ses premières manifestations magiques imperceptibles. Ses parents avaient cru avoir affaire à une cracmol. Et pourtant, une fois, elle s'était mise en colère. Une fois, elle avait piqué une crise et elle avait réussi à détruire le beau mobilier du salon et tous les carreaux de la maison. C'est depuis ce temps que Dmitri lui enseigne l'art de dissimuler ses émotions et celui de la froideur, pour éviter les catastrophes.
Son poing gauche se serra doucement tandis qu'elle sentait en elle un grondement terrible grandir, grandir.
- Это я сделаю вас прыгать, мусор. Вы будете платить. *
Ces mots avaient été littéralement crachés avec une haine viscérale. Jamais au grand jamais elle n'avait été ainsi à Poudlard, ni chez elle, nul part. La grande colère ne faisait pas partie d'elle, ou plutôt si, mais elle était bien cachée derrière un contrôle glacé de ses émotions. Ils venaient de déclencher un blizzard sibérien. Elle n'avait pas de baguette, mais elle avait des poings … et des dents.
Avec violence, la belle enragée mordit dans le mollet de son persécuteur, jusqu'à sentir le sang couler dans sa bouche, lui donnant des airs de vampire, de cannibale et de démon. Son regard si froid, si glacé était brûlant et fou.
* La traduction n'a pas d'importance. mais si vous en avez besoin "C'est moi qui vais te faire sauter, ordure. Vous allez payer." voilà xD
Svetlana Mikhaïlov♥ La Reine des Glaces♣ - Messages : 242
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
[HRP: Comme Xenia ne répond pas, je prends la suite.]
Avec l’arrivée de Sveltlana, ils se trouvaient désormais tous pris au piège. L’initiative courageuse de la Serdaigle n’avait pas abouti et les Mangemorts étaient désormais maîtres du terrain. La porte de la Cabane Hurlante s’était fermée dans leur dos et Leroy se doutait qu’elle ne se rouvrirait pas aussi facilement. Piégés.
L’un des Mangemorts s’approcha de Sveltlana encore étendue au sol et lui écrasa la main. Leroy frémit en entendant le bruit des os qui se brisaient sous le poids de l’homme. Et intérieurement, il admira le courage de la jeune fille, qui resta muette malgré la douleur qu’elle devait éprouver.
-Sveltlana ! s’exclama-t-il, en faisant un pas vers elle.
Pourquoi donc s’était-elle ruée à son tour dans la Cabane ? Elle aurait dû rester en arrière, aller chercher des secours, se protéger… mais cela n’entrait pas dans son caractère, pas plus que dans le sien. Pourtant, il aurait préféré qu’elle reste à l’écart de tout cela. Son cœur se serra davantage lorsqu’un deuxième Mangemort se pencha pour ramasser la baguette de son amie et qu’il vit l’expression de souffrance sur le visage de celle-ci. L’autre brisa le fin morceau de bois d’un geste sec, avant de se retourner vers eux, menaçant. Leroy pensa la reconnaître au ton de sa voix. Alecto Carrow. Son frère devait donc être l’un des membres du trio ; tout en se détestant, ils demeuraient inséparables. Mais connaître leur identité ne l’avançait pas à grand-chose pour l’heure.
-« Vous bougez elle meurt. Vous parlez, elle meurt. Vous lancez vos baguettes et elle aura peut-être une chance de seulement devenir folle avec ce que je lui réserve. Est ce que je me suis bien fait comprendre ? »
Leroy arrêta le mouvement qu’il amorçait vers Sveltlana. Que pouvait-il faire ? Rien. Rien, et cela l’énervait, l’angoissait. Il s’était rarement autant trouvé pris au dépourvu. Comment avaient-ils pu se retrouver dans une telle situation ? Leroy s’efforçait de réfléchir, de trouver une solution, mais il ne voulait pas aggraver la situation des autres, avec lesquels leurs assaillants n’en avaient pas encore fini, puisqu’ils se retournèrent ensuite contre Xenia, qui s’effondra sous le coup d’un sortilège flamboyant.
Ce fut le troisième Mangemort qui vint à la rescousse de la Gryffondor, avant de se retourner vers le Serdaigle.
« Tu es le seul qui n’est pas amoché. Récupère les baguettes de la Romanov et celui de celui qui pisse le sang et jette-les dans notre direction. Je pense que tu sais qu’on va pas rigolait, on va pas encore vous tuer, on attend d’autres invités. »
Le garçon hésita. Si les autres avaient été en meilleure forme, peut-être aurait-il pu tenter quelque chose. Mais comme l’avait si justement rappelé le Mangemort, il était le seul indemne. Pouvait-il vraiment prendre le risque que les autres soient encore plus blessés par sa seule faute ? Pour autant, c’était peut-être leur dernière chance de s’en sortir. Les Mangemorts n’étaient pas seuls, ils attendaient encore certains des leurs… Une fois qu’ils seraient là, s’enfuir deviendrait impossible. Leurs adversaires seraient trop nombreux.
Leroy s’avança vers Xenia et le Poufsouffle dont il ignorait toujours le nom, en essayant de ne pas trop regarder leurs blessures. Tous deux semblaient inconscients, ou n’étaient pas loin de l’être.
Le rire de deux Mangemorts, qui tenaient Sveltlana, résonna de l’autre côté de la Cabane. Au moment où Leroy allait se baisser, Sveltlana montra toute l’étendue de sa combativité et, n’ayant plus d’arme à sa disposition, elle mordit son agresseur au mollet. Profitant de la surprise qui s’emparait des Mangemorts, Leroy se retourna et pointa sa baguette sur celle qu’il avait identifiée comme étant Alecto.
-Stupefix !
La lumière rouge jaillit en direction de la femme, et le garçon se redressa pour faire face au dernier Mangemort, celui qui lui avait demandé de ramasser les baguettes, tout en s’efforçant de voir comment s’en sortait Sveltlana.
-Il faudra venir les chercher vous-même !
Avec l’arrivée de Sveltlana, ils se trouvaient désormais tous pris au piège. L’initiative courageuse de la Serdaigle n’avait pas abouti et les Mangemorts étaient désormais maîtres du terrain. La porte de la Cabane Hurlante s’était fermée dans leur dos et Leroy se doutait qu’elle ne se rouvrirait pas aussi facilement. Piégés.
L’un des Mangemorts s’approcha de Sveltlana encore étendue au sol et lui écrasa la main. Leroy frémit en entendant le bruit des os qui se brisaient sous le poids de l’homme. Et intérieurement, il admira le courage de la jeune fille, qui resta muette malgré la douleur qu’elle devait éprouver.
-Sveltlana ! s’exclama-t-il, en faisant un pas vers elle.
Pourquoi donc s’était-elle ruée à son tour dans la Cabane ? Elle aurait dû rester en arrière, aller chercher des secours, se protéger… mais cela n’entrait pas dans son caractère, pas plus que dans le sien. Pourtant, il aurait préféré qu’elle reste à l’écart de tout cela. Son cœur se serra davantage lorsqu’un deuxième Mangemort se pencha pour ramasser la baguette de son amie et qu’il vit l’expression de souffrance sur le visage de celle-ci. L’autre brisa le fin morceau de bois d’un geste sec, avant de se retourner vers eux, menaçant. Leroy pensa la reconnaître au ton de sa voix. Alecto Carrow. Son frère devait donc être l’un des membres du trio ; tout en se détestant, ils demeuraient inséparables. Mais connaître leur identité ne l’avançait pas à grand-chose pour l’heure.
-« Vous bougez elle meurt. Vous parlez, elle meurt. Vous lancez vos baguettes et elle aura peut-être une chance de seulement devenir folle avec ce que je lui réserve. Est ce que je me suis bien fait comprendre ? »
Leroy arrêta le mouvement qu’il amorçait vers Sveltlana. Que pouvait-il faire ? Rien. Rien, et cela l’énervait, l’angoissait. Il s’était rarement autant trouvé pris au dépourvu. Comment avaient-ils pu se retrouver dans une telle situation ? Leroy s’efforçait de réfléchir, de trouver une solution, mais il ne voulait pas aggraver la situation des autres, avec lesquels leurs assaillants n’en avaient pas encore fini, puisqu’ils se retournèrent ensuite contre Xenia, qui s’effondra sous le coup d’un sortilège flamboyant.
Ce fut le troisième Mangemort qui vint à la rescousse de la Gryffondor, avant de se retourner vers le Serdaigle.
« Tu es le seul qui n’est pas amoché. Récupère les baguettes de la Romanov et celui de celui qui pisse le sang et jette-les dans notre direction. Je pense que tu sais qu’on va pas rigolait, on va pas encore vous tuer, on attend d’autres invités. »
Le garçon hésita. Si les autres avaient été en meilleure forme, peut-être aurait-il pu tenter quelque chose. Mais comme l’avait si justement rappelé le Mangemort, il était le seul indemne. Pouvait-il vraiment prendre le risque que les autres soient encore plus blessés par sa seule faute ? Pour autant, c’était peut-être leur dernière chance de s’en sortir. Les Mangemorts n’étaient pas seuls, ils attendaient encore certains des leurs… Une fois qu’ils seraient là, s’enfuir deviendrait impossible. Leurs adversaires seraient trop nombreux.
Leroy s’avança vers Xenia et le Poufsouffle dont il ignorait toujours le nom, en essayant de ne pas trop regarder leurs blessures. Tous deux semblaient inconscients, ou n’étaient pas loin de l’être.
Le rire de deux Mangemorts, qui tenaient Sveltlana, résonna de l’autre côté de la Cabane. Au moment où Leroy allait se baisser, Sveltlana montra toute l’étendue de sa combativité et, n’ayant plus d’arme à sa disposition, elle mordit son agresseur au mollet. Profitant de la surprise qui s’emparait des Mangemorts, Leroy se retourna et pointa sa baguette sur celle qu’il avait identifiée comme étant Alecto.
-Stupefix !
La lumière rouge jaillit en direction de la femme, et le garçon se redressa pour faire face au dernier Mangemort, celui qui lui avait demandé de ramasser les baguettes, tout en s’efforçant de voir comment s’en sortait Sveltlana.
-Il faudra venir les chercher vous-même !
Leroy de Louvière- Messages : 335
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Lucas était dans un état second. Il n’était même plus sûr de sentir la douleur. Une vague de froid avait envahi son corps, mais il n’arrivait plus à identifier ses autres sensations. Il n’entendait plus ce qu’il se passait autour de lui. Il n’entendait plus ce cri horrible qui l’avait réveillé. Avait-il réussi à arrêter sa souffrance ? Pas pour longtemps sûrement. Ils découvriraient très vite qu’il n’était pas capable de faire quoi que ce soit. Ou peut-être le savaient-ils déjà ? Il y avait de grandes chances. Mais que pouvait-il faire ? Il n’était même pas capable de bouger d’un centimètre. Il sentit soudain un souffle sur sa joue. Xenia ! Pourquoi était-elle venue ? Pourquoi l’avait-elle suivi ? Pourquoi n’avait-elle pas fui ? Elle allait se faire torturer. Il ne pouvait pas la laisser seule. Il ne pouvait pas l’abandonner. C’était de sa faute si elle était arrivée là. Pourquoi n’avait-il pas pu penser à elle ? Pourquoi avait-il fallu qu’il court face au danger sans réfléchir ?
Une drôle de sensation au niveau de son bras endommagé lui fit oublier tout. Il avait l’impression de ressentir un toucher particulier au bout de ses doigts. Comme si dans son inconscience, il rêvait qu’on le tirait vers un monde imaginaire. Il perçut cette sensation comme une proposition d’abandonner, de laisser loin la tragédie qui se produisait dans ce monde-ci. L’impression se fit plus intense. Il sentait qu’on appuyait sur sa main. Cela lui sembla tellement réel tout d’un coup. De la chaleur ressortait de ce contact. Ses doigts devenaient de moins en moins gelés. Retrouvait-il le contrôle de sa main ? Il essaya de bouger l’extrémité de celui-ci. Rien. Pas le moindre geste. C’était comme s’il était détaché de son corps. Mais avait-il réellement essayé ? Il n’arrivait pas à comprendre ce qu’il se passait autour de lui. Son cerveau ne répondait pas vraiment présent. Il le laissait juste divaguer sur des pensées inutiles. Un brouillard mettait un mur entre lui et les autres. Il n’était qu’un poids lourd dans cette bataille. Car il y avait une bagarre non ? Il y avait de l’agitation. Enfin peut-être. Il ne savait pas. Tout se mélangeait. Ses yeux étaient ouverts, normalement, mais il était incapable de voir quoi que ce soit de clair. Sa vision était floue. C’était une flèche qu’il avait reçu, c’était ça ? N’y avait-il pas autre chose ?
D’autres cris retentirent dans sa tête. N’entendait-il que des cris aujourd’hui ? Ses oreilles étaient-elles si inefficaces qu’elles n’entendaient que les sons assez élevés ? Ou peut-être que son cerveau avait décidé de répercuter le cri qu’il avait entendu tout à l’heure pour l’empêcher de sombrer ? Non, il était incapable de faire quoi que ce soit. Il était aussi utile que son bras pour l’instant. Mais alors, d’où venait-il ce hurlement ? Il s’arrêta avant qu’il puisse l’identifier. Pourtant, il avait l’impression de connaître ces vibrations particulières. La question était de savoir d’où ?
Du remue-ménage commença autour de lui. Il put percevoir des mouvements. Il ne savait pas qui ni où, mais au moins il recommençait à percevoir les personnes. Est-ce que c’était une bonne nouvelle, il n’en savait rien. Xenia ! C’était la voix de Xenia tout à l’heure ! Elle avait eu quelque chose ! On l’avait torturé ! Et il était resté là sans rien faire ! Il n’avait même pas reconnu son hurlement ! Qu’avait-elle eu ? Que c’était-il passé ? Il fallait qu’il bouge, qu’il la protège. C’était de sa faute si elle était mal en point. Mais était-elle toujours vivante ?
Lucas amorça un geste pour se soulever. Tout du moins, il essaya. Il ne prit même pas appui sur son bras : il savait que c’était perdu d’avance. Mais il devait se lever. Il devait la protéger. Coûte que coûte. Il se souleva petit à petit, grimaçant et gémissant à chaque geste. Il y était presque. Il voyait des petits points de toutes les couleurs au lieu de voir la pièce. Il ne savait pas où elle était. Il ne savait pas dans quel état elle était. Mais il la retrouverait. Il avait réussi à relever son torse, il ne lui restait plus qu’à se mettre debout. Plus facile à dire qu’à faire. Surtout quand une personne tombe sur nous. Il tomba d’un coup. Il n’eut pas la force de résister. La flèche s’enfonça plus profondément encore. Une pulsion de douleur envahit tout son corps. Noir complet pendant quelques secondes. Ou quelques minutes ? Il revint à lui avec une seule idée en tête : Xenia ! Il se retourna sur lui-même, sans vraiment comprendre comment. Il sut tout de suite que la personne l’encombrant était loin de lui vouloir du bien. Il n’arrivait pas à distinguer clairement encore les choses, mais il savait reconnaitre son amour de toujours. Et ce n’était définitivement pas elle. Pire, elle était le poids mort qui l’empêchait de rejoindre la jeune fille. Dans une montée de puissance venue du plus profond de lui, il contracta ses jambes et l’envoya rouler plus loin. Il entendit un peu de tumulte mais ne s’en préoccupa plus. Il se mit à genou et rampa vers une chevelure blonde, seule et amochée. Il s’écroula juste à côté, encore conscient. Il attrapa sa main, essaya tant bien que mal de toucher une de ses veines et de se concentrer pour trouver son pouls. Il crut l’apercevoir mais peut-être n’était-ce qu’une impression. Dans un murmure inquiet et douloureux, il dit :
Une drôle de sensation au niveau de son bras endommagé lui fit oublier tout. Il avait l’impression de ressentir un toucher particulier au bout de ses doigts. Comme si dans son inconscience, il rêvait qu’on le tirait vers un monde imaginaire. Il perçut cette sensation comme une proposition d’abandonner, de laisser loin la tragédie qui se produisait dans ce monde-ci. L’impression se fit plus intense. Il sentait qu’on appuyait sur sa main. Cela lui sembla tellement réel tout d’un coup. De la chaleur ressortait de ce contact. Ses doigts devenaient de moins en moins gelés. Retrouvait-il le contrôle de sa main ? Il essaya de bouger l’extrémité de celui-ci. Rien. Pas le moindre geste. C’était comme s’il était détaché de son corps. Mais avait-il réellement essayé ? Il n’arrivait pas à comprendre ce qu’il se passait autour de lui. Son cerveau ne répondait pas vraiment présent. Il le laissait juste divaguer sur des pensées inutiles. Un brouillard mettait un mur entre lui et les autres. Il n’était qu’un poids lourd dans cette bataille. Car il y avait une bagarre non ? Il y avait de l’agitation. Enfin peut-être. Il ne savait pas. Tout se mélangeait. Ses yeux étaient ouverts, normalement, mais il était incapable de voir quoi que ce soit de clair. Sa vision était floue. C’était une flèche qu’il avait reçu, c’était ça ? N’y avait-il pas autre chose ?
D’autres cris retentirent dans sa tête. N’entendait-il que des cris aujourd’hui ? Ses oreilles étaient-elles si inefficaces qu’elles n’entendaient que les sons assez élevés ? Ou peut-être que son cerveau avait décidé de répercuter le cri qu’il avait entendu tout à l’heure pour l’empêcher de sombrer ? Non, il était incapable de faire quoi que ce soit. Il était aussi utile que son bras pour l’instant. Mais alors, d’où venait-il ce hurlement ? Il s’arrêta avant qu’il puisse l’identifier. Pourtant, il avait l’impression de connaître ces vibrations particulières. La question était de savoir d’où ?
Du remue-ménage commença autour de lui. Il put percevoir des mouvements. Il ne savait pas qui ni où, mais au moins il recommençait à percevoir les personnes. Est-ce que c’était une bonne nouvelle, il n’en savait rien. Xenia ! C’était la voix de Xenia tout à l’heure ! Elle avait eu quelque chose ! On l’avait torturé ! Et il était resté là sans rien faire ! Il n’avait même pas reconnu son hurlement ! Qu’avait-elle eu ? Que c’était-il passé ? Il fallait qu’il bouge, qu’il la protège. C’était de sa faute si elle était mal en point. Mais était-elle toujours vivante ?
Lucas amorça un geste pour se soulever. Tout du moins, il essaya. Il ne prit même pas appui sur son bras : il savait que c’était perdu d’avance. Mais il devait se lever. Il devait la protéger. Coûte que coûte. Il se souleva petit à petit, grimaçant et gémissant à chaque geste. Il y était presque. Il voyait des petits points de toutes les couleurs au lieu de voir la pièce. Il ne savait pas où elle était. Il ne savait pas dans quel état elle était. Mais il la retrouverait. Il avait réussi à relever son torse, il ne lui restait plus qu’à se mettre debout. Plus facile à dire qu’à faire. Surtout quand une personne tombe sur nous. Il tomba d’un coup. Il n’eut pas la force de résister. La flèche s’enfonça plus profondément encore. Une pulsion de douleur envahit tout son corps. Noir complet pendant quelques secondes. Ou quelques minutes ? Il revint à lui avec une seule idée en tête : Xenia ! Il se retourna sur lui-même, sans vraiment comprendre comment. Il sut tout de suite que la personne l’encombrant était loin de lui vouloir du bien. Il n’arrivait pas à distinguer clairement encore les choses, mais il savait reconnaitre son amour de toujours. Et ce n’était définitivement pas elle. Pire, elle était le poids mort qui l’empêchait de rejoindre la jeune fille. Dans une montée de puissance venue du plus profond de lui, il contracta ses jambes et l’envoya rouler plus loin. Il entendit un peu de tumulte mais ne s’en préoccupa plus. Il se mit à genou et rampa vers une chevelure blonde, seule et amochée. Il s’écroula juste à côté, encore conscient. Il attrapa sa main, essaya tant bien que mal de toucher une de ses veines et de se concentrer pour trouver son pouls. Il crut l’apercevoir mais peut-être n’était-ce qu’une impression. Dans un murmure inquiet et douloureux, il dit :
Xenia… Xenia !
Il n’arrivait pas à trouver les mots. Il voulait s’excuser, s’avoir comment elle allait, lui dire de partir, de rester, de ne pas l’abandonner. Mais comment prononcer tout ça alors qu’il était responsable de cette situation ? C’était de sa faute si elle était venue ici. C’était de sa faute si elle était venue dans ce piège. A cause de lui et ses soucis avec Gabrielle… Gaby ! Il l’avait abandonné elle aussi ! Comment faire ? Que pouvait-il faire ? Xenia ou Gaby ? Gaby ou Xenia ? Comment choisir ? Pouvait-il être seulement utile à l’une des deux ? Il faudrait déjà qu’il retrouve une vue correcte. Et un cerveau sans brouillard. Et sa baguette. Il commença à la chercher dans ses poches, péniblement… Peut-être était-ce trop tard ?
Lucas Crawd- Messages : 511
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Localisation : dans les coins isolés du château
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Les petits morveux voulaient se rebeller ? Ils voulaient donc qu'un d'entre eux meurt immédiatement. Dans ce cas il connaitrait la puissance dévastatrice d'un mangemort. Amycus avait crié quand les dents de la russe lui avaient meurtri la chair. Amycus fut surpris. Cette petit avait encore la niaque, mais elle ne l'aurait plus pour très longtemps. Dommage. Amycus lança un stupéfix et une fois son corps raidi il donna un gros coup de pied dans la figure de la donzelle. On entendit de nouveau des os craquer. Sûrement celui du nez. Il jura après :
"Je reviens pour toi ma jolie. Tu te reconnaitra même dans un miroir !"
Il pensais qu'il avait été le seul à avoir du faire face à la fougue d'un des élèves, mais il aperçut un rayon qui alla frapper sa soeur. Il aperçut aussi la silhouette de Rabastan qui avait déjà transplané à côté du Serdaigle qui avait stupéfié sa soeur. Ce dernier le stupéfia également. Qu'ils sont idiot ces gosses. Ils ont même pas encore fini leur scolarité, savent même pas transplané et il se dresse encore devant des gens qui n'ont pas peur de tué. Il entendit ensuite le Poufsouffle crier le nom de sa petit copine qui avait brûlé sous les foudres de sa furie de soeur. Xenia ? Ha, oui c'est donc pour cela que Rabastan avait parlé de la Romanov. Effectivement Alecto devra sûrement se justifier, mais il connaissait sa soeur, elle trouverait quelque chose d'intelligent à dire. Il regarda ne nouveau dans la direction de la russe qui l'avait mordu et il soupira. Il trouvait dommage d'amoché une si divine créature. Elle n'avait pas froid aux yeux et Amycus aimait ça.
Rabastan était dans un colère noir. C'est morpion le m'était hors de lui. Il avait l'impression de devoir gérer des idiots de moldus attardés en plus d'Alecto la furie. Quand il avait vu que le Serdaigle n'allait pas coopérait et qu'il s’apprêtait à lancer un sortilège sur Alecto il transplana non loin de lui. Le Poufsouffle le poussa un peu alors qu'il rampait vers la Romanov et il ne put stupéfier le Serdaigle avant que ce dernier ne stupéfie Alecto. Quand le Serdaigle se figea Rabastan le poussa en lui donnant un grand coup de pied pour le faire tomber par terre et il cria :
"Vous pensez qu'on est pas assez gentil avec vous !!! Par la barbe de Merlin, vous pensez qu'on se retient pas de tous vous tuer bande crottes de dragon ! Car c'est tout ce que vous êtes bande d'idiots ! Je vais vous révéler un petit secret ... on est pas seulement là pour vous torturer ... Non, non se serait bien trop simple voyons. Nous sommes là pour montrer à votre cher directeur quelques petites choses. Nous sommes là pour lui montrer que Poudlard peut aussi connaître le deuil. "
Il s'approcha du Serdaigle et arracha sa baguette de sa main stupéfié. Il avait encore le bras tendu. Il cassa la baguette et la jeta par dessus son épaule. Amycus se moquait de sa soeur stupéfié en riant à gorge déployé. Il était en même temps penchait sur la morsure que lui avait causé la russe. Il lança un sortilège qui guérit partiellement sa blessure. Pour le reste il s'en occuperait après. Rabastan toujours énervé cria à Alecto :
"Faut toujours que tu fasse tout foiré toi sale furie ! Bouge encore sans qu'on te le dise et c'est moi qui te fait souffrir ... Enervatum !"
Alecto se remit à bouger. Ellelança un sortilège de sourdine sur Amycus pour ne plus entendre ses rires idiots et se dirigea d'un pas décidé vers le Serdaigle. Il était encore stupéfié, il ne pourrait même pas crier... D'ailleurs elle ne voulait pas entendre sa petite voix de traitre. Rabastan la laissa faire, il se joignit même à elle. Les deux mangemorts pointèrent leur baguette sur le Serdaigle et entonnèrent en même temps :
"Endoloris !"
Amycus qui avait recouvrait la voie riait toujours aussi fort. Il attrapa de nouveau la Russe par les cheveux et chuchota :
"Imagine un peu la douleur que doit ressentir ton ami à l'instant. Il subit les colères de deux sorciers... Hum je pense que tu ne peux pas imaginer une telle chose. Ton imagination doit être trop limité, sinon tu ne m'aurait pas mordu comme tu l'a fait. On va faire quelque chose de mieux que d'imaginer en faite. On va te le faire ressentir un peu de sa douleur. Quand penses-tu ? "
Il lâcha ses cheveux, fit mine de se frotter les mains pour se préparer, pointa sa baguette vers le visage de la russe au visage ensanglanté par le nez qu'il avait cassé, et dit presque avec douceur :
"Endoloris"
C'est Rabastan qui s'arrêta le premier de torturer le Serdaigle. Il cria en disparaissant dans un nuage noir :
"Il y a quelqu'un qui nous regarde par la fenêtre ! Tant mieux on manquait de chair fraîche !"
Il transplana dehors et se retrouva faceà une autre jeune fille brune, aux yeux bleus et aux couleurs des gryffondors. Il pointa sa baguette vers elle et dit avant de la stupéfier :
"Comment s'appelle donc notre nouvelle invité ? "
Dans la Cabane, Amycus n'avait pas envie d'arrêter de torturer la Russe. Alecto elle faisait une pause, mais elle reviendrait torturer le Serdaigle. Elle se dirigea vers le poufsouffle et la gryffondor qu'elle avait brûler. La jeune fille était inconsciente, le jeune garçon semblait au bord de l'évanouissement. Elle regarda la flaque de sang autour de ces deux corps. On aurait pu trouver la scène romantique : deux amoureux qui vont mourir ensemble. Le problème c'est que Alecto ne pouvait pas laisser la Romanov mourir à cause d'elle. Elle pointa alors sa baguette sur le poitrine brûler de cette dernière et soigna un minimum les blessures. Elle devrait encore souffrir, mais elle ne devrait pas décéder de ça. Pour le Poufsouffle elle verrait plus tard. Elle ne savait pas qui il était, mais elle aurait sûrement aucun problème si elle le laissait claquer.
Rabastan entra avec le corps stupéfié de leur nouvelle invitée. Le corps raidit flottait au bout de la baguette de Rabastan. Il fouilla dans les poches de cette-dernière pour trouver sa baguette. Une fois l'objet magique trouvé, il lança un Enervatum qui la fit revenir à elle.
"Alors ma jolie, donne ton prénom. Je pense que tu vas nous être bien utile pour la suite. On avait besoin de quelqu'un ... qui soit encore capable de marcher."
HJ :
Dorcas a aperçut les signaux envoyés par Leroy dans le ciel peu de temps avant. Elle se dirige vers la Cabane et aperçoit le sang de Lucas dans la neige. Les gouttes vont jusqu'à la Cabane. Elle regarde par la fenêtre et se fait surprendre.
Ordre :
Dorcas Meadowes
Sveltlana Mikhaïlov
Leroy de Louvière
Xenia Rostislavna
Gabrielle Kipenson
Lucas Crawd
Mangemort (qui peut être seul ou plusieurs)
"Je reviens pour toi ma jolie. Tu te reconnaitra même dans un miroir !"
Il pensais qu'il avait été le seul à avoir du faire face à la fougue d'un des élèves, mais il aperçut un rayon qui alla frapper sa soeur. Il aperçut aussi la silhouette de Rabastan qui avait déjà transplané à côté du Serdaigle qui avait stupéfié sa soeur. Ce dernier le stupéfia également. Qu'ils sont idiot ces gosses. Ils ont même pas encore fini leur scolarité, savent même pas transplané et il se dresse encore devant des gens qui n'ont pas peur de tué. Il entendit ensuite le Poufsouffle crier le nom de sa petit copine qui avait brûlé sous les foudres de sa furie de soeur. Xenia ? Ha, oui c'est donc pour cela que Rabastan avait parlé de la Romanov. Effectivement Alecto devra sûrement se justifier, mais il connaissait sa soeur, elle trouverait quelque chose d'intelligent à dire. Il regarda ne nouveau dans la direction de la russe qui l'avait mordu et il soupira. Il trouvait dommage d'amoché une si divine créature. Elle n'avait pas froid aux yeux et Amycus aimait ça.
Rabastan était dans un colère noir. C'est morpion le m'était hors de lui. Il avait l'impression de devoir gérer des idiots de moldus attardés en plus d'Alecto la furie. Quand il avait vu que le Serdaigle n'allait pas coopérait et qu'il s’apprêtait à lancer un sortilège sur Alecto il transplana non loin de lui. Le Poufsouffle le poussa un peu alors qu'il rampait vers la Romanov et il ne put stupéfier le Serdaigle avant que ce dernier ne stupéfie Alecto. Quand le Serdaigle se figea Rabastan le poussa en lui donnant un grand coup de pied pour le faire tomber par terre et il cria :
"Vous pensez qu'on est pas assez gentil avec vous !!! Par la barbe de Merlin, vous pensez qu'on se retient pas de tous vous tuer bande crottes de dragon ! Car c'est tout ce que vous êtes bande d'idiots ! Je vais vous révéler un petit secret ... on est pas seulement là pour vous torturer ... Non, non se serait bien trop simple voyons. Nous sommes là pour montrer à votre cher directeur quelques petites choses. Nous sommes là pour lui montrer que Poudlard peut aussi connaître le deuil. "
Il s'approcha du Serdaigle et arracha sa baguette de sa main stupéfié. Il avait encore le bras tendu. Il cassa la baguette et la jeta par dessus son épaule. Amycus se moquait de sa soeur stupéfié en riant à gorge déployé. Il était en même temps penchait sur la morsure que lui avait causé la russe. Il lança un sortilège qui guérit partiellement sa blessure. Pour le reste il s'en occuperait après. Rabastan toujours énervé cria à Alecto :
"Faut toujours que tu fasse tout foiré toi sale furie ! Bouge encore sans qu'on te le dise et c'est moi qui te fait souffrir ... Enervatum !"
Alecto se remit à bouger. Ellelança un sortilège de sourdine sur Amycus pour ne plus entendre ses rires idiots et se dirigea d'un pas décidé vers le Serdaigle. Il était encore stupéfié, il ne pourrait même pas crier... D'ailleurs elle ne voulait pas entendre sa petite voix de traitre. Rabastan la laissa faire, il se joignit même à elle. Les deux mangemorts pointèrent leur baguette sur le Serdaigle et entonnèrent en même temps :
"Endoloris !"
Amycus qui avait recouvrait la voie riait toujours aussi fort. Il attrapa de nouveau la Russe par les cheveux et chuchota :
"Imagine un peu la douleur que doit ressentir ton ami à l'instant. Il subit les colères de deux sorciers... Hum je pense que tu ne peux pas imaginer une telle chose. Ton imagination doit être trop limité, sinon tu ne m'aurait pas mordu comme tu l'a fait. On va faire quelque chose de mieux que d'imaginer en faite. On va te le faire ressentir un peu de sa douleur. Quand penses-tu ? "
Il lâcha ses cheveux, fit mine de se frotter les mains pour se préparer, pointa sa baguette vers le visage de la russe au visage ensanglanté par le nez qu'il avait cassé, et dit presque avec douceur :
"Endoloris"
C'est Rabastan qui s'arrêta le premier de torturer le Serdaigle. Il cria en disparaissant dans un nuage noir :
"Il y a quelqu'un qui nous regarde par la fenêtre ! Tant mieux on manquait de chair fraîche !"
Il transplana dehors et se retrouva faceà une autre jeune fille brune, aux yeux bleus et aux couleurs des gryffondors. Il pointa sa baguette vers elle et dit avant de la stupéfier :
"Comment s'appelle donc notre nouvelle invité ? "
Dans la Cabane, Amycus n'avait pas envie d'arrêter de torturer la Russe. Alecto elle faisait une pause, mais elle reviendrait torturer le Serdaigle. Elle se dirigea vers le poufsouffle et la gryffondor qu'elle avait brûler. La jeune fille était inconsciente, le jeune garçon semblait au bord de l'évanouissement. Elle regarda la flaque de sang autour de ces deux corps. On aurait pu trouver la scène romantique : deux amoureux qui vont mourir ensemble. Le problème c'est que Alecto ne pouvait pas laisser la Romanov mourir à cause d'elle. Elle pointa alors sa baguette sur le poitrine brûler de cette dernière et soigna un minimum les blessures. Elle devrait encore souffrir, mais elle ne devrait pas décéder de ça. Pour le Poufsouffle elle verrait plus tard. Elle ne savait pas qui il était, mais elle aurait sûrement aucun problème si elle le laissait claquer.
Rabastan entra avec le corps stupéfié de leur nouvelle invitée. Le corps raidit flottait au bout de la baguette de Rabastan. Il fouilla dans les poches de cette-dernière pour trouver sa baguette. Une fois l'objet magique trouvé, il lança un Enervatum qui la fit revenir à elle.
"Alors ma jolie, donne ton prénom. Je pense que tu vas nous être bien utile pour la suite. On avait besoin de quelqu'un ... qui soit encore capable de marcher."
HJ :
Dorcas a aperçut les signaux envoyés par Leroy dans le ciel peu de temps avant. Elle se dirige vers la Cabane et aperçoit le sang de Lucas dans la neige. Les gouttes vont jusqu'à la Cabane. Elle regarde par la fenêtre et se fait surprendre.
Ordre :
Dorcas Meadowes
Sveltlana Mikhaïlov
Leroy de Louvière
Xenia Rostislavna
Gabrielle Kipenson
Lucas Crawd
Mangemort (qui peut être seul ou plusieurs)
Mangemort- Messages : 13
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Samedi après-midi, du soleil, du temps libre. Il n'en fallait pas plus à Dorcas pour se décider à sortir. Toute la semaine, à cause du mauvais temps, elle avait dû reporter son footing. Aussi ne pouvait-elle pas rater cette occasion. Elle avait proposé à plusieurs de ses amis de venir courir avec elle, sans succès. C'est donc seule et pas très couverte qu'elle quitta le château. Elle portait un leggins noir ainsi qu'un sous-pull rouge, fins mais enchantés pour lui tenir chaud sans l'encombrer dans sa course. Elle avait relevé ses cheveux dans une queue de cheval très haute.
Dorcas courut à foulées régulières dans le parc, puis le long du chemin qui menait à Pré-au-Lard. Elle ne croisa presque personne. Elle n'entendait que le bruit de ses pas dans la légère couche de neige fondue. Elle comptait faire demi-tour à l'entrée de Pré-au-Lard. Avant d'y parvenir, elle passa comme à chaque fois devant la cabane hurlante. Un hurlement strident s'éleva dans les airs et parvint jusqu'à Dorcas, qui était pourtant distante du lieu d'une bonne centaine de mètres. Cela suffit à la faire s'arrêter sur place, interdite. La cabane était réputée pour être hantée, mais personne n'avait entendu de cri depuis bien longtemps. Il arrivait bien que des hurlements surgissent de nuit, mais Dorcas était persuadée qu'il s'agissait de plaisantins venus pour se faire peur, et non d'un quelconque fantôme malfaisant.
Toutefois, le hurlement qu'elle venait d'entendre n'avait rien d'un cri poussé par jeu, ni d'un cri destiné à faire peur. Il s'agissait de l'expression d'une douleur intense. Dorcas se demanda si elle avait bien entendu quand un second hurlement jaillit. Plus de doutes, d'autant plus qu'elle remarqua alors un bouquet d'étincelles rouges, presque éteintes, qui flottaient au-dessus de la cabane. Dorcas reconnut aussitôt le signe de détresse, et son tempérament chevaleresque lui souffla d'aller porter secours à la personne à l'intérieur. Ni une ni deux, elle cessa ses petites foulées sur place et enjamba la barrière du jardin abandonné qui entourait la cabane hurlante. Le chemin était plein de congères, aussi prit-elle soin de brandir sa baguette devant ses pas en lançant à tous les mètres un sortilège de renforcement. Aussi légère qu'une plume, Dorcas marcha sur la neige sans laisser la moindre trace derrière elle.
Mais à mesure qu'elle s'approchait, elle sentait le danger augmenter et, surtout, elle voyait bien que la situation dépassait ses maigres capacités. Il y avait des du sang en quantité devant l'entrée de la cabane. Et il y avait plus d'une personne à l'intérieur. Maintenant qu'elle se trouvait tout près, elle entendait plusieurs voix. Certaines d'entre elles révélaient un caractère cruel et pervers.
Dorcas jeta un rapide coup d'oeil pour évaluer la situation à l'intérieur. Ce qu'elle vit de la scène la glaça. Son sang ne fit qu'un tour, et elle se retint de foncer dans le tas. Les élèves, à l'intérieur, étaient presque tous à terre, dans un état grave. Les Mangemorts ne feraient pas de quartier et, à elle seule, elle ne ferait pas le poids. Dorcas se rencogna derrière le mur avant que quelqu'un ne la voit, réfléchissant à ce qu'elle allait faire. Mais trop tard... on l'avait vue. Elle se tourna vers les bruits de pas qui s'avançaient vers elle.
Son propre visage se refléta dans le masque d'argent du Mangemort : "Comment s'appelle donc notre nouvelle invité ?" Il ne lui laissa pas l'occasion de répondre, la stupéfixant pour l'emmener à l'intérieur. Bien que son corps fut immobile, l'esprit de Dorcas était en pleine ébullition. Le Mangemort eut la présence d'esprit de la fouiller. Il trouva sa baguette magique dans la poche avant de son châle et elle se maudit de ne pas l'avoir prise en main avant : elle aurait pu éliminer l'ennemi dehors si elle ne s'était pas laissée surprendre comme une bleue... mais quel moyen avait-elle de savoir ce qui se tramait à l'intérieur ? Seul son coup d'oeil l'avait informé de la gravité de la situation.
Le Mangemort la ranima. Dorcas tomba durement au sol et se releva doucement, comme si elle était affaiblie. Mais tout ce qu'elle ressentait, maintenant, c'était une rage incontrôlable. Ils étaient trois mangemorts. Celui qui l'avait stupéfixée tenait toujours la baguette de la Gryffondor en main. Et il se trouvait près, très près d'elle...
"Alors ma jolie, donne ton prénom. Je pense que tu vas nous être bien utile pour la suite. On avait besoin de quelqu'un ... qui soit encore capable de marcher."
Elle fit mine de balbutier : "Je... je m'appelle..."
La peur lui nouait les entrailles mais son tempérament inflammable brûlait d'agir. Les plus aigris disaient que le courage était une valeur bonne pour les idiots qui voulaient mourir vite. Dorcas allait se faire un plaisir de leur prouver qu'elle était la reine des connes.
S'il y avait bien une chose à laquelle les sorciers (et surtout les sang-purs) ne s'attendaient jamais, c'était bien la violence physique. Dorcas le savait. Dès avant sa répartition en première année, dans le train qui menait à Poudlard, elle avait mit K. O. un septième année à Serpentard d'un unique coup de poing. La situation d'aujourd'hui n'était pas bien différente...
"Sauf que je risque ma peau pour de bon." songea-t-elle à part elle-même, terrifiée à l'idée d'une mort lente. "Pourvu que ce soit rapide, si ça doit arriver..." Foutu caractère de chevalier qui la poussait à sauver la veuve et l'orphelin...
Elle ne lui donna jamais son nom. Par contre, elle lui donna un coup de boule suffisamment fort pour avoir la satisfaction de lui casser le nez. Le monde chancela légèrement pour Dorcas, mais elle savait ce qu'elle faisait. Toutes ces années de boxe et de karaté dans le dôjô de son père, appris auprès des sensei japonais, ne pouvaient pas être inutiles ! En un tournemain, elle récupéra sa baguette magique et fit tomber celle de sa victime. Elle se servit de son corps comme bouclier entre elle et les autres. Pas très chevaleresque, ça, mais bon...
Dorcas tenait le mangemort de sa main libre et brandissait sa baguette magique de l'autre. Afin d'être sûre que le mangemort ne se révolte pas, et avant qu'il ait pu reprendre ses esprits, elle posa sa main libre sur le nez qu'elle venait de lui casser. S'il y avait bien pire douleur qu'un nez brisé, c'était un nez brisé qu'on pinçait fort. Le mangemort hurla, gigotant sans force, omnubilé par sa douleur. Dorcas afficha un sourire bravache.
"Mon nom, vous le saurez uniquement si vous mettez fin à mes jours et que vous le lisez sur ma tombe. Ce qui n'arrivera pas vu que les renforts sont en chemin..."
Elle mentait comme un arracheur de dents, mais si cela pouvait renverser la situation à leur avantage...
"Les gens du village ont vu les signaux eux aussi. Les Aurors sont en chemin." ajouta-t-elle le plus sérieusement du monde. Ses yeux, d'un bleu glacial, brillaient d'une lueur mauvaise. Plus le danger augmenter, plus elle se sentait en confiance.
En pensée, cela donnait plutôt : "Si le courage équivaut à l'idiotie et l'inconscience, alors je suis la reine des connes, vraiment..."
Dorcas courut à foulées régulières dans le parc, puis le long du chemin qui menait à Pré-au-Lard. Elle ne croisa presque personne. Elle n'entendait que le bruit de ses pas dans la légère couche de neige fondue. Elle comptait faire demi-tour à l'entrée de Pré-au-Lard. Avant d'y parvenir, elle passa comme à chaque fois devant la cabane hurlante. Un hurlement strident s'éleva dans les airs et parvint jusqu'à Dorcas, qui était pourtant distante du lieu d'une bonne centaine de mètres. Cela suffit à la faire s'arrêter sur place, interdite. La cabane était réputée pour être hantée, mais personne n'avait entendu de cri depuis bien longtemps. Il arrivait bien que des hurlements surgissent de nuit, mais Dorcas était persuadée qu'il s'agissait de plaisantins venus pour se faire peur, et non d'un quelconque fantôme malfaisant.
Toutefois, le hurlement qu'elle venait d'entendre n'avait rien d'un cri poussé par jeu, ni d'un cri destiné à faire peur. Il s'agissait de l'expression d'une douleur intense. Dorcas se demanda si elle avait bien entendu quand un second hurlement jaillit. Plus de doutes, d'autant plus qu'elle remarqua alors un bouquet d'étincelles rouges, presque éteintes, qui flottaient au-dessus de la cabane. Dorcas reconnut aussitôt le signe de détresse, et son tempérament chevaleresque lui souffla d'aller porter secours à la personne à l'intérieur. Ni une ni deux, elle cessa ses petites foulées sur place et enjamba la barrière du jardin abandonné qui entourait la cabane hurlante. Le chemin était plein de congères, aussi prit-elle soin de brandir sa baguette devant ses pas en lançant à tous les mètres un sortilège de renforcement. Aussi légère qu'une plume, Dorcas marcha sur la neige sans laisser la moindre trace derrière elle.
Mais à mesure qu'elle s'approchait, elle sentait le danger augmenter et, surtout, elle voyait bien que la situation dépassait ses maigres capacités. Il y avait des du sang en quantité devant l'entrée de la cabane. Et il y avait plus d'une personne à l'intérieur. Maintenant qu'elle se trouvait tout près, elle entendait plusieurs voix. Certaines d'entre elles révélaient un caractère cruel et pervers.
Dorcas jeta un rapide coup d'oeil pour évaluer la situation à l'intérieur. Ce qu'elle vit de la scène la glaça. Son sang ne fit qu'un tour, et elle se retint de foncer dans le tas. Les élèves, à l'intérieur, étaient presque tous à terre, dans un état grave. Les Mangemorts ne feraient pas de quartier et, à elle seule, elle ne ferait pas le poids. Dorcas se rencogna derrière le mur avant que quelqu'un ne la voit, réfléchissant à ce qu'elle allait faire. Mais trop tard... on l'avait vue. Elle se tourna vers les bruits de pas qui s'avançaient vers elle.
Son propre visage se refléta dans le masque d'argent du Mangemort : "Comment s'appelle donc notre nouvelle invité ?" Il ne lui laissa pas l'occasion de répondre, la stupéfixant pour l'emmener à l'intérieur. Bien que son corps fut immobile, l'esprit de Dorcas était en pleine ébullition. Le Mangemort eut la présence d'esprit de la fouiller. Il trouva sa baguette magique dans la poche avant de son châle et elle se maudit de ne pas l'avoir prise en main avant : elle aurait pu éliminer l'ennemi dehors si elle ne s'était pas laissée surprendre comme une bleue... mais quel moyen avait-elle de savoir ce qui se tramait à l'intérieur ? Seul son coup d'oeil l'avait informé de la gravité de la situation.
Le Mangemort la ranima. Dorcas tomba durement au sol et se releva doucement, comme si elle était affaiblie. Mais tout ce qu'elle ressentait, maintenant, c'était une rage incontrôlable. Ils étaient trois mangemorts. Celui qui l'avait stupéfixée tenait toujours la baguette de la Gryffondor en main. Et il se trouvait près, très près d'elle...
"Alors ma jolie, donne ton prénom. Je pense que tu vas nous être bien utile pour la suite. On avait besoin de quelqu'un ... qui soit encore capable de marcher."
Elle fit mine de balbutier : "Je... je m'appelle..."
La peur lui nouait les entrailles mais son tempérament inflammable brûlait d'agir. Les plus aigris disaient que le courage était une valeur bonne pour les idiots qui voulaient mourir vite. Dorcas allait se faire un plaisir de leur prouver qu'elle était la reine des connes.
S'il y avait bien une chose à laquelle les sorciers (et surtout les sang-purs) ne s'attendaient jamais, c'était bien la violence physique. Dorcas le savait. Dès avant sa répartition en première année, dans le train qui menait à Poudlard, elle avait mit K. O. un septième année à Serpentard d'un unique coup de poing. La situation d'aujourd'hui n'était pas bien différente...
"Sauf que je risque ma peau pour de bon." songea-t-elle à part elle-même, terrifiée à l'idée d'une mort lente. "Pourvu que ce soit rapide, si ça doit arriver..." Foutu caractère de chevalier qui la poussait à sauver la veuve et l'orphelin...
Elle ne lui donna jamais son nom. Par contre, elle lui donna un coup de boule suffisamment fort pour avoir la satisfaction de lui casser le nez. Le monde chancela légèrement pour Dorcas, mais elle savait ce qu'elle faisait. Toutes ces années de boxe et de karaté dans le dôjô de son père, appris auprès des sensei japonais, ne pouvaient pas être inutiles ! En un tournemain, elle récupéra sa baguette magique et fit tomber celle de sa victime. Elle se servit de son corps comme bouclier entre elle et les autres. Pas très chevaleresque, ça, mais bon...
Dorcas tenait le mangemort de sa main libre et brandissait sa baguette magique de l'autre. Afin d'être sûre que le mangemort ne se révolte pas, et avant qu'il ait pu reprendre ses esprits, elle posa sa main libre sur le nez qu'elle venait de lui casser. S'il y avait bien pire douleur qu'un nez brisé, c'était un nez brisé qu'on pinçait fort. Le mangemort hurla, gigotant sans force, omnubilé par sa douleur. Dorcas afficha un sourire bravache.
"Mon nom, vous le saurez uniquement si vous mettez fin à mes jours et que vous le lisez sur ma tombe. Ce qui n'arrivera pas vu que les renforts sont en chemin..."
Elle mentait comme un arracheur de dents, mais si cela pouvait renverser la situation à leur avantage...
"Les gens du village ont vu les signaux eux aussi. Les Aurors sont en chemin." ajouta-t-elle le plus sérieusement du monde. Ses yeux, d'un bleu glacial, brillaient d'une lueur mauvaise. Plus le danger augmenter, plus elle se sentait en confiance.
En pensée, cela donnait plutôt : "Si le courage équivaut à l'idiotie et l'inconscience, alors je suis la reine des connes, vraiment..."
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
La jeune russe ressentit une certaine satisfaction lorsqu’elle entendit le mangemort crier, et elle resserra un peu plus son emprise, enfonçant ses dents plus profondément. Le sang coulait entre ses lèvres, mais elle s'en foutait. Mais, LUI, il avait encore sa baguette et elle vit un sortilège d'un rouge carmin foncer dans sa direction, trop rapide pour l'éviter. Lana sentit ses jambes, ses bras s'engourdir et elle s'écroula sur le plancher, incapable de faire le moindre mouvement, incapable d'éviter le coup de pied qui provoqua un nouveau craquement, celui de son nez. Impossible de gémir, d'exprimer sa douleur.
"Je reviens pour toi ma jolie. Tu ne te reconnaîtra même plus dans un miroir !"
Qu'il vienne lui briser tous les os de son corps, il ne pouvait empêcher la colère et la hargne de gronder en elle. C'était bien plus grand que la peur qu'elle ressentait, elle en était secondaire, grande mais à l'arrière plan. Malgré le sortilège, on pouvait la voir trembler de rage et une vitre non loin se brisa, éparpillant des milliers de morceaux autour de la scène, puis se fut la suivante et une autre et encore une autre. Il y avait un nuage sombre autour d'elle qui l'empêcher de prendre pied avec la réalité, de prendre conscience, enfermée dans sa colère. Mais le nom d'un sortilège la ramena à la dure et effrayante réalité, celle de son ami qui se faisait torturer. La colère s'envola et laissa place à la détresse. Non, elle ne voulait pas. Pas lui. Mais le temps lui manqua, le mangemort avait retourné son attention sur elle.
"Imagine un peu la douleur que doit ressentir ton ami à l'instant. Il subit les colères de deux sorciers... Hum je pense que tu ne peux pas imaginer une telle chose. Ton imagination doit être trop limité, sinon tu ne m'aurait pas mordu comme tu l'a fait. On va faire quelque chose de mieux que d'imaginer en faite. On va te le faire ressentir un peu de sa douleur. Quand penses-tu ? "
Non. Non. Non. Et bien Si. Ce fut comme des aiguilles que l'on enfonçait dans son corps, des pointes chauffées à blancs, apposées sur sa peau avec une lenteur et une douceur machiavélique. Chaque parcelle semblait subir cette douleur, si bien qu'elle ne savait même plus où elle avait mal. Partout. Qu'il arrête. Son corps immobile devenait de plus en plus blanc, passant de la douceur et de la beauté de la porcelaine à la blancheur cadavérique. Seul son regard gris de Playne semblait exprimer l’intense souffrance, si bien que pour la première fois depuis bien longtemps, une larme coule le long de sa joue et s'écrasa sur le sol. Elle avait mal, pitié qu'il cesse. Elle l'aurait supplié à genoux d'arrêter. Le courage ne faisait pas parti de ses cordes.
Il continuait, encore et toujours, si bien qu'elle sentit son esprit s'égarer tandis que la douleur continuait inlassablement. Le regard se faisait vide, à demi-inconsciente, elle remarqua à peine l'arrivée de Dorcas. Mais en tout cas, son intervention eut quelque chose de bon, en boxant littéralement le mangemort, elle avait attiré l'attention de son tortionnaire qui s'était résigné à terminer sa besogne. Mais Lana ne pouvait toujours pas bouger, seul ses yeux pouvaient encore se mouvoir, mais elle n'avait qu'une envie, qu'on la laisse tranquille, qu'il arrête. Si elle le pouvait, elle se serait sûrement recroquevillée. Malgré sa colère, sa hargne, sa volonté de défendre ses amis, elle était faible …
"Je reviens pour toi ma jolie. Tu ne te reconnaîtra même plus dans un miroir !"
Qu'il vienne lui briser tous les os de son corps, il ne pouvait empêcher la colère et la hargne de gronder en elle. C'était bien plus grand que la peur qu'elle ressentait, elle en était secondaire, grande mais à l'arrière plan. Malgré le sortilège, on pouvait la voir trembler de rage et une vitre non loin se brisa, éparpillant des milliers de morceaux autour de la scène, puis se fut la suivante et une autre et encore une autre. Il y avait un nuage sombre autour d'elle qui l'empêcher de prendre pied avec la réalité, de prendre conscience, enfermée dans sa colère. Mais le nom d'un sortilège la ramena à la dure et effrayante réalité, celle de son ami qui se faisait torturer. La colère s'envola et laissa place à la détresse. Non, elle ne voulait pas. Pas lui. Mais le temps lui manqua, le mangemort avait retourné son attention sur elle.
"Imagine un peu la douleur que doit ressentir ton ami à l'instant. Il subit les colères de deux sorciers... Hum je pense que tu ne peux pas imaginer une telle chose. Ton imagination doit être trop limité, sinon tu ne m'aurait pas mordu comme tu l'a fait. On va faire quelque chose de mieux que d'imaginer en faite. On va te le faire ressentir un peu de sa douleur. Quand penses-tu ? "
Non. Non. Non. Et bien Si. Ce fut comme des aiguilles que l'on enfonçait dans son corps, des pointes chauffées à blancs, apposées sur sa peau avec une lenteur et une douceur machiavélique. Chaque parcelle semblait subir cette douleur, si bien qu'elle ne savait même plus où elle avait mal. Partout. Qu'il arrête. Son corps immobile devenait de plus en plus blanc, passant de la douceur et de la beauté de la porcelaine à la blancheur cadavérique. Seul son regard gris de Playne semblait exprimer l’intense souffrance, si bien que pour la première fois depuis bien longtemps, une larme coule le long de sa joue et s'écrasa sur le sol. Elle avait mal, pitié qu'il cesse. Elle l'aurait supplié à genoux d'arrêter. Le courage ne faisait pas parti de ses cordes.
Il continuait, encore et toujours, si bien qu'elle sentit son esprit s'égarer tandis que la douleur continuait inlassablement. Le regard se faisait vide, à demi-inconsciente, elle remarqua à peine l'arrivée de Dorcas. Mais en tout cas, son intervention eut quelque chose de bon, en boxant littéralement le mangemort, elle avait attiré l'attention de son tortionnaire qui s'était résigné à terminer sa besogne. Mais Lana ne pouvait toujours pas bouger, seul ses yeux pouvaient encore se mouvoir, mais elle n'avait qu'une envie, qu'on la laisse tranquille, qu'il arrête. Si elle le pouvait, elle se serait sûrement recroquevillée. Malgré sa colère, sa hargne, sa volonté de défendre ses amis, elle était faible …
Svetlana Mikhaïlov♥ La Reine des Glaces♣ - Messages : 242
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Leroy fit un geste dans la direction de Svetlana lorsque le Mangemort qui la tenait se retourna contre elle, mais l’autre fut plus rapide et stupéfixa son amie avant de la frapper vicieusement au visage. Pas elle, encore ! Comment pouvaient-ils s’acharner avec une telle sauvagerie ? Elle était déjà blessée et stupéfixée ! Il ne put cependant intervenir car le troisième Mangemort transplana à côté de lui et, dans le même geste, l’immobilisa. Le garçon ragea de se trouver ainsi pris au piège, incapable du moindre mouvement. L’homme lui envoya un coup de pied dans les jambes, qui le fit basculer au sol. Leroy se raidit contre le sortilège, dans un réflexe pour amortir sa chute mais rien n’y fit : ses bras ne bougèrent pas. La chute lui parut interminable. Il heurta douloureusement le vieux plancher de la Cabane, ce qui l’étourdit un instant. Le choc résonnait sous son crâne et il s’efforça de reprendre ses esprits.
Le Mangemort qui l’avait fait tomber paraissait furieux et il se mit à les invectiver. Ses paroles serrèrent le cœur du garçon… Montrer que Poudlard pouvait aussi connaître le deuil ? Avec l’énergie du désespoir, le garçon luttait contre le sortilège qui l’immobilisait ; il aurait voulu répondre au Mangemort, lui dire qu’il ne les tuerait pas aussi facilement, qu’ils lutteraient jusqu’au bout. Vaines paroles peut-être, mais son impuissance le rendait furieux. Leroy ne put que regarder l’homme masqué se pencher sur lui et lui arracher sa baguette qu’il brisa d’un geste sec, avant de la jeter par-dessus son épaule, comme une vulgaire brindille. Le cœur du garçon entama une chute vertigineuse dans sa poitrine. Sa baguette…celle de sa mère, celle avec laquelle il avait affronté son père, s’était enfui, et se débrouillait depuis deux ans. Celle avec laquelle il s’entraînait si durement. Ils s’étaient apprivoisés tous les deux au fil des exercices, elle était devenue une extension de lui-même, un rappel de la protection de sa mère, une compagne de tous les instants, et maintenant… Tant qu’il l’avait en main, il était en mesure d’agir, de se poser face aux autres. A présent, il se sentait étrangement démuni, vulnérable…sans défense.
Le Mangemort se détourna de lui pour libérer Alecto et tous deux revinrent ensuite vers lui. Leroy les foudroya du regard, bien conscient de la précarité de sa position et de ce qu’ils pouvaient lui faire. Il devait y avoir un moyen de rompre ce maudit sortilège ! En se détendant un minimum, il arriverait peut-être à lâcher prise suffisamment pour retrouver cette utilisation instinctive qu’avaient les petits sorciers de leur pouvoir, avant qu’il ne soit canalisé par une baguette… Mais il n’eut pas le temps de mettre sa théorie à l’épreuve. Les deux Mangemorts avaient levé leurs baguettes et il comprit ce qu’ils allaient lancer. Le dernier Mangemort riait et Leroy aurait beaucoup donné pour le faire taire. Il se crispa pour tenter de contenir la douleur, mais il savait que c’était inutile. Que rien ne pourrait enrayer la souffrance.
-Endoloris !
La douleur jaillit, plus forte que jamais, et le monde environnant disparut. Son père lui avait déjà lancé le sort, à deux reprises, le soir où il était parti, mais jamais il n’aurait pensé le subir deux fois en même temps. La souffrance dépassait tout ce qu’il aurait pu imaginer. C’était comme si une multitude de lames chauffées à blanc le transperçaient, comme si une flamme vive parcourait librement son corps, l’embrasait tout entier, courait dans ses veines, envahissait son esprit pour le réduire en cendres. Le feu liquide n’épargnait aucune partie de son corps et cette douleur paraissait ne jamais devoir finir. Intolérable. Insoutenable.
Tous les muscles du garçon se raidissaient contre l’assaut, tentaient de se replier pour esquisser un vague geste de protection, de défense, pour se recroqueviller et faire cesser l’intolérable torture d’une façon ou d’une autre, mais il était toujours incapable de bouger. Un long cri muet s’échappait de sa gorge, déchirant ses cordes vocales. Il était incapable de penser à quoi que ce fût ; aucune pensée cohérente ne lui venait, pas même la simple idée qu’il fallait que cela cesse. Incapable de succomber à la bienheureuse inconscience qui l’aurait protégé, il n’était que souffrance.
Puis le sort s’évanouit aussi brutalement qu’il était venu. Sa poitrine se soulevant au rythme trop rapide de son souffle, Leroy mit un moment avant de recouvrer son calme, de reprendre conscience de ce qui se passait autour de lui. Plus jamais ça, fut la première pensée qu’il parvint à formuler. Tout son corps le faisait souffrir, comme si une multitude d’échardes s’étaient soudain infiltrées sous sa peau et les courbatures commençaient à apparaître, signes de la trop vive tension à laquelle avaient été soumis ses muscles. Il n’aspirait qu’à se replier sur lui-même, loin de toute cette agitation, de toute cette douleur mais les Doloris n’avaient pas fait disparaître le Stupéfix. Même si ça avait été le cas, le garçon doutait d’avoir la force de se relever avant quelques minutes encore, encore moins celle de lutter et de se défendre.
Dans sa position, il ne pouvait pas apercevoir Svetlana et il espérait que les Mangemorts cesseraient de s’en prendre à elle…De même, les deux Gryffondorts et le Poufsouffle se trouvaient hors de son champ de vision restreint. En revanche, à côté, il distinguait une autre Gryffondor qu’il mit un instant à reconnaître. Dorcas Meadowes. Prise au piège de la même façon qu’eux. Mais la jeune fille disposait encore de nombreuses ressources et sa combativité naturelle ne paraissait pas entamée, à voir la façon dont elle s’en prenait au Mangemort qui la tenait. Ce fut avec une sombre satisfaction que Leroy entendit le choc entre le nez de l’homme et le crâne de Dorcas. 1-0 pour la Gryffondor. Néanmoins, son impulsivité pouvait lui coûter cher. Pourvu que les Mangemorts n’apprennent pas son nom et ne découvrent pas son statut de née-moldue ! Elle ferait une victime de choix pour eux.
De nouveau, le garçon mobilisa les maigres forces qu’il avait récupérées pour tenter de lutter contre les liens invisibles du sortilège. Il ne durerait pas éternellement…
Le Mangemort qui l’avait fait tomber paraissait furieux et il se mit à les invectiver. Ses paroles serrèrent le cœur du garçon… Montrer que Poudlard pouvait aussi connaître le deuil ? Avec l’énergie du désespoir, le garçon luttait contre le sortilège qui l’immobilisait ; il aurait voulu répondre au Mangemort, lui dire qu’il ne les tuerait pas aussi facilement, qu’ils lutteraient jusqu’au bout. Vaines paroles peut-être, mais son impuissance le rendait furieux. Leroy ne put que regarder l’homme masqué se pencher sur lui et lui arracher sa baguette qu’il brisa d’un geste sec, avant de la jeter par-dessus son épaule, comme une vulgaire brindille. Le cœur du garçon entama une chute vertigineuse dans sa poitrine. Sa baguette…celle de sa mère, celle avec laquelle il avait affronté son père, s’était enfui, et se débrouillait depuis deux ans. Celle avec laquelle il s’entraînait si durement. Ils s’étaient apprivoisés tous les deux au fil des exercices, elle était devenue une extension de lui-même, un rappel de la protection de sa mère, une compagne de tous les instants, et maintenant… Tant qu’il l’avait en main, il était en mesure d’agir, de se poser face aux autres. A présent, il se sentait étrangement démuni, vulnérable…sans défense.
Le Mangemort se détourna de lui pour libérer Alecto et tous deux revinrent ensuite vers lui. Leroy les foudroya du regard, bien conscient de la précarité de sa position et de ce qu’ils pouvaient lui faire. Il devait y avoir un moyen de rompre ce maudit sortilège ! En se détendant un minimum, il arriverait peut-être à lâcher prise suffisamment pour retrouver cette utilisation instinctive qu’avaient les petits sorciers de leur pouvoir, avant qu’il ne soit canalisé par une baguette… Mais il n’eut pas le temps de mettre sa théorie à l’épreuve. Les deux Mangemorts avaient levé leurs baguettes et il comprit ce qu’ils allaient lancer. Le dernier Mangemort riait et Leroy aurait beaucoup donné pour le faire taire. Il se crispa pour tenter de contenir la douleur, mais il savait que c’était inutile. Que rien ne pourrait enrayer la souffrance.
-Endoloris !
La douleur jaillit, plus forte que jamais, et le monde environnant disparut. Son père lui avait déjà lancé le sort, à deux reprises, le soir où il était parti, mais jamais il n’aurait pensé le subir deux fois en même temps. La souffrance dépassait tout ce qu’il aurait pu imaginer. C’était comme si une multitude de lames chauffées à blanc le transperçaient, comme si une flamme vive parcourait librement son corps, l’embrasait tout entier, courait dans ses veines, envahissait son esprit pour le réduire en cendres. Le feu liquide n’épargnait aucune partie de son corps et cette douleur paraissait ne jamais devoir finir. Intolérable. Insoutenable.
Tous les muscles du garçon se raidissaient contre l’assaut, tentaient de se replier pour esquisser un vague geste de protection, de défense, pour se recroqueviller et faire cesser l’intolérable torture d’une façon ou d’une autre, mais il était toujours incapable de bouger. Un long cri muet s’échappait de sa gorge, déchirant ses cordes vocales. Il était incapable de penser à quoi que ce fût ; aucune pensée cohérente ne lui venait, pas même la simple idée qu’il fallait que cela cesse. Incapable de succomber à la bienheureuse inconscience qui l’aurait protégé, il n’était que souffrance.
Puis le sort s’évanouit aussi brutalement qu’il était venu. Sa poitrine se soulevant au rythme trop rapide de son souffle, Leroy mit un moment avant de recouvrer son calme, de reprendre conscience de ce qui se passait autour de lui. Plus jamais ça, fut la première pensée qu’il parvint à formuler. Tout son corps le faisait souffrir, comme si une multitude d’échardes s’étaient soudain infiltrées sous sa peau et les courbatures commençaient à apparaître, signes de la trop vive tension à laquelle avaient été soumis ses muscles. Il n’aspirait qu’à se replier sur lui-même, loin de toute cette agitation, de toute cette douleur mais les Doloris n’avaient pas fait disparaître le Stupéfix. Même si ça avait été le cas, le garçon doutait d’avoir la force de se relever avant quelques minutes encore, encore moins celle de lutter et de se défendre.
Dans sa position, il ne pouvait pas apercevoir Svetlana et il espérait que les Mangemorts cesseraient de s’en prendre à elle…De même, les deux Gryffondorts et le Poufsouffle se trouvaient hors de son champ de vision restreint. En revanche, à côté, il distinguait une autre Gryffondor qu’il mit un instant à reconnaître. Dorcas Meadowes. Prise au piège de la même façon qu’eux. Mais la jeune fille disposait encore de nombreuses ressources et sa combativité naturelle ne paraissait pas entamée, à voir la façon dont elle s’en prenait au Mangemort qui la tenait. Ce fut avec une sombre satisfaction que Leroy entendit le choc entre le nez de l’homme et le crâne de Dorcas. 1-0 pour la Gryffondor. Néanmoins, son impulsivité pouvait lui coûter cher. Pourvu que les Mangemorts n’apprennent pas son nom et ne découvrent pas son statut de née-moldue ! Elle ferait une victime de choix pour eux.
De nouveau, le garçon mobilisa les maigres forces qu’il avait récupérées pour tenter de lutter contre les liens invisibles du sortilège. Il ne durerait pas éternellement…
Leroy de Louvière- Messages : 335
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Xenia avait vu la furie de la femme mangemort se déchainer sur elle. Elle se souvenait d’une lumière, une boule de feu qui arrivait vers elle en dansant. Elle se souvenait d’une douleur aigu. Une brûlure, elle brûlait. La douleur était si vive qu’elle s'évanouit, elle avait l’impression que le feu avait ronger toute la peau de sa poitrine et qu’elle commençait à s’attaquer à ses poumons, à son corps. Elle n’eut pas délire alors qu’elle était évanouie et c’est le contacte de la main froid de quelqu’un qui sa tira de sa torpeur. Elle entendit aussi quelqu’un appeler son nom. Elle ne savait pas si cette personne était proche ou loin d’elle mais elle la reconnaissait après l’avoir repasser en boucle dans sa tête. C’était Lucas qui avait crier son nom. Elle tenta de se relever mais sa brûlure lui arracha des larmes. Ces larmes étaient autant faite de douleur, de peine, de peur que de rage. Elle vit une des mangemorts venir vers elle et enlever un peu de sa douleur. Est ce que cela était au moins possible ? Pourquoi vouloir presque la tuer pour ensuite la soigner pour ne pas qu’elle meurt ici et maintenant. Xenia avait le souffle court, elle respirait difficilement. Chaque bouffée d’air la brûler intensément. Xenia chercha à l’aveuglette les cheveux de Lucas et y plongea une main. Elle ne bougeais pas restant allonger pour ne pas que les mangemort la voit éveiller. Elle entendit ensuite des voix plus lointaine. Elle entendit un bruit sourd, comme un membre qui se casser et la voix d’une fille qu’elle connaissait. Mais comment était-elle arrivée ici ? Que faisait Dorcas par là ? Savait-elle qu’elle était la plus en danger à cause de son sang. Il me semblait qu’avant de m’évanouir totalement j’avais entendue le nom Romanov. Est ce que l’un d’entre eu connaissait sa famille ? Cela n’étonnait pas Xenia, elle avait toujours suspecter son grand-père d’être allié avec Lors Voldemort. Xenia entendit que Dorcas avait prévenue les secours ? Quel secours ? Si elle l’avait vraiment fait elle serait avec eux, pas là pris au piège comme une rat comme eux.
Xenia serra des dents, et bougea doucement sa main vers la poche de son manteau ensorcelé pour saisir sa baguette. Elle tenait sa baguette fermement. Elle avait peur qu’on le lui casse comme avec Svetlana peut de temps avant qu’elle ne s’évanouisse. Elle avait peur pour sa cousine également. Elle avait peur qu’elle ne se remette jamais de cela. Elle avait déjà tant souffert dans sa jeune existence... Je me disais que tout le monde devait avoir les yeux sur Dorcas qui était la seule à ne pas être blessée pour le moment. Xenia pensa à un moment heureux. Elle se concentrait mais c’était difficile dans ce genre de situation. Ses doigts dans les cheveux de Lucas lui permit de pensait à un instant de bonheur pur. Elle se remémorait leur premier baiser au Lac, elle se remémorait le moment où Lucas lui avait dit avoir confiance en elle. Elle sortie alors sa baguette et se concentra pour faire un sortilège informulé. Elle l’avait très peu fait et espérait que cela marche. Elle respira profondément. La douleur n’enleva pas ses pensées heureuses. Elle lança alors un Patronus charger d’un message pour leur directeur. Ce n’était pas des phrases juste un tas de mots : «Les mangemorts, otages, cabane hurlante, vite» Un titre argenté se forma et s’envola. Xenia savait que maintenant elle était repérer elle se dépêcha, malgré la douleur de se relever un minimum pour lancer un Protego sur elle Lucas qui étaient les plus proche d’elle. Elle cligna des yeux en regardant Dorcas tenir un des mangemort. Elle rajouta à la phrase de Dorcas :
« J’espère que vous vous plairez à Azkaban ...»
Elle eu un sourire faiblard mais ses cheveux rouges vif montrer toute la colère, la rage et la détermination qu’elle avait. Même blesser presque à mort, l’adrénaline lui permettait de maintenir son esprit un minimum présent. Elle lança un nouveau Protégo pour être sur. Elle n’avait pas l’intention de les laissait attendre que le charme se termine. Elle en lancerait toutes les secondes s’ils le fallait. Elle rajouta en regardant la mangemort qui l’avais brûler :
«Je t’avais dit de te renseigner sur qui tu attaques pauvre folle !»
C’était de la provoque, mais Xenia n’en avait rien à faire. Elle semblait la seule à pouvoir parler, les autres étaient stupéfié ou dans un état léthargique.
«Souvenez-vous bien de nous tous ici, car nous allons nous en sortir. Comme l’a dit la fille qui a casser le nez de votre bouseux de copain, les Aurors et surtout Dumbledor arrivent. Une fois sortie de là je vous jure que je vais vous poursuivre pour vous faire payer ce que vous nous avez fait... On le fera tous ! Surtout, celle qui ma brûler sans savoir à qui elle avait à faire. Il y a très peu de femme qui servent votre maître ... Se sera un jeu ... un jeu d’enfant de la trouver...»
Xenia lança eu un petit sourire de défit. Ses mots avaient était prononcés avec difficultés, mais le ton était tranchant et haineux. Elle avait horreur qu’on la piétine, qu’on piétine sa fierté et qu’on touche au gens qu’elle aimait. Elle n’avait pas vraiment d’affection pour Gaby, mais pour les autres elle les appréciait et même les aimait d’un amour fort pour certain et fraternelle pour d’autre. Xenia lança encore un Protego en regardant ses bourreaux avec ses yeux céruléens. Ils n’arrêtaient pas de changer de couleur selon les pensées qu’elle avait : rouge pour l’envie de les tuer aussi, noir pour la douleur, blanc pour l’espoir de voir le directeur de Poudlard arrivait avec d’autres renfort et les sauver tous.
Xenia serra des dents, et bougea doucement sa main vers la poche de son manteau ensorcelé pour saisir sa baguette. Elle tenait sa baguette fermement. Elle avait peur qu’on le lui casse comme avec Svetlana peut de temps avant qu’elle ne s’évanouisse. Elle avait peur pour sa cousine également. Elle avait peur qu’elle ne se remette jamais de cela. Elle avait déjà tant souffert dans sa jeune existence... Je me disais que tout le monde devait avoir les yeux sur Dorcas qui était la seule à ne pas être blessée pour le moment. Xenia pensa à un moment heureux. Elle se concentrait mais c’était difficile dans ce genre de situation. Ses doigts dans les cheveux de Lucas lui permit de pensait à un instant de bonheur pur. Elle se remémorait leur premier baiser au Lac, elle se remémorait le moment où Lucas lui avait dit avoir confiance en elle. Elle sortie alors sa baguette et se concentra pour faire un sortilège informulé. Elle l’avait très peu fait et espérait que cela marche. Elle respira profondément. La douleur n’enleva pas ses pensées heureuses. Elle lança alors un Patronus charger d’un message pour leur directeur. Ce n’était pas des phrases juste un tas de mots : «Les mangemorts, otages, cabane hurlante, vite» Un titre argenté se forma et s’envola. Xenia savait que maintenant elle était repérer elle se dépêcha, malgré la douleur de se relever un minimum pour lancer un Protego sur elle Lucas qui étaient les plus proche d’elle. Elle cligna des yeux en regardant Dorcas tenir un des mangemort. Elle rajouta à la phrase de Dorcas :
« J’espère que vous vous plairez à Azkaban ...»
Elle eu un sourire faiblard mais ses cheveux rouges vif montrer toute la colère, la rage et la détermination qu’elle avait. Même blesser presque à mort, l’adrénaline lui permettait de maintenir son esprit un minimum présent. Elle lança un nouveau Protégo pour être sur. Elle n’avait pas l’intention de les laissait attendre que le charme se termine. Elle en lancerait toutes les secondes s’ils le fallait. Elle rajouta en regardant la mangemort qui l’avais brûler :
«Je t’avais dit de te renseigner sur qui tu attaques pauvre folle !»
C’était de la provoque, mais Xenia n’en avait rien à faire. Elle semblait la seule à pouvoir parler, les autres étaient stupéfié ou dans un état léthargique.
«Souvenez-vous bien de nous tous ici, car nous allons nous en sortir. Comme l’a dit la fille qui a casser le nez de votre bouseux de copain, les Aurors et surtout Dumbledor arrivent. Une fois sortie de là je vous jure que je vais vous poursuivre pour vous faire payer ce que vous nous avez fait... On le fera tous ! Surtout, celle qui ma brûler sans savoir à qui elle avait à faire. Il y a très peu de femme qui servent votre maître ... Se sera un jeu ... un jeu d’enfant de la trouver...»
Xenia lança eu un petit sourire de défit. Ses mots avaient était prononcés avec difficultés, mais le ton était tranchant et haineux. Elle avait horreur qu’on la piétine, qu’on piétine sa fierté et qu’on touche au gens qu’elle aimait. Elle n’avait pas vraiment d’affection pour Gaby, mais pour les autres elle les appréciait et même les aimait d’un amour fort pour certain et fraternelle pour d’autre. Xenia lança encore un Protego en regardant ses bourreaux avec ses yeux céruléens. Ils n’arrêtaient pas de changer de couleur selon les pensées qu’elle avait : rouge pour l’envie de les tuer aussi, noir pour la douleur, blanc pour l’espoir de voir le directeur de Poudlard arrivait avec d’autres renfort et les sauver tous.
Xenia P. RomanovaHer Royal Highness Princess Xenia Petrovna Romanova of Russia - Messages : 570
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Le sort qui m'avait traversé comme une tension électrique, fil conducteur venant de mon crâne jusqu'à la pointe de mes orteils, s'était dissipé. Plus rien. Le calme après la tempête qui avait rugit dans mon corps. La douleur s'évanouissait, peu à peu, me laissant tel un champ de bataille après la victoire du camp adversaire. Désertique, si l'on oubliait les corps morts, le sang, et les armes, tombées au sol en signe de défaite. J'étais un champ de bataille ; vaincue, ou presque. Me restait-il un espoir ? Si, mince. Si mince. Trop mince pour qu'il soit réel. Mais je n'appartenais plus à la réalité, déjà. Du reste, depuis quand étais-je partie ? Depuis quand m'étais déconnectée ? Avais-je abandonnée trop vite ? Tant de souffrances, tellement, trop... qui avaient brisé mon coeur, perdu ma foi, détruit mon esprit courageux et fier. Ma vie, la mienne, m'avait détruite. J'étais à l'état d'un légume, un pauvre corps inerte, inutile. Je ne souffrais même plus, mais je ne bougeai pas. Le pouvais-je ? Il fallait d'abord décider si je le voulais. La vérité, c'était que j'étais fatiguée. Fatiguée de me battre pour rester la tête hors de l'eau, me débattant dans des profondeurs qui semblaient vouloir me ramener vers elles... Comme pataugeant dans un marais, où les algues retenaient mes pieds, et mes mains, sans me laisser un seul espoir de survie. Où était passée ma volonté ? Mes rêves, et mes espoirs ? Mon envie de vivre, tout simplement ? S'étaient-ils évaporés, écrasés par mes démons ?
Dans le vague qui m'entourait, la brume douloureuse, et les tourments de mon esprit, mes souvenirs remontèrent. Et ce fut une avalanche de coups de poignards : la mort de mes parents ; mon oncle ... et ce fut le pire... ses coups, ses mots, ses abus ; et puis tant de mensonges que j'avais construits, imaginés pour pouvoir me protéger de la honte, de la terrible révélation. Les regrets, plus forts que tout le reste. J'eus un sursaut, ma poitrine se souleva, et les larmes coulèrent. J'étais seule dans ma tourmente, dans le tourbillon de pensées qui était le mien. Seule, toujours, dans ma peine. Et comment me plaindre! Comment me plaindre d'une chose que j'avais voulu ! C'était ma faute , entièrement ma faute. Punie, par mes mensonges, par mes tromperies... Mais le retour en arrière n'existait pas.La Magie était puissante, mais elle ne permettait pas d'effacer ses propres erreurs. Les miennes étaient écrites à l'indélébile. Ineffaçable. Et alors que je n'avais jamais regretté mon silence, et ses conséquences, je me retrouvais, là...allongée par terre, rongée par une envie qui me revenait à peine. La Vie était cruelle ~ elle vous fait croire que vous n'avez rien à perdre, que vous n'avez plus rien à donner ou à prendre, et que vous n'avez qu'à abandonner, et baisser les bras ...et puis...soudain alors que vous approchez d'une délivrance que vous avez souhaité depuis tellement longtemps...vous retrouver ce qu'on appelle "l'envie de vivre". N'était-ce pas la cruauté même ? Et cette cruauté, j'en étais responsable. J'en étais la cause. La conséquence. Peu importait.
La réalité s'imposait à moi : plus j'approchais de la fin qui pesait lourdement dans l'air, dans l'atmosphère de violence et de mort qui régnait autour de moi, plus je comprenais...j'avais été stupide. J'étais jeune, je voulais vivre ! Je voulais vivre !Je voulais revoir James, lui parler, l'embrasser une dernière fois. Je voulais réveiller une nouvelle fois Sirius par surprise, je voulais qu'il me taquine encore un peu, qu'on se chamaille comme toujours. Je voulais rester près de Lucas, être là pour le voir heureux, je voulais pouvoir lui dire la vérité. A tous, tout leur dire. Partager cette peine qui était devenue trop grande pour moi seule, et qui avait remplacé ma joie par le malheur. Je voulais vivre avec eux tous, continuais à être là...à exister.
Autour de moi, tout se faisait plus clair. Lucas et Xenia, tous les deux blessés. Dorcas qui venait d'arriver. Des secours ? Du renfort ? Merlin...je l'espérais. Le serdaigle fut soumis au même sortilège que moi... j'aurais voulus l'aider, mais comment aurais-je pu ?
Je me tournai vers Lucas, et Xenia. Mon regard s'arrêta sur mon meilleur ami ; et je lui tendis la main...pour essayer de l'atteindre, et je pleurais...je pleurais parce que j'étais tellement désolée pour lui, tellement navrée de ne pas avoir été plus forte avant, et de lui avoir menti si injustement. Je voulais juste lui dire, mais je crois que mon regard suffit. Il devait suffire. Parce que je ne trouvais pas les mots... J'aurais voulus être avec James, qu'il soit là pour me protéger, pour me rassure comme il l'avait toujours fait... j'aurais voulu avoir Sirius à mes côtés, lui si fort...si courageux. Plus que tous. Je voulais un appui, quelque chose pour me rattacher à la vie...je le voulais ! Je le voulais tellement ! James, où es-tu ? Sirius, où es-tu ? Il nous fallait de l'aide, quelque chose d'utile... un espoir au moins. Un espoir de survie. Parce que...je voulais vivre. Je le voulais vraiment.
Dans le vague qui m'entourait, la brume douloureuse, et les tourments de mon esprit, mes souvenirs remontèrent. Et ce fut une avalanche de coups de poignards : la mort de mes parents ; mon oncle ... et ce fut le pire... ses coups, ses mots, ses abus ; et puis tant de mensonges que j'avais construits, imaginés pour pouvoir me protéger de la honte, de la terrible révélation. Les regrets, plus forts que tout le reste. J'eus un sursaut, ma poitrine se souleva, et les larmes coulèrent. J'étais seule dans ma tourmente, dans le tourbillon de pensées qui était le mien. Seule, toujours, dans ma peine. Et comment me plaindre! Comment me plaindre d'une chose que j'avais voulu ! C'était ma faute , entièrement ma faute. Punie, par mes mensonges, par mes tromperies... Mais le retour en arrière n'existait pas.La Magie était puissante, mais elle ne permettait pas d'effacer ses propres erreurs. Les miennes étaient écrites à l'indélébile. Ineffaçable. Et alors que je n'avais jamais regretté mon silence, et ses conséquences, je me retrouvais, là...allongée par terre, rongée par une envie qui me revenait à peine. La Vie était cruelle ~ elle vous fait croire que vous n'avez rien à perdre, que vous n'avez plus rien à donner ou à prendre, et que vous n'avez qu'à abandonner, et baisser les bras ...et puis...soudain alors que vous approchez d'une délivrance que vous avez souhaité depuis tellement longtemps...vous retrouver ce qu'on appelle "l'envie de vivre". N'était-ce pas la cruauté même ? Et cette cruauté, j'en étais responsable. J'en étais la cause. La conséquence. Peu importait.
La réalité s'imposait à moi : plus j'approchais de la fin qui pesait lourdement dans l'air, dans l'atmosphère de violence et de mort qui régnait autour de moi, plus je comprenais...j'avais été stupide. J'étais jeune, je voulais vivre ! Je voulais vivre !Je voulais revoir James, lui parler, l'embrasser une dernière fois. Je voulais réveiller une nouvelle fois Sirius par surprise, je voulais qu'il me taquine encore un peu, qu'on se chamaille comme toujours. Je voulais rester près de Lucas, être là pour le voir heureux, je voulais pouvoir lui dire la vérité. A tous, tout leur dire. Partager cette peine qui était devenue trop grande pour moi seule, et qui avait remplacé ma joie par le malheur. Je voulais vivre avec eux tous, continuais à être là...à exister.
Autour de moi, tout se faisait plus clair. Lucas et Xenia, tous les deux blessés. Dorcas qui venait d'arriver. Des secours ? Du renfort ? Merlin...je l'espérais. Le serdaigle fut soumis au même sortilège que moi... j'aurais voulus l'aider, mais comment aurais-je pu ?
Je me tournai vers Lucas, et Xenia. Mon regard s'arrêta sur mon meilleur ami ; et je lui tendis la main...pour essayer de l'atteindre, et je pleurais...je pleurais parce que j'étais tellement désolée pour lui, tellement navrée de ne pas avoir été plus forte avant, et de lui avoir menti si injustement. Je voulais juste lui dire, mais je crois que mon regard suffit. Il devait suffire. Parce que je ne trouvais pas les mots... J'aurais voulus être avec James, qu'il soit là pour me protéger, pour me rassure comme il l'avait toujours fait... j'aurais voulu avoir Sirius à mes côtés, lui si fort...si courageux. Plus que tous. Je voulais un appui, quelque chose pour me rattacher à la vie...je le voulais ! Je le voulais tellement ! James, où es-tu ? Sirius, où es-tu ? Il nous fallait de l'aide, quelque chose d'utile... un espoir au moins. Un espoir de survie. Parce que...je voulais vivre. Je le voulais vraiment.
Invité- Invité
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Hj : A partir de là nous joignons les deux groupes. Bellatrix et Rodolphus ont transplané avec les 4 élèves qu'ils ont torturé dans les rues de Pré-au-Lards afin de "s'amuser" avec les autres.
Le tour du groupe 1 continue. Un nouvelle ordre sera donné après le poste de Lucas.
Le tour du groupe 1 continue. Un nouvelle ordre sera donné après le poste de Lucas.
Mangemort- Messages : 13
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Lucas cherchait encore sa baguette. Ses mouvements étaient lents et difficiles. C’était comme s’il essayait de se déplacer dans un océan de fluide visqueux. Mais cela n’était pas réel que pour ses mouvements. Toute sa perception des actions était floue. Il ne savait même pas vraiment se situer dans l’espace et dans le temps. Il ne pouvait faire une distinction dans ses sensations. Il n’arrivait pas à repérer les personnes. Par contre, il arrivait très bien à se prendre la tête apparemment. Il était dans un autre monde. Dans un monde de réflexion ou douleurs et sensations n’existaient plus. Il avait presque du mal à garder un lien avec son corps. Il avait l’impression qu’il ne restait plus que son esprit. C’était tellement bizarre de laisser de côté la matière. Et actuellement cela ne le dérangeait pas beaucoup.
Pourtant, il sentait qu’autour de lui la douleur, la colère, la souffrance faisaient rage. Il sentait qu’une pression énorme pesait dans ce lieu. Il eut soudain envie de lâcher. D’abandonner. Pourquoi essayer de rester dans ce monde alors que la souffrance est dominante ? Pourquoi cherchait-il toujours à se battre ? Toute sa vie, on cherchait à lui faire du mal. Là, on cherchait aussi à faire du mal à ses amis, aux personnes les plus proches de lui. Tout ceci était-ce contre lui ou tout le monde subissait cela ? Il ne devait pas être le seul, il en était sûr, mais devait-il pour autant supporter tout cela ? Pourquoi se battre pour connaître un minimum de vie heureuse alors que tout est gâcher tout de suite ? Devait-on souffrir toute une vie pour un moment microscopique de belle vie ? Il commençait à en douter. Lui-même ne ressentait plus forcément de douleur dans son état, mais comprendre que d’autres souffraient autour de lui n’était pas mieux. Il se sentait partir. Il se sentait se décrisper. Il se sentait abandonner.
Cependant, Il était très loin de laisser tomber ce monde et ses amis. Un lien très fort, qu’il soit physique ou psychologique, le retenait sur ce lieu immonde. Xenia l’empêchait de fuir. Elle le forçait à faire face à la réalité. Elle l’obligeait à rester conscient. Un espoir commença à monter en lui. Et s’il s’en sortait ? Si leur petit groupe pouvait retrouver le château et toutes ses surprises ? Et s’il avait la possibilité de retrouver le visage chaleureux et souriant de ses amis ? Pouvait-il seulement abandonner la vie en les laissant seul derrière lui ? Non ! Il devait les revoir ! Il voulait les revoir ! Il fallait qu’il retrouve des forces et donne le maximum de son pouvoir pour sortir de là. Il resta un instant comme il était pour respirer profondément, se concentrer, se calmer : retrouver une force mentale. Il sentit avec une sensation nouvelle le contact de Xenia dans ses cheveux. Il concentra ses pensées dessus, comprenant que sa porte de survie se trouvait là. La douleur était toujours présente d’une façon intense dans la pièce, mais il flottait comme une once d’espoir. Lucas pouvait le ressentir à présent.
La souffrance se fit d’un coup moins forte. Des voix se firent entendre. Quelqu’un venait d’arriver d’après ce qu’il pouvait comprendre. Qui était-ce ? Ennemi ou sauveur ? Il n’arrivait toujours pas à avoir une vision correcte. Il se sentait faible. Soudain il sentit sa baguette sous ses doigts. Pourquoi la cherchait-il ? Son cerveau commençait à s’embrouiller. Mauvaise nouvelle. Il la sortit discrètement de sa main valide. Il la posa sur le sol afin de frotter ses yeux. C’était un peu mieux maintenant. Tout le monde était à terre, à l’exception de la nouvelle venue qui se trouvait être… Dorcas ! Que venait-elle faire là ? Etait-elle assez folle pour essayer de les sauver seule ? C’était elle tout cracher. Comment allait-elle s’en sortir ? Ils étaient tous complètement détruit. Et encore, il savait qu’il était celui qui avait été le plus chanceux. Avec Xenia peut-être ? Elle bougeait. Le poufsouffle tourna légèrement la tête. Il sentait qu’ils pouvaient faire quelque chose. Plus personne ne faisait attention à eux. Il savait qu’il était faible et qu’il risquait d’en subir les conséquences s’il décidait d’agir, mais et alors ? Il observa autour de lui pour savoir qui il devait attirer. Il y en avait un qui était loin de se marrer dans les bras de Dorcas. Une autre, il n’arrivait pas à voir son rôle pour l’instant. Mais pire que tout, le dernier était toujours en train de torturer la jeune serdaigle. Il ne put supporter cette vue. Il prit sa baguette fermement dans sa main. Il ne pouvait faire un sort informulé, pas dans son état. Il ferma les yeux, essaya de jouer avec sa magie à l’intérieur, ne sachant pas si cela fonctionnait réellement et avec une détermination qui pouvait se voir dans ses yeux, il se redressa et chuchota :
Expelliarmus !Pourtant, il sentait qu’autour de lui la douleur, la colère, la souffrance faisaient rage. Il sentait qu’une pression énorme pesait dans ce lieu. Il eut soudain envie de lâcher. D’abandonner. Pourquoi essayer de rester dans ce monde alors que la souffrance est dominante ? Pourquoi cherchait-il toujours à se battre ? Toute sa vie, on cherchait à lui faire du mal. Là, on cherchait aussi à faire du mal à ses amis, aux personnes les plus proches de lui. Tout ceci était-ce contre lui ou tout le monde subissait cela ? Il ne devait pas être le seul, il en était sûr, mais devait-il pour autant supporter tout cela ? Pourquoi se battre pour connaître un minimum de vie heureuse alors que tout est gâcher tout de suite ? Devait-on souffrir toute une vie pour un moment microscopique de belle vie ? Il commençait à en douter. Lui-même ne ressentait plus forcément de douleur dans son état, mais comprendre que d’autres souffraient autour de lui n’était pas mieux. Il se sentait partir. Il se sentait se décrisper. Il se sentait abandonner.
Cependant, Il était très loin de laisser tomber ce monde et ses amis. Un lien très fort, qu’il soit physique ou psychologique, le retenait sur ce lieu immonde. Xenia l’empêchait de fuir. Elle le forçait à faire face à la réalité. Elle l’obligeait à rester conscient. Un espoir commença à monter en lui. Et s’il s’en sortait ? Si leur petit groupe pouvait retrouver le château et toutes ses surprises ? Et s’il avait la possibilité de retrouver le visage chaleureux et souriant de ses amis ? Pouvait-il seulement abandonner la vie en les laissant seul derrière lui ? Non ! Il devait les revoir ! Il voulait les revoir ! Il fallait qu’il retrouve des forces et donne le maximum de son pouvoir pour sortir de là. Il resta un instant comme il était pour respirer profondément, se concentrer, se calmer : retrouver une force mentale. Il sentit avec une sensation nouvelle le contact de Xenia dans ses cheveux. Il concentra ses pensées dessus, comprenant que sa porte de survie se trouvait là. La douleur était toujours présente d’une façon intense dans la pièce, mais il flottait comme une once d’espoir. Lucas pouvait le ressentir à présent.
La souffrance se fit d’un coup moins forte. Des voix se firent entendre. Quelqu’un venait d’arriver d’après ce qu’il pouvait comprendre. Qui était-ce ? Ennemi ou sauveur ? Il n’arrivait toujours pas à avoir une vision correcte. Il se sentait faible. Soudain il sentit sa baguette sous ses doigts. Pourquoi la cherchait-il ? Son cerveau commençait à s’embrouiller. Mauvaise nouvelle. Il la sortit discrètement de sa main valide. Il la posa sur le sol afin de frotter ses yeux. C’était un peu mieux maintenant. Tout le monde était à terre, à l’exception de la nouvelle venue qui se trouvait être… Dorcas ! Que venait-elle faire là ? Etait-elle assez folle pour essayer de les sauver seule ? C’était elle tout cracher. Comment allait-elle s’en sortir ? Ils étaient tous complètement détruit. Et encore, il savait qu’il était celui qui avait été le plus chanceux. Avec Xenia peut-être ? Elle bougeait. Le poufsouffle tourna légèrement la tête. Il sentait qu’ils pouvaient faire quelque chose. Plus personne ne faisait attention à eux. Il savait qu’il était faible et qu’il risquait d’en subir les conséquences s’il décidait d’agir, mais et alors ? Il observa autour de lui pour savoir qui il devait attirer. Il y en avait un qui était loin de se marrer dans les bras de Dorcas. Une autre, il n’arrivait pas à voir son rôle pour l’instant. Mais pire que tout, le dernier était toujours en train de torturer la jeune serdaigle. Il ne put supporter cette vue. Il prit sa baguette fermement dans sa main. Il ne pouvait faire un sort informulé, pas dans son état. Il ferma les yeux, essaya de jouer avec sa magie à l’intérieur, ne sachant pas si cela fonctionnait réellement et avec une détermination qui pouvait se voir dans ses yeux, il se redressa et chuchota :
On pouvait entendre une réelle envie de réussite dans sa voix, mais est-ce que ça avait fonctionné ? Il n’arrivait pas à savoir ni à le voir. Ses forces le quittaient pour former le sort. Il espérait de tout cœur qu’il est au moins réussi à le distraire pour soulager la jeune fille. Il s’effondra de nouveau sur Xenia. Celle-ci avait, au même moment, utilisé la magie. Mais pas pour la même chose. Il pouvait l’entendre parler. Il n’arrivait pas à distinguer correctement les paroles mais cela le soulageait d’entendre sa voix. Il resta là, à écouter tout en récupérant assez de force pour regarder la scène. Il en avait marre de rester une simple marionnette dans ce combat. Pourquoi n’arrivait-il pas à reprendre de la vitalité ? Pourquoi devait-il rester un poids mort dans cette histoire ?
Son regard fut soudain attiré sur le pourquoi de leur situation. Gaby ! Il l’avait complètement oublié sur le coup. Comment faire ? Il ne pouvait s’éloigner de Xenia. Il ne le pouvait tout simplement pas. Mais il voulait être au près de Gaby quand même. Elle avait subi tellement de choses dans sa vie. Il avait deviné et il savait qu’elle l’avait compris. Le poufsouffle fit un soudain mouvement de recul. Il vit son regard de façon net. Depuis le début, ce fut la chose la plus nette qu’il vit. Mais il comprit ce qu’il voulait dire ce regard. Il vit également sa main tendue. Aussi rapidement qu’il recula, il tendit sa propre main pour essayer de l’atteindre. Il était trop loin, il n’y arrivait pas. Il essaya de toutes ses forces sans bouger. Rien n’y faisait. C’était comme si une force invisible l’en empêchait, le repoussait. Il tenta encore et encore tout en gardant un contact avec Xenia. Gaby…. Ne m’abandonne pas…
Son regard fut soudain attiré sur le pourquoi de leur situation. Gaby ! Il l’avait complètement oublié sur le coup. Comment faire ? Il ne pouvait s’éloigner de Xenia. Il ne le pouvait tout simplement pas. Mais il voulait être au près de Gaby quand même. Elle avait subi tellement de choses dans sa vie. Il avait deviné et il savait qu’elle l’avait compris. Le poufsouffle fit un soudain mouvement de recul. Il vit son regard de façon net. Depuis le début, ce fut la chose la plus nette qu’il vit. Mais il comprit ce qu’il voulait dire ce regard. Il vit également sa main tendue. Aussi rapidement qu’il recula, il tendit sa propre main pour essayer de l’atteindre. Il était trop loin, il n’y arrivait pas. Il essaya de toutes ses forces sans bouger. Rien n’y faisait. C’était comme si une force invisible l’en empêchait, le repoussait. Il tenta encore et encore tout en gardant un contact avec Xenia. Gaby…. Ne m’abandonne pas…
Lucas Crawd- Messages : 511
Date d'inscription : 20/09/2010
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Localisation : dans les coins isolés du château
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Rabastan ne s’attendait pas à recevoir un coup de poing en plein nez. La jeune fille avait prit sa baguette. Cette pouilleuse avait eu le cran de poser ses doigts sales sur sa précieuse baguette ! Elle allait le payait ! Il avait été surpris quand elle était passée aux poings. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait au fond de lui que ce genre de comportement n’était pas ceux de sorciers de sang pur. Non, elle était une vulgaire sang de bourbe où un de ses parents habitaient un pied à terre dans un de ces quartiers moldus délabrés. Sa stratégie aurait pu marché si elle ne s’adressait pas à des mangemorts bien plus âgés et expérimentés qu’elle. C’est pour cela qu’en voyant la scène, Alecto et Amycus avait été prit de fou rire. Ils avaient encore plus rigolé quand celle-ci déclara que les Aurors étaient en chemin. Les mangemots avaient des contacts au Ministère, s’ils arrivaient vraiment, ils ne seraient plus là et ces pauvres idiots non plus.
Pendant que ses acolytes rigolaient jusqu’à en pleurer, Rabastan lui transplana jusqu’à la baguette de la première jeune fille qu’il avait torturé, celle de la blonde aux cheveux bouclés. Quand Rabastan ne fut plus dans les bras de la jeune karatéka, Alecto lui envoya un stupéfix. D’un coup de pied elle la fit ensuite basculer sur le sol. Alecto se plaça ensuite au-dessus de son visage. Elle ne pouvait le voir puisqu’elle avait un masque, mais elle pouvait toujours tout entendre.
« Si tu voulais une dose de bonheur ma chérie, tu n’as pas besoin d’être aussi agressive. Tu aurais quand même participé à notre petite fête ».
Elle s’apprêtait à lancer un Endoloris sur la karateka quand elle aperçut du coin de l’œil une lumière rouge se précipité vers elle. Quelqu’un la désarmait ? Vraiment ? Amycus de son côté voyant cela, rigola et désarma juste après le jeune homme. Enfin il essaya, car son sortilège rebondie sur un bouclier. Il serra des dents. Rabastan de son coté se chargeait de soigner le plus rapidement possible son nez pour qu’il ne pisse plus le sang. Amycus commençait à penser qu’ils perdaient pieds face à tout ces bambins. Il entra donc dans un rage folle et sa rage se retourna vers la Russe qu’il avait torturé. Pour passer ses nerfs il lança un nouveau sortilège Endoloris sur elle tout en continuant de regarder dans la direction du Pouffsouffle et de la Gryffondor brûler par sa sœur qui venait d’envoyer un patronus en forme de tigre porté un message. Tous les trois savaient pertinemment à qui ce message s’adressait. Alecto regarda la blondasse qu’elle avait brûlée et l’écouta parler. Alecto éclata de rire en écoutant la longue tirade de la blondasse brûlée.
« Ha oui, je t’attendrais mon chou, poursuit moi jusqu’à la fin des temps, je n’attendrais que toi. Pour l’instant je te conseille de garder ta salive pour toi, tu n’arrives même pas à conférait des menaces effrayantes avec ton souffle haletant. Continue de te protéger toi et ton petit poufsouffle, mais à un moment tu ne seras plus là pour jouer les bouclier et ce n’est pas toi que je tuerais, c’est lui … Je vois que cela te ferais plus mal que de mourir tout simplement. »
C’est à ce moment là que dans un nuage noire deux autres mangemorts apparurent avec quatre nouveaux invités. Après avoir torturé brièvement les deux jeunes femmes, cassant au passage le bras d'une des deux, Bellatrix se lassa. C'est beaucoup trop simple. Trop évident. Pas assez excitant. Les deux demoiselles se défendent, certes, mais ça manque tout de même d'un petit quelque chose en plus. Et puis, c'est plus réjouissant de voir un homme se rouler à terre de douleur plutôt qu'une femme. Dans l'idéal, l'homme devrait avoir les traits de son cousin, Sirius. Ce dernier doit très certainement être face à Rodolphus à l'heure qu'il est... Et puis, ils sont attendus pour commencer réellement la petite fête. C'est pourquoi elle envoya le signal, des étincelles mauves, avant d'attraper ses deux victimes, l'une par les cheveux et l'autre par le bras afin de transplaner jusqu'à la cabane hurlante, laissant derrière elle une épaisse fumée, tout aussi noire que son âme.
Rodolphus n'eut pas le loisir de s'en prendre au deux jeunes hommes. Le signal apparaissant avant qu'il n'ait eu le temps de commencer le petit jeu. Il était tombé sur le fumeur en premier et ils avaient échangés quelques paroles avant d'être interrompu, surpris par le traître Black. Là, les étoiles mauves étaient apparues dans le ciel. Le temps d'envoyer son poing faire la rencontre de la joue du fumeur et le voilà qui transplane avec lui pour se placer juste derrière Sirius. Une remarque, un bras brûlé et il l'attrape par ce même bras, serrant le plus fort possible avant de transplaner à nouveau, suivi par la même trainée noire que sa fiancé.
Ils arrivèrent en même temps à l'intérieure de la cabane hurlante, remarquant avec un certain énervement pour Bellatrix que leurs 'camarades' avaient commencé la petite fête sans les attendre. Elle lâcha les deux filles, les envoyant à terre sans ménagement et elle lança un regard noir au trois autres mangemorts. Ils avaient dit qu'ils ne commenceraient la fête qu'une fois tous ensemble !
« On avait dit ensemble ! »
Elle ravala le reste des propos acerbes qui lui brûlait la langue et se tourna vers son fiancé qui semblait s'amuser à serrer le plus fort possible le bras brulé de Sirius Black. Bellatrix pointa sa baguette sur son cousin, prenant son temps pour trouver le sortilège parfait. Qu'est ce qui pourrait être assez divertissant pour oublier sa colère tout en étant assez douloureux pour faire payer le jeune homme ? Rodolphus lâcha le garçon, le laissant à sa fiancé et il se concentra sur le fumeur, lui arrachant sa baguette des mains pour commencer. Il ne sait toujours pas si il s'agit d'un ennemi ou non il reste donc prudent. Ce serait dommage de s'attaquer au fils de l'un d'entre eux... Sans lâcher le garçon il observa les autres, un sourire mauvais sur le visage. Ils vont s'amuser ce soir.
Rabastan avec le nez à moitié réparé répondit :
« Vous tardiez trop ! Fallait être à l’heure !. D’ailleurs … Maintenant que vous êtes là je peux enfin me venger de la sang-de-bourbe qui ma brisé le nez ! Mais je pense que la torture serait trop belle pour elle, je lui réserve autre chose. »
Rabastan entendit Bellatrix siffler entre ses dents et Rodolphus ne rien faire comme d’habitude Son frère le désespérait vraiment parfois, mais bon. Bellatrix s’occuperait de l’insolence de Rabastan plus tard, elle avait d’abord un sortilège à lancer à Sirius. Elle trouva celui qui était parfait pour lui.
« Endoloris »
Voir le corps de son cousin se tortiller sur le sol fit sortir d’entre ses lèvres un sourire d’aliéné. Rodolphus en bon petit mari joignit ses rires aux siens tout en stupéfiant le garçon à la cigarette pour être sûr qu’il ne ferait rien. Il pouvait vraiment commençait à s’amuser ensemble. Alecto alla rechercher sa baguette et avança vers le poufsouffle, la blondasse qu’elle avait brûlée et l’autre blonde aux cheveux bouclés. Elle pointa sa baguette sur la jeune fille au cheveux bouclés qui elle n’était pas protéger par le Protego de la Blondasse brulée et dit avec une voix amer :
« Elle, tu ne la protège pas ? C’est à Dumbledore que tu as envoyé ton patronus n’est ce pas ? … Endoloris ! »
Rabastan pas tout a fait guérit se dirigea lui vers la karateka. En se rapprochant d’elle il prit de l’élan et envoya un bon coup de pied dans son visage stupéfié. Il se fit un peu mal car le corps était raidi, mais il savait qu’elle aurait quand même un jolie bleue sur son visage de sang-de-bourbe. Il siffla entre ses dents :
« Je sais ce que tu es madame la ninja, il n’y a que les impuretés pour préférer leur poing à la magie. Je te retrouverais ne t’en fait pas. Je n’oublierais jamais une saleté aussi jolie. »
Il se pencha et arracha sa baguette qu’elle tenait fermement depuis qu’elle lui avait cassé le nez. Et prononça de manière presque sensuelle :
« Endoloris ! »
Amycus lui continué de torturé sa russe depuis le début sans prété attention aux autres. Mais entendre sa sœur parlée de Dumbledor au loin le tira de son plaisir sadique. En faite tout les mangemorts se retournèrent vers Alecto et les trois étudiants dans le coin. Bellatrix siffla et s’approcha d’eux en criant :
« Quoi ?!! Déjà ! Vous êtes des sales bouseux ! Ca fait combien de temps que le patronus est partie ? Bande d’incapable ! Pourquoi elle a encore sa baguette celle là ? »
Furieuse elle cria, ce qui fit éclater toutes les vitres de la cabane qui ne l’était pas encore. Elle lança un ordre, on voyait que c’était elle qui commandait maintenant.
« Ramenez tous les marmailles ici ! Arrachez leur leurs foutus baguettes et rapprochez les de ces trois là. »
Bellatrix regarda la blonde au cheveux bouclé qui ne semblait même plus en état de parlé, le poufsouffle à moitié mort vidé de son sang par une flèche et l’autre blonde brûler à la poitrine, affaiblit mais encore assez consciente pour lancé sans cesse de Protego dans un murmure.
Tous les mangemorts s’exécutèrent. Rabastan se chargea de faire lévité le corps de la karateka, Amycus lui se chargea de la russe bien amoché et toujours stupéfié. Alecto elle alla chercher son cavalier qu’elle avait abandonné, son ravissant petit De Louvière. Rodolphus se chargea du garçon à la cigarette lui aussi stupéfié. Bellatrix sans même jeter un coup d’œil fit venir jusqu’à elle le corps convulsionné de son cousin qu’elle avait torturé juste avant. Elle dit alors à Rabastan.
« Choisis en deux, mais sache que Sirius est pour moi ! »
Rabatsan désigna du menton la karateka et la blonde aux cheveux bouclés. Personne à par Bellatrix elle même savait ce qui allait se passé.
« Mettez les autres près de la blonde brûlée, elle va pouvoir marmonner des prières pour les protéger aussi. Enlevez leur aussi la stupéfication, je veux voir leur visage plein de peur et de douleur. »
Alecto se chargea alors de briser la stupéfaction du Serdaigle. Amycus lui fit de même pour la russe. Rodolphus envoya le corps du jeune homme à la cigarette dans le même coin. Seuls les corps de la Gryffondor aux cheveux bouclée, presque sans vie et celui de la karatéka toujours stupéfié, n‘étaient pas avec les autres. Bellatrix se racla la gorge comme pour faire un discours.
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
Elle attrapa Sirius et prononça :
« Imperio ! »
Tous les mangmorts furent surprit, pourquoi lancer un imperium sur Sirius Black ? Une fois que Sirius fut sous son contrôle elle ordonna aux autres :
« Mes amis, relevez vos manche, pointez vos baguettes sur la marque de votre fidélité et tenez-vous prêt à annoncer au monde la suprématie de notre Maître ! Ha, et donnait moi les baguettes des deux demoiselles là. »
Rabastan, qui avait jeté les deux baguettes des jeunes filles sélectionnées par sa belle sœur s’exécuta avec un grand sourire. Il voyait de plus en plus clair dans son jeu. Par Merlin, qu’il aimait le sadisme de cette femme ! Rabastan lui donna les deux baguettes en disant a qui appartenait telle ou telle baguette Bellatrix s’adressa ensuite au corps de Sirius affaiblie et totalement sous son contrôle.
« Bon Sirius. Voilà la baguette de la Blonde et celle la c’est celle de la Brune. Ho c’est toujours une histoire entre les Brune et le Blonde. Écoute moi bien mon cher Sirius, choisis la baguette de la fille que tu aimes les plus, celle qui te tient le plus à cœur. »
Son cousin attrapa la baguette de la blonde. Bellatrix rigola et continua la mascarade :
« Ha tu préfères les blondes alors. Bon très bien. Maintenant pointe la baguette vers celle que tu aimes le plus et tue là avec le sortilège de la mort. »
Elle vit son cousin se bloquer, comme s’il essayait de résister. Son esprit était plus dure à pénétrait qu'elle le pensait. Bellatrix cria :
« Tu choisis celle que tu aimes le plus Sirius ! Dépêche toi ! Où je tue les deux ! »
Sirius lutta, cela n'allait pas assez vite pour Bellatrix. Elle s’énerva, le libéra de l'imperium et lui arracha la baguette des mains. La pointant sur la blonde, elle s'écria :
« Avada Kedavra »
Ils crièrent tous à l’unisson :
« MORSMORDRE ! »
Avant de transplaner et de disparaître Rabastan se dirigea vers la karateka et
« Tue es vivante, la blonde non. Qui avait le plus grand droit de vivre d’après toi ? Elle ou toi ? Elle est un peu morte à cause de toi, si Bellatrix n’était pas arrivé j’aurais tué un de tes petits copains juste pour qu’un l’intérieur de toi quelque chose de casse aussi. Je te retrouverais ma jolie, et je m’occuperais personnellement de toi »
Tous les mangemors disparurent dans un épais nuage aussi noir que leur âme.
Pendant que ses acolytes rigolaient jusqu’à en pleurer, Rabastan lui transplana jusqu’à la baguette de la première jeune fille qu’il avait torturé, celle de la blonde aux cheveux bouclés. Quand Rabastan ne fut plus dans les bras de la jeune karatéka, Alecto lui envoya un stupéfix. D’un coup de pied elle la fit ensuite basculer sur le sol. Alecto se plaça ensuite au-dessus de son visage. Elle ne pouvait le voir puisqu’elle avait un masque, mais elle pouvait toujours tout entendre.
« Si tu voulais une dose de bonheur ma chérie, tu n’as pas besoin d’être aussi agressive. Tu aurais quand même participé à notre petite fête ».
Elle s’apprêtait à lancer un Endoloris sur la karateka quand elle aperçut du coin de l’œil une lumière rouge se précipité vers elle. Quelqu’un la désarmait ? Vraiment ? Amycus de son côté voyant cela, rigola et désarma juste après le jeune homme. Enfin il essaya, car son sortilège rebondie sur un bouclier. Il serra des dents. Rabastan de son coté se chargeait de soigner le plus rapidement possible son nez pour qu’il ne pisse plus le sang. Amycus commençait à penser qu’ils perdaient pieds face à tout ces bambins. Il entra donc dans un rage folle et sa rage se retourna vers la Russe qu’il avait torturé. Pour passer ses nerfs il lança un nouveau sortilège Endoloris sur elle tout en continuant de regarder dans la direction du Pouffsouffle et de la Gryffondor brûler par sa sœur qui venait d’envoyer un patronus en forme de tigre porté un message. Tous les trois savaient pertinemment à qui ce message s’adressait. Alecto regarda la blondasse qu’elle avait brûlée et l’écouta parler. Alecto éclata de rire en écoutant la longue tirade de la blondasse brûlée.
« Ha oui, je t’attendrais mon chou, poursuit moi jusqu’à la fin des temps, je n’attendrais que toi. Pour l’instant je te conseille de garder ta salive pour toi, tu n’arrives même pas à conférait des menaces effrayantes avec ton souffle haletant. Continue de te protéger toi et ton petit poufsouffle, mais à un moment tu ne seras plus là pour jouer les bouclier et ce n’est pas toi que je tuerais, c’est lui … Je vois que cela te ferais plus mal que de mourir tout simplement. »
C’est à ce moment là que dans un nuage noire deux autres mangemorts apparurent avec quatre nouveaux invités. Après avoir torturé brièvement les deux jeunes femmes, cassant au passage le bras d'une des deux, Bellatrix se lassa. C'est beaucoup trop simple. Trop évident. Pas assez excitant. Les deux demoiselles se défendent, certes, mais ça manque tout de même d'un petit quelque chose en plus. Et puis, c'est plus réjouissant de voir un homme se rouler à terre de douleur plutôt qu'une femme. Dans l'idéal, l'homme devrait avoir les traits de son cousin, Sirius. Ce dernier doit très certainement être face à Rodolphus à l'heure qu'il est... Et puis, ils sont attendus pour commencer réellement la petite fête. C'est pourquoi elle envoya le signal, des étincelles mauves, avant d'attraper ses deux victimes, l'une par les cheveux et l'autre par le bras afin de transplaner jusqu'à la cabane hurlante, laissant derrière elle une épaisse fumée, tout aussi noire que son âme.
Rodolphus n'eut pas le loisir de s'en prendre au deux jeunes hommes. Le signal apparaissant avant qu'il n'ait eu le temps de commencer le petit jeu. Il était tombé sur le fumeur en premier et ils avaient échangés quelques paroles avant d'être interrompu, surpris par le traître Black. Là, les étoiles mauves étaient apparues dans le ciel. Le temps d'envoyer son poing faire la rencontre de la joue du fumeur et le voilà qui transplane avec lui pour se placer juste derrière Sirius. Une remarque, un bras brûlé et il l'attrape par ce même bras, serrant le plus fort possible avant de transplaner à nouveau, suivi par la même trainée noire que sa fiancé.
Ils arrivèrent en même temps à l'intérieure de la cabane hurlante, remarquant avec un certain énervement pour Bellatrix que leurs 'camarades' avaient commencé la petite fête sans les attendre. Elle lâcha les deux filles, les envoyant à terre sans ménagement et elle lança un regard noir au trois autres mangemorts. Ils avaient dit qu'ils ne commenceraient la fête qu'une fois tous ensemble !
« On avait dit ensemble ! »
Elle ravala le reste des propos acerbes qui lui brûlait la langue et se tourna vers son fiancé qui semblait s'amuser à serrer le plus fort possible le bras brulé de Sirius Black. Bellatrix pointa sa baguette sur son cousin, prenant son temps pour trouver le sortilège parfait. Qu'est ce qui pourrait être assez divertissant pour oublier sa colère tout en étant assez douloureux pour faire payer le jeune homme ? Rodolphus lâcha le garçon, le laissant à sa fiancé et il se concentra sur le fumeur, lui arrachant sa baguette des mains pour commencer. Il ne sait toujours pas si il s'agit d'un ennemi ou non il reste donc prudent. Ce serait dommage de s'attaquer au fils de l'un d'entre eux... Sans lâcher le garçon il observa les autres, un sourire mauvais sur le visage. Ils vont s'amuser ce soir.
Rabastan avec le nez à moitié réparé répondit :
« Vous tardiez trop ! Fallait être à l’heure !. D’ailleurs … Maintenant que vous êtes là je peux enfin me venger de la sang-de-bourbe qui ma brisé le nez ! Mais je pense que la torture serait trop belle pour elle, je lui réserve autre chose. »
Rabastan entendit Bellatrix siffler entre ses dents et Rodolphus ne rien faire comme d’habitude Son frère le désespérait vraiment parfois, mais bon. Bellatrix s’occuperait de l’insolence de Rabastan plus tard, elle avait d’abord un sortilège à lancer à Sirius. Elle trouva celui qui était parfait pour lui.
« Endoloris »
Voir le corps de son cousin se tortiller sur le sol fit sortir d’entre ses lèvres un sourire d’aliéné. Rodolphus en bon petit mari joignit ses rires aux siens tout en stupéfiant le garçon à la cigarette pour être sûr qu’il ne ferait rien. Il pouvait vraiment commençait à s’amuser ensemble. Alecto alla rechercher sa baguette et avança vers le poufsouffle, la blondasse qu’elle avait brûlée et l’autre blonde aux cheveux bouclés. Elle pointa sa baguette sur la jeune fille au cheveux bouclés qui elle n’était pas protéger par le Protego de la Blondasse brulée et dit avec une voix amer :
« Elle, tu ne la protège pas ? C’est à Dumbledore que tu as envoyé ton patronus n’est ce pas ? … Endoloris ! »
Rabastan pas tout a fait guérit se dirigea lui vers la karateka. En se rapprochant d’elle il prit de l’élan et envoya un bon coup de pied dans son visage stupéfié. Il se fit un peu mal car le corps était raidi, mais il savait qu’elle aurait quand même un jolie bleue sur son visage de sang-de-bourbe. Il siffla entre ses dents :
« Je sais ce que tu es madame la ninja, il n’y a que les impuretés pour préférer leur poing à la magie. Je te retrouverais ne t’en fait pas. Je n’oublierais jamais une saleté aussi jolie. »
Il se pencha et arracha sa baguette qu’elle tenait fermement depuis qu’elle lui avait cassé le nez. Et prononça de manière presque sensuelle :
« Endoloris ! »
Amycus lui continué de torturé sa russe depuis le début sans prété attention aux autres. Mais entendre sa sœur parlée de Dumbledor au loin le tira de son plaisir sadique. En faite tout les mangemorts se retournèrent vers Alecto et les trois étudiants dans le coin. Bellatrix siffla et s’approcha d’eux en criant :
« Quoi ?!! Déjà ! Vous êtes des sales bouseux ! Ca fait combien de temps que le patronus est partie ? Bande d’incapable ! Pourquoi elle a encore sa baguette celle là ? »
Furieuse elle cria, ce qui fit éclater toutes les vitres de la cabane qui ne l’était pas encore. Elle lança un ordre, on voyait que c’était elle qui commandait maintenant.
« Ramenez tous les marmailles ici ! Arrachez leur leurs foutus baguettes et rapprochez les de ces trois là. »
Bellatrix regarda la blonde au cheveux bouclé qui ne semblait même plus en état de parlé, le poufsouffle à moitié mort vidé de son sang par une flèche et l’autre blonde brûler à la poitrine, affaiblit mais encore assez consciente pour lancé sans cesse de Protego dans un murmure.
Tous les mangemorts s’exécutèrent. Rabastan se chargea de faire lévité le corps de la karateka, Amycus lui se chargea de la russe bien amoché et toujours stupéfié. Alecto elle alla chercher son cavalier qu’elle avait abandonné, son ravissant petit De Louvière. Rodolphus se chargea du garçon à la cigarette lui aussi stupéfié. Bellatrix sans même jeter un coup d’œil fit venir jusqu’à elle le corps convulsionné de son cousin qu’elle avait torturé juste avant. Elle dit alors à Rabastan.
« Choisis en deux, mais sache que Sirius est pour moi ! »
Rabatsan désigna du menton la karateka et la blonde aux cheveux bouclés. Personne à par Bellatrix elle même savait ce qui allait se passé.
« Mettez les autres près de la blonde brûlée, elle va pouvoir marmonner des prières pour les protéger aussi. Enlevez leur aussi la stupéfication, je veux voir leur visage plein de peur et de douleur. »
Alecto se chargea alors de briser la stupéfaction du Serdaigle. Amycus lui fit de même pour la russe. Rodolphus envoya le corps du jeune homme à la cigarette dans le même coin. Seuls les corps de la Gryffondor aux cheveux bouclée, presque sans vie et celui de la karatéka toujours stupéfié, n‘étaient pas avec les autres. Bellatrix se racla la gorge comme pour faire un discours.
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
Elle attrapa Sirius et prononça :
« Imperio ! »
Tous les mangmorts furent surprit, pourquoi lancer un imperium sur Sirius Black ? Une fois que Sirius fut sous son contrôle elle ordonna aux autres :
« Mes amis, relevez vos manche, pointez vos baguettes sur la marque de votre fidélité et tenez-vous prêt à annoncer au monde la suprématie de notre Maître ! Ha, et donnait moi les baguettes des deux demoiselles là. »
Rabastan, qui avait jeté les deux baguettes des jeunes filles sélectionnées par sa belle sœur s’exécuta avec un grand sourire. Il voyait de plus en plus clair dans son jeu. Par Merlin, qu’il aimait le sadisme de cette femme ! Rabastan lui donna les deux baguettes en disant a qui appartenait telle ou telle baguette Bellatrix s’adressa ensuite au corps de Sirius affaiblie et totalement sous son contrôle.
« Bon Sirius. Voilà la baguette de la Blonde et celle la c’est celle de la Brune. Ho c’est toujours une histoire entre les Brune et le Blonde. Écoute moi bien mon cher Sirius, choisis la baguette de la fille que tu aimes les plus, celle qui te tient le plus à cœur. »
Son cousin attrapa la baguette de la blonde. Bellatrix rigola et continua la mascarade :
« Ha tu préfères les blondes alors. Bon très bien. Maintenant pointe la baguette vers celle que tu aimes le plus et tue là avec le sortilège de la mort. »
Elle vit son cousin se bloquer, comme s’il essayait de résister. Son esprit était plus dure à pénétrait qu'elle le pensait. Bellatrix cria :
« Tu choisis celle que tu aimes le plus Sirius ! Dépêche toi ! Où je tue les deux ! »
Sirius lutta, cela n'allait pas assez vite pour Bellatrix. Elle s’énerva, le libéra de l'imperium et lui arracha la baguette des mains. La pointant sur la blonde, elle s'écria :
« Avada Kedavra »
Ils crièrent tous à l’unisson :
« MORSMORDRE ! »
Avant de transplaner et de disparaître Rabastan se dirigea vers la karateka et
« Tue es vivante, la blonde non. Qui avait le plus grand droit de vivre d’après toi ? Elle ou toi ? Elle est un peu morte à cause de toi, si Bellatrix n’était pas arrivé j’aurais tué un de tes petits copains juste pour qu’un l’intérieur de toi quelque chose de casse aussi. Je te retrouverais ma jolie, et je m’occuperais personnellement de toi »
Tous les mangemors disparurent dans un épais nuage aussi noir que leur âme.
Ordre :
Gabrielle Kipenson
Dorcas Meadowes
Sirius Black
Xenia Rostislavna
Lucas Crawd
Elizabeth J. Hayter
Maître du Jeu, Arrivée des professeurs et des secours
Svetlana Mikhailov
Leroy de Louvière
Evangeline R. Holmes
Jake Winchester
Dorcas Meadowes
Sirius Black
Xenia Rostislavna
Lucas Crawd
Elizabeth J. Hayter
Maître du Jeu, Arrivée des professeurs et des secours
Svetlana Mikhailov
Leroy de Louvière
Evangeline R. Holmes
Jake Winchester
Mangemort- Messages : 13
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
"Cours, cours après la pomme de la vie, cours et amuses-toi, et si tu tombes, si tu trébuches et te blesse, relève toi, et cours plus vite encore, cours, car un jour, c'est la Mort qui te courra après, et il te faudra t'arrêter, et abandonner la pomme que tu voulais croquer à pleine dents. Vie, ne t'arrêtes pas, et prend tout ce que tu pourras avec toi, laisse le mauvais, prend le meilleur, et sois légère, débarrasse toi des peines, des chagrins qui te ralentirons. Vis. Et surtout, aime. ".
Ils étaient tous arrivés soudainement, brusquement, s'ajoutant ainsi à la scène tragique qui se jouait déjà sur les planches de la cabane hurlante. On aurait pu voir là l'entrée en scène de nouveaux personnages, si cela avait été une pièce de théâtre : encore plus de souffrances et de larmes pour une fin grandiose. Mais voilà : ce n'était pas une pièce. Et la réalité rendait la scène d'autant plus effrayante. Pas d'échappatoire : aucun bouton STOP ou de remise à zéro. Pas de retour en arrière. Rien qui puisse servir d'issue de secours. C'était en train de se passer : le présent, à l'état pur et dans sa plus ignoble représentation. Un piège, une embuscade, appelez ça comme vous le souhaitez. Oui, car piégés, nous l'étions tous. Piégés par notre jeunesse et le trop peu de moyens que nous pouvions employer face à eux, piégés dans nos corps d'adolescents, ... trop faibles pour les affronter comme nous le voudrions. Oh, ce n'était pas la rage, la volonté ou le courage qui manquaient, mais simplement la cruelle expérience, la force de nos baguettes... Pauvres étudiants démunis face au Mal. Tragique. Certainement. Pitoyable, non. Du moins, pas à nos yeux, aux leurs sûrement. Nous nous débattions tant bien que mal, mais sans victoire aucune. Démunis, mis aux pied du mur, face à l'adversaire...désarmé. Ou pas complètement, puisque nous avions la force de traverser tout ça, de supporter la douleur, sans nous trahir nous-même, dans notre dignité de sorciers et de sorcières, plus simplement... d'hommes et de femmes. Nous nous soutenions, autant que nous le pouvions. Même si nous ne nous apprécions pas forcément. La solidarité et notre maison importait peu : serdaigle, gryffondor, poufsouffle, serpentard. Peu importait à présent : nous partagions la même situation, la même souffrance. Et nous jouions tous la même scène, pauvres acteurs que nous étions...
Parmi ceux qui étaient arrivés, je reconnus immédiatement - et la voix, et la personne - Bellatrix Lestrange, la femme de Rodolphus, qui était apparu le premier ici, débutant alors la tragédie que nous vivions. Un beau couple, à n'en pas douter, unis dans le malheur qu'ils répandaient, ensemble et avec le même plaisir malsain. Répugnant. Mais ce n'est pas ce qui m'attira au premier coup d'oeil. Sirius. Il était là, en mauvais état, lui aussi, mais il était avec nous. Jake Winchester, aussi était présent. Il y avait deux serdaigles, mais je ne les connaissais pas. J'adressai un regard désespéré à Sirius. Comme j'aurais aimé être plus proche de lui, en cet instant, mais la distance, la menace nous séparait malheureusement. Aussi, ce fut comme si on me l'avait jeté à moi aussi cet "Endoloris" qui sortit des lèvres de Bellatrix. Je vis Sirius se plier sur lui même, de douleur. Et j'étouffai un cri, serrai les dents, contractait les mains sur le bois du plancher. Mais mon attention fut prise par une mangemort qui pointa sa baguette sur moi.
« Elle, tu ne la protège pas ? C’est à Dumbledore que tu as envoyé ton patronus n’est ce pas ? … Endoloris ! »
Je n'eus pas le temps d’interpréter ses paroles, que la douleur transperça mon corps, et se répandit à l'intérieur comme une décharge électrique, longue et douloureuse. Je me pliai, ouvrit la bouche pour crier mais rien ne sortit. Mon hurlement s'était coincé dans ma gorge...muet. Le reste sembla très flou, comme si je n'entendais rien d'autre qu'un long, et constant bruit... une sonnerie, blanche, comme si je me retrouvais sourde et incapable d'entendre quoique ce soit, tandis qu'au fur et à mesure la douleur se calmait... mon corps se décontractait. Je rouvris les yeux, sans me souvenir de les avoir fermer, et commencer à respirer normalement... le front appuyé contre le sol. Le bruit à mes oreilles disparut, et je pus à nouveau entendre ce qui se passait autour de moi. Tous semblaient se réunir un peu plus loin. Ils nous réunissaient ? Pourquoi ? Que prévoyaient-ils ? En ouvrant les yeux, je vis que je n'étais plus très loin de Sirius, alors toujours le tête appuyée contre le plancher de la cabane hurlante, je tournai mon visage vers lui, et clignai des yeux une fois, avec un léger sourire... tout allait bien se passer. Tout allait revenir dans l'ordre, se terminer. Sans dire un mot, je mimai de mes lèvres un "Tout va bien". J'aurais bien voulu qu'il n'assiste pas à ça, qu'il ne soit pas là finalement. Et c'était presque un devoir pour moi de le rassurer. Pourtant, la suite... n'assurait, elle, rien de meilleur. Bellatrix demanda à un autre mangemort de faire un choix : ce fut moi, et Dorcas. La question surgit aussitôt en moi : Pourquoi ?!
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
La mangemort attrapa ensuite, sous mes yeux ébahis, Sirius et lui lança un des fameux sorts impardonnables. Je restai muette, ne comprenant pas ce qu'elle voulait faire, et ne sachant pas quoi faire pour empêcher ça. Le sortilège de l'Imperium... pourquoi en faire usage sur son détesté cousin ? Elle demanda ensuite nos baguettes, qu'on lui donna , et se tourna vers Sirius. Impuissante, je regardai la scène.
« Bon Sirius. Voilà la baguette de la Blonde et celle la c’est celle de la Brune. Ho c’est toujours une histoire entre les Brune et le Blonde. Écoute moi bien mon cher Sirius, choisis la baguette de la fille que tu aimes les plus, celle qui te tient le plus à cœur. »continua-t-elle.
Ce fut à ce moment précis, que je compris. Le choix était clairement destiné à une seule chose : faire le plus de mal possible à son cousin. Et je savais que Sirius me choisirait. Il n'y pourrait rien. Aucun moyen de mentir, sous l'emprise du sortilège. En comprenant l'issue de cet ignoble jeu que Bellatrix jouait, j'eus un sourire rassurant ... encore une fois. Mon "Tout va bien" n'était déjà pas très juste quelques secondes plus tôt, mais maintenant... il aurait tout bonnement naïf et stupide de le faire croire. Du reste, personne ne pouvait y croire. A moins d'un miracle. Mais voilà, le problème c'était que depuis ma naissance : je n'avais jamais eu droit au miracle.
Enfin, Sirius fit son choix. Il prit ma baguette dans sa main. Et je cherchai son regard, mais il semblait vide. Ce n'était pas lui en cet instant, du moins le Sirius que je connaissais était coincé à l'intérieur de ce corps soumis. La demande de Bellatrix suivit son choix, et ce fut sans surprise que je l'entendis. Je pleurai, pas parce que j'avais peur de mourir, ou de souffrir... mais juste pour lui. Parce qu'elle n'avait pas le droit de lui faire ça... qu'il ne s'en remettrait pas, et que je ne voulais pas partir en le laissant souffrir de cette manière. Jeu répugnant. Cousine démoniaque. J'eus un regard vers Lucas... ma tête se tourna vers lui, il était près de Xenia. Tant mieux. Il pouvait compter sur elle, il devrait compter sur elle. Juste avec le regard, je pus lui dire au revoir.Mon regard retourna vers Sirius. Il luttait, je le voyais. Et je ne savais pas comment cela était possible, mais il y arrivait. Je lui souris, mes prunelles bleutés remplies de larmes, qui roulaient sur mes joues, mais je lui souris, à travers ma peine. Comme si seulement lui pouvait m'entendre, je murmurai quelques mots, assez fort pour qu'il les comprenne, oubliant les autres.
- Tu es assez fort pour ça Sirius. N'abandonne pas. Jamais.
Et ce fut les derniers mots. Mes...derniers mots. Et ça n'avait rien à voir avec le fait qu'il luttait contre le sortilège. Non, ce n'était pas ce que je lui demandais de faire. Il ne devait jamais abandonner , comme je l'avais fait. Jamais. Parce que lui... il était plus fort que moi, et il pouvait surmonter tout ça, toute la peine du monde...il pouvait la supporter. Je ne voulais pas qu'il abandonne la Vie, qu'il baisse les bras, surtout pas à cause de moi. Qu'y aurait-il de pire dans ma mort, si elle n'apportait que du malheur ? Je ne voulais pas être une épreuve de plus, je voulais être le rappel qu'eux, lui, tous...étaient vivants, et qu'ils devaient en profiter. Même si je n'étais plus là, même si mon histoire se terminait là, sur le sol de cette cabane où j'avais embrassé James pour la première fois, où j'avais tellement ris, tellement jouée avec eux...
« Avada Kedavra »
Bellatrix s'était impatientée, et enfin... la mort vint. Sirius fut épargné de cette peine là, au moins. C'est ce que je me dis. Il avait lutté, pour moi.... Je lui souris.
C'était la fin. La toute fin. Pas le genre de fin qu'on attend, mais s'en était une. Pas si mauvaise finalement : les autres étaient en vis, et les mangemorts étaient partis. Je le sais, car en me sentant partir à mon tour, j'avais sentis cette peur me tenailler l'estomac s'en aller... elle aussi. C'était que, c'était le moment des départs. C'est fou ce que la souffrance pouvait peser lourd dans un esprit, et lorsqu'enfin on s'en voyait débarrasser, il n'y avait rien de meilleur... Je regrettais cependant quelque chose: un au revoir. Mais qu'était-ce au final, un au revoir ? Et à qui disait-on "au revoir" ? A ceux qu'on aimaient ? Oui. Mais nous disions "Adieu" à la Vie. N'était-ce pas pire ? Non. Non. Ca ne l'était pas. Finalement, je me dis qu'un au revoir était presque plus douloureux qu'un départ. Alors, à quoi bon ? Un sourire, un regard, c'était aussi un au revoir. Alors, j'avais souris. C'était finis.
Dernière édition par Gabrielle Kipenson le Mer 4 Juil - 14:16, édité 1 fois
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Dorcas avait été stupefixiée, une fois, une seule, et c'était en cours de sortilèges en cinquième année. Elle n'avait pas du tout aimé l'impression d'enfermement et d'impuissance mêlés, sans compter le fait qu'elle sentait qu'elle pouvait bouger mais qu'aucun de ses membres n'était désormais plus capable de répondre à aucun stimuli envoyé par son cerveau. C'était frustrant, énervant et, dans la situation présente, carrément effrayant. Elle se trouvait à la merci du Mangemort et quelque chose lui disait qu'il n'allait pas être tendre avec elle. Comment avait-elle pu croire une seule seconde avoir renversé la situation à son avantage ? Dorcas Meadowes, rien dans la tête, tous dans les bras ! Ça allait faire les gorges chaudes des Serpentards si d'aventure elle sortait vivante de là.
Les chances que cette dernière probabilité se réalise s'amincissaient de seconde en seconde. Et que dire de l'humiliation, quand les Mangemorts avaient éclaté de rire face à sa bravade ? Plus que la peur, en fait, c'était la honte qui la dévorait. La honte et la colère. Le Mangemort se pencha sur Dorcas, qui put observer tous les détails de son visage stupéfixié dans l'impeccable réflexion sur le masque d'argent qui formait comme un miroir.
"Si tu voulais une dose de bonheur ma chérie, tu n’as pas besoin d’être aussi agressive. Tu aurais quand même participé à notre petite fête."
Ca, au moins, c'était rassurant : le Mangemort n'avait pas vraiment bien pris de s'être fait avoir, même une seconde seulement, par une élève de sixième année. Le coup de boule donné contre le masque l'avait presque assomée, mais Dorcas n'en regrettait pas une seule seconde. "Dans les dents, sale cafard !" songea-t-elle, trop occupée à se rebeller contre son sort pour se soucier de la suite des événements. Par pour elle, du moins. Car elle s'inquiétait pour ses amis, ses amis sur lesquels elle n'avait pas posé un œil attentif jusque là, puisque ledit œil était occupé à évaluer la force ennemie en présence. L'un des élèves lança un stupéfix. Et ce qu'elle vit la pétrifia encore plus efficacement que le sortilège d'immobilisation.
Lucas. Lucas... baignant dans une mare de sang tellement grande et tellement épaisse que même le sol de planches en vieux sapin semblait incapable d'en absorber davantage. Une larme coula le long de la joue de Dorcas. Elle avait beau tout faire en temps normal pour sembler indifférente vis à vis du Poufsouffle, elle ne pouvait pas cacher ses sentiments alors qu'il se trouvait sur le seuil de la mort. Et que dire de Leroy, terrassé par la douleur tandis que les effets du Doloris ne se dissipaient pas ? Que dire de tous les autres, qui souffraient plus ou moins en silence ? Le regard de Dorcas glissa sur leurs corps suppliciés.
C'est alors qu'une forme argentée fila entre les corps et se faufila à travers un mur. Un patronus ! Porteur d'un message ! Dorcas se morigéna de ne pas y avoir pensé plus tôt. Si au moins elle avait davantage réfléchi à tout ça au lieu de vouloir sauver le monde à la seule force de ses maigres bras ! Mais non, elle avait encore voulu sauver la veuve et l'orphelin toute seule.
"Je suis pitoyable", pensa-t-elle avec découragement, mais pas moins de colère. "Et trop téméraire pour survivre très longtemps." Les menaces du Mangemort, à son égard, ne faisaient aucun doute sur ce point. Elle allait souffrir, et pas nécessairement de la façon dont elle s'y attendait.
Soudain, deux nuages noirs jaillirent du néant et des corps se matérialisèrent tandis que la brume se dissipait. Deux nouveaux Mangemorts venaient de transplaner. Avec eux, deux Serdaigles - dont Evangeline, en piètre état à en juger par l'angle inquiétant que formait l'un de ses avant-bras ! -, le fameux Sirius Black qui paraissait hébété, et...
"Jake !" faillit-elle glapir, mais le stupéfix l'empêchait de parler. Elle n'eut pas le temps de se poser plus de questions sur sa présence ici - et son apparente bonne santé étonnante tandis qu'ils étaient tous au moins blessés ou stupéfixé - qu'elle reçut son lot de douleur.
"Je sais ce que tu es madame la ninja, il n’y a que les impuretés pour préférer leur poing à la magie. Je te retrouverais ne t’en fait pas. Je n’oublierais jamais une saleté aussi jolie."
A sa décharge, le compliment fut moins "charmeur" que le sortilège qui s'en suivit. Un Doloris, qui l'atteignit à la poitrine... la douleur se répandit en elle comme un éclair, un courant électrique qui se jouait de chaque nerf, chaque muscle. La souffrance était horrible, juste insupportable, et elle n'avait même pas la possibilité de se tordre sur le sol ou de hurler. Rien que l'immobilité, l'impuissance, et la souffrance dans une prison de chair. Les yeux de Dorcas se mirent à pleurer, sans qu'elle ait aucun pouvoir sur eux. A grosses larmes. Des larmes de douleur qui, une fois que les effets du sortilège se furent amoindris, se mêlèrent à des larmes de rage. Si elle l'avait pu, elle se serait effondrée sur le sol. Ses jambes ne la tenaient plus debout. Elle aurait tant voulu que cela s'arrête, que la douleur la quitte, et qu'elle puisse bouger.. bouger pour leur faire payer, à tous ! Et surtout à lui. Le Mangemort qui lui avait lancé le sort.
Trop obnubilé par sa propre douleur, Dorcas n'avait pas suivi ce qui s'était passé ensuite, et elle aurait écarquillé les yeux si elle l'avait pu : la lueur verte, jamais vue en vraie, toujours redoutée. Le sortilège de la mort ! Dorcas ne vit pas qui l'avait lancé, mais elle vit bien qui elle atteignit. Gabrielle...
"Non !" aurait-elle voulu crier. Le cri jaillit d'autres gorges. Même si Dorcas n'aimait guère Gabrielle, elle ne put s'empêcher de pleurer de plus belle, et à chaudes larmes.
Le départ des premiers Mangemorts ne fut même pas un soulagement tant elle se sentait impuissante. Elle aurait voulu une seconde chance pour les mater, tous les tuer, ou mourir. Car la mort était bien plus douce que ce qui les attendait tous : le doute, la peur, la honte... Dorcas ne voulait pas de tout ça. Pourtant, elle allait devoir le subir, et cette torture serait encore plus raffinée. Le Mangemort l'avait bien compris : elle craignait plus pour la vie de ses amis que pour la sienne. C'est pourquoi, terrorisée à l'idée de voir tout le monde mourir autour d'elle, à commencer par ses parents, elle ne trembla pas quand le Mangemort susurra à son oreille :
"Je te retrouverais ma jolie, et je m’occuperais personnellement de toi."
"Très bien", répondit-elle en pensée. "Je t'attends. Viens me chercher. Je serai prête à ce moment-là..."
Les chances que cette dernière probabilité se réalise s'amincissaient de seconde en seconde. Et que dire de l'humiliation, quand les Mangemorts avaient éclaté de rire face à sa bravade ? Plus que la peur, en fait, c'était la honte qui la dévorait. La honte et la colère. Le Mangemort se pencha sur Dorcas, qui put observer tous les détails de son visage stupéfixié dans l'impeccable réflexion sur le masque d'argent qui formait comme un miroir.
"Si tu voulais une dose de bonheur ma chérie, tu n’as pas besoin d’être aussi agressive. Tu aurais quand même participé à notre petite fête."
Ca, au moins, c'était rassurant : le Mangemort n'avait pas vraiment bien pris de s'être fait avoir, même une seconde seulement, par une élève de sixième année. Le coup de boule donné contre le masque l'avait presque assomée, mais Dorcas n'en regrettait pas une seule seconde. "Dans les dents, sale cafard !" songea-t-elle, trop occupée à se rebeller contre son sort pour se soucier de la suite des événements. Par pour elle, du moins. Car elle s'inquiétait pour ses amis, ses amis sur lesquels elle n'avait pas posé un œil attentif jusque là, puisque ledit œil était occupé à évaluer la force ennemie en présence. L'un des élèves lança un stupéfix. Et ce qu'elle vit la pétrifia encore plus efficacement que le sortilège d'immobilisation.
Lucas. Lucas... baignant dans une mare de sang tellement grande et tellement épaisse que même le sol de planches en vieux sapin semblait incapable d'en absorber davantage. Une larme coula le long de la joue de Dorcas. Elle avait beau tout faire en temps normal pour sembler indifférente vis à vis du Poufsouffle, elle ne pouvait pas cacher ses sentiments alors qu'il se trouvait sur le seuil de la mort. Et que dire de Leroy, terrassé par la douleur tandis que les effets du Doloris ne se dissipaient pas ? Que dire de tous les autres, qui souffraient plus ou moins en silence ? Le regard de Dorcas glissa sur leurs corps suppliciés.
C'est alors qu'une forme argentée fila entre les corps et se faufila à travers un mur. Un patronus ! Porteur d'un message ! Dorcas se morigéna de ne pas y avoir pensé plus tôt. Si au moins elle avait davantage réfléchi à tout ça au lieu de vouloir sauver le monde à la seule force de ses maigres bras ! Mais non, elle avait encore voulu sauver la veuve et l'orphelin toute seule.
"Je suis pitoyable", pensa-t-elle avec découragement, mais pas moins de colère. "Et trop téméraire pour survivre très longtemps." Les menaces du Mangemort, à son égard, ne faisaient aucun doute sur ce point. Elle allait souffrir, et pas nécessairement de la façon dont elle s'y attendait.
Soudain, deux nuages noirs jaillirent du néant et des corps se matérialisèrent tandis que la brume se dissipait. Deux nouveaux Mangemorts venaient de transplaner. Avec eux, deux Serdaigles - dont Evangeline, en piètre état à en juger par l'angle inquiétant que formait l'un de ses avant-bras ! -, le fameux Sirius Black qui paraissait hébété, et...
"Jake !" faillit-elle glapir, mais le stupéfix l'empêchait de parler. Elle n'eut pas le temps de se poser plus de questions sur sa présence ici - et son apparente bonne santé étonnante tandis qu'ils étaient tous au moins blessés ou stupéfixé - qu'elle reçut son lot de douleur.
"Je sais ce que tu es madame la ninja, il n’y a que les impuretés pour préférer leur poing à la magie. Je te retrouverais ne t’en fait pas. Je n’oublierais jamais une saleté aussi jolie."
A sa décharge, le compliment fut moins "charmeur" que le sortilège qui s'en suivit. Un Doloris, qui l'atteignit à la poitrine... la douleur se répandit en elle comme un éclair, un courant électrique qui se jouait de chaque nerf, chaque muscle. La souffrance était horrible, juste insupportable, et elle n'avait même pas la possibilité de se tordre sur le sol ou de hurler. Rien que l'immobilité, l'impuissance, et la souffrance dans une prison de chair. Les yeux de Dorcas se mirent à pleurer, sans qu'elle ait aucun pouvoir sur eux. A grosses larmes. Des larmes de douleur qui, une fois que les effets du sortilège se furent amoindris, se mêlèrent à des larmes de rage. Si elle l'avait pu, elle se serait effondrée sur le sol. Ses jambes ne la tenaient plus debout. Elle aurait tant voulu que cela s'arrête, que la douleur la quitte, et qu'elle puisse bouger.. bouger pour leur faire payer, à tous ! Et surtout à lui. Le Mangemort qui lui avait lancé le sort.
Trop obnubilé par sa propre douleur, Dorcas n'avait pas suivi ce qui s'était passé ensuite, et elle aurait écarquillé les yeux si elle l'avait pu : la lueur verte, jamais vue en vraie, toujours redoutée. Le sortilège de la mort ! Dorcas ne vit pas qui l'avait lancé, mais elle vit bien qui elle atteignit. Gabrielle...
"Non !" aurait-elle voulu crier. Le cri jaillit d'autres gorges. Même si Dorcas n'aimait guère Gabrielle, elle ne put s'empêcher de pleurer de plus belle, et à chaudes larmes.
Le départ des premiers Mangemorts ne fut même pas un soulagement tant elle se sentait impuissante. Elle aurait voulu une seconde chance pour les mater, tous les tuer, ou mourir. Car la mort était bien plus douce que ce qui les attendait tous : le doute, la peur, la honte... Dorcas ne voulait pas de tout ça. Pourtant, elle allait devoir le subir, et cette torture serait encore plus raffinée. Le Mangemort l'avait bien compris : elle craignait plus pour la vie de ses amis que pour la sienne. C'est pourquoi, terrorisée à l'idée de voir tout le monde mourir autour d'elle, à commencer par ses parents, elle ne trembla pas quand le Mangemort susurra à son oreille :
"Je te retrouverais ma jolie, et je m’occuperais personnellement de toi."
"Très bien", répondit-elle en pensée. "Je t'attends. Viens me chercher. Je serai prête à ce moment-là..."
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Il eut à peine le temps de s'avancer que déjà le mangemort envoyait son poing contre la joie de Jake. Ce geste inattendu étonna Sirius. Pourquoi le frappe-t-il ? Winchester n'est pas l'un des leurs ? Pas le temps de se poser plus de questions, les deux hommes transplanèrent.
« Sirius... Quelle joie de te revoir. Tu grandis bien, ta cousine en sera certainement enchantée ! »
Derrière lui. Avant qu'il ne réagisse, des flammes vinrent lui lécher le bras droit, brûlant sa cape, son pull et sa peau. S'attaquant à sa chair... Par fierté, Sirius retint ses cris de douleurs, se mordant l'intérieur des joues jusqu'à sentir le goût du sang sur sa langue. Un coup dans son genou le fit chanceler et les vifs d'or qui lui tournait autour, signe de son étourdissement dû à la douleur n'eurent pas le temps de disparaître que la main du mangemort se refermait sur son bras brûlé sans aucune délicatesse, l'obligeant à transplaner avec eux et lui arrachant un cri de douleur.
« On avait dit ensemble ! »
Bellatrix est ici. Ce fut la première chose que Sirius remarqua lorsque ces pieds touchèrent de nouveau le sol. Le mangemort relâcha finalement son bras et Sirius n'eut pas à chercher bien longtemps pour trouver sa cousine parmi le groupe; elle était là, face à lui, le menaçant de sa baguette. Sirius ne s'attarda pas trop longtemps sur sa cousine, préférant observer les lieux plutôt que de perdre son temps et ce qu'il vit lui glaça le sang. Cet endroit il le connait par coeur à force d'y passer les nuits de pleine lune. Aucun doute possible, ils sont dans la cabane hurlante... Et ils ne sont pas seuls, d'autres mangemorts sont présents en plus des deux qu'il avait suivi dans les rues, et pire que cela: d'autres élèves de Poudlard. Xenia. Svetlana. Lucas. Dorcas. Gabrielle... Cette dernière semblait être en plus mauvais état que les autres et lorsque son regard croisa celui de la blonde où le désespoir se lisait, Sirius fut incapable de masquer son inquiétude et sa culpabilité. Il lui avait proposé de se rendre ensemble à Pré-au-Lard, s'il avait insisté plus fortement elle ne serait peut-être pas là, en si mauvais état... Trop préoccupé par l'état de santé de ses camarades, Sirius ne vit pas que sa cousine s'était finalement décidée sur un sort, et il fut touché par le Doloris sans même avoir pu ne serait ce que penser à l'esquiver...
Même en connaissant le sortilège, jamais Sirius n'aurait pu imaginer ne serait-ce qu'un millième de ces effets. A ce niveau-là, aucun mot n'est assez puissant pour exprimer ce que l'on ressent. En plus de son bras brûlé déjà douloureux au départ, s'ajouta alors l'impression que ses entrailles brûlaient elles aussi, que ses os étaient en feu, que chaque centimètre carré de sa peau était piqué par des aiguilles chauffées à blancs, que son cerveau gonflait, encore et encore, appuyant douloureusement sur la paroi de sa boîte crânienne, jusqu'à penser que cette dernière va se briser sous la pression, bien que penser soit inenvisageable dans ces conditions. Aucune action n'est possible hormis le fait de se tortiller sur le sol et de hurler. Hurler comme jamais pour tenter vainement d'extériorisé un tant soit peu la douleur... Ses cris, Sirius ne les entendait même pas. Il hurlait de douleur, certes, mais il avait l'impression d'étouffer, d'avoir les poumons en feu, d'être incapable d’émettre un son. Des larmes coulèrent sans même qu'il ne s'en rende compte. Respirer semblait être impossible, il suffoquait intérieurement et soudain tout s'arrêta. La douleur sembla devenir plus supportable bien que toujours présente et ses cris se turent alors qu'il continuait de convulsé sur le sol, revenant lentement à lui bien qu'encore hébété par le sortilège reçu. Le Maraudeur s'efforça de retrouver une respiration normale, encore trop dans les vapes pour s'inquiété de ce qui se passe autour de lui. Son regard croisa celui de Gabrielle et ne le quitta pas. La jeune femme cligna des yeux plusieurs fois, un faible sourire se dessinant sur son visage alors que ces lèvres bougèrent, prononçant silencieusement un « Tout va bien » qui firent sourire légèrement Sirius avant qu'il ne réponde de la même façon, murmurant silencieusement un « Idiote... Je t'adore ». L'occasion est mal choisie pour ce genre de choses, certes, mais il a besoin de lui dire. Il faut qu'elle le sache. Il ne parle que rarement de ses sentiments, préférant s'occuper de ceux des autres et se cacher derrière sa réputation de Don Juan, mais là, il a besoin de le lui dire. Pour au cas où. Pour qu'elle le sache à l'avenir. Bien qu'il ait déjà du le lui dire une ou deux fois et surtout qu'il le lui ai fait comprendre à plusieurs reprises, il faut que ce soit clair entre eux. Pour Gabrielle, il donnerai sa vie sans hésitation...
« Mes chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissez place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous... Imperio ! »
Le vide total. Oubliés ses camarades blessés, oubliés les mangemorts menaçant... Sous l'effet du sort, le lion eut l'impression que tous ses problèmes s'étaient envolés pour faire place à une sensation d'euphorie, de décontraction. Il était là, debout au beau milieu de la cabane hurlante, sentant sans réellement les sentir les regards des personnes présentes braqués sur lui. Tout était vague, seule la voix de sa cousine, l'infâme Bellatrix, semblait résonnait dans son esprit vide. Prend la baguette de celle que tu aimes le plus... Prend la baguette... Impossible de résister, le bras de Sirius se tendit, complètement sous les ordres de Bellatrix et il attrapa la baguette en bois d'If. La baguette de Gabrielle. L'affection qu'il porte à la jeune femme n'est un secret pour personne. Elle est importante pour lui, plus qu'une simple connaissance, plus qu'une amie. Une meilleure amie certainement. Une confidente. L'une des rares figures féminines qui compte plus que tout au monde à ses yeux. Une partenaire de coups foireux. Une partenaire de beuverie... Et tellement plus encore.
Son regard vide rencontra celui de la blonde. Il vit les larmes coulées sur ses joues. Piégé par le sort, Sirius était impuissant. Simple spectateur des actes horribles de sa cousine. Au fond de lui, il compris sans réellement le comprendre le plan de cette dernière. La suite des évènements ne fut pas une surprise. Pointe la baguette sur elle. Tue la. Dépêches toi Sirius, tue la ! Non. Pas ça. Pas Gabrielle. N'importe quoi, mais pas ça ! Impossible. Pas elle. Pas comme ça... Pas à cause de lui. Le regard planté dans celui de la jeune femme, Sirius résista. Sans savoir comment c'était possible il lutta, semblant puiser l'énergie nécessaire dans les yeux bleus et brillant de larme de sa camarade. Dans son sourire. Dans les moments remplis de joies qu'ils avaient partagés ensemble, comme le fameux matin où elle était venue dans le dortoir des garçons en petite tenue et qu'elle l'avait réveillé. Comme ce fameux jour où ils s'étaient retrouvés pour la première fois ensemble devant un verre de whisky pur feu et qu'ils avaient fini la soirée complètement ivres, dansant sur les tables et le comptoir...
« Tu es assez fort pour ça Sirius. N'abandonne pas. Jamais. »
La voix et les paroles de Gabrielle semblèrent lui donner un peu plus de courage. Il lutta de toutes ses forces, refusant d'obéir à sa cousine, refusant de commettre un tel acte... Et soudain, ce fut fini. L'impression de vide dans son esprit s'envola en même temps que la sensation de rêverie. Comme si quelqu'un lui avait versé un sceau d'eau gelée sur le visage. Il se souvenait de ce qui s'était passé dans les moindres détails, mais encore étourdi il fut incapable de réagir lorsque Bellatrix lui arracha la baguette des mains pour la pointer sur Gabrielle et achevée ce qui avait été commencée. Avada Kedavra. C'était fini. Les mangemorts firent apparaître la marque des ténèbres dans le ciel et s'envolèrent dans un tourbillon de fumée noire alors que Sirius, dans un hurlement de douleur, se précipitait sur le corps désormais sans vie de la jeune femme. Il l'agrippa par les épaules et la secoua faiblement, articulant avec difficulté.
« Non ! Gaby... Ça peut pas être possible... Gaby... Réveille-toi ! »
Assis sur le sol sale de la cabane hurlante, il serra le corps de la jeune femme contre lui, se balançant légèrement d'avant en arrière. Il laissa les larmes coulées de ses paupières closes, tout bonnement incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher de glisser sur ses joues. Qu'importe que les autres le voit comme ça, aussi faible, lui qui veut toujours se montrer fort. Rien d'autre ne semblait être plus important que la jolie blonde dans ses bras, figée par la mort et malgré tout souriante. Les autres victimes, il sembla les oubliées. Exit la douleur, exit les mangemorts. Plus rien ne compte hormis la mort de Gabrielle. Provoquée à cause de lui... A cette pensée, le Gryffondor laissa échapper un gémissement de douleur, semblable à un hurlement de chien blessé. Resserrant son étreinte, il embrassa le haut du crâne de sa défunte camarade, murmurant des 'Désolé' d'une voix étranglée par les larmes...
« Sirius... Quelle joie de te revoir. Tu grandis bien, ta cousine en sera certainement enchantée ! »
Derrière lui. Avant qu'il ne réagisse, des flammes vinrent lui lécher le bras droit, brûlant sa cape, son pull et sa peau. S'attaquant à sa chair... Par fierté, Sirius retint ses cris de douleurs, se mordant l'intérieur des joues jusqu'à sentir le goût du sang sur sa langue. Un coup dans son genou le fit chanceler et les vifs d'or qui lui tournait autour, signe de son étourdissement dû à la douleur n'eurent pas le temps de disparaître que la main du mangemort se refermait sur son bras brûlé sans aucune délicatesse, l'obligeant à transplaner avec eux et lui arrachant un cri de douleur.
« On avait dit ensemble ! »
Bellatrix est ici. Ce fut la première chose que Sirius remarqua lorsque ces pieds touchèrent de nouveau le sol. Le mangemort relâcha finalement son bras et Sirius n'eut pas à chercher bien longtemps pour trouver sa cousine parmi le groupe; elle était là, face à lui, le menaçant de sa baguette. Sirius ne s'attarda pas trop longtemps sur sa cousine, préférant observer les lieux plutôt que de perdre son temps et ce qu'il vit lui glaça le sang. Cet endroit il le connait par coeur à force d'y passer les nuits de pleine lune. Aucun doute possible, ils sont dans la cabane hurlante... Et ils ne sont pas seuls, d'autres mangemorts sont présents en plus des deux qu'il avait suivi dans les rues, et pire que cela: d'autres élèves de Poudlard. Xenia. Svetlana. Lucas. Dorcas. Gabrielle... Cette dernière semblait être en plus mauvais état que les autres et lorsque son regard croisa celui de la blonde où le désespoir se lisait, Sirius fut incapable de masquer son inquiétude et sa culpabilité. Il lui avait proposé de se rendre ensemble à Pré-au-Lard, s'il avait insisté plus fortement elle ne serait peut-être pas là, en si mauvais état... Trop préoccupé par l'état de santé de ses camarades, Sirius ne vit pas que sa cousine s'était finalement décidée sur un sort, et il fut touché par le Doloris sans même avoir pu ne serait ce que penser à l'esquiver...
Même en connaissant le sortilège, jamais Sirius n'aurait pu imaginer ne serait-ce qu'un millième de ces effets. A ce niveau-là, aucun mot n'est assez puissant pour exprimer ce que l'on ressent. En plus de son bras brûlé déjà douloureux au départ, s'ajouta alors l'impression que ses entrailles brûlaient elles aussi, que ses os étaient en feu, que chaque centimètre carré de sa peau était piqué par des aiguilles chauffées à blancs, que son cerveau gonflait, encore et encore, appuyant douloureusement sur la paroi de sa boîte crânienne, jusqu'à penser que cette dernière va se briser sous la pression, bien que penser soit inenvisageable dans ces conditions. Aucune action n'est possible hormis le fait de se tortiller sur le sol et de hurler. Hurler comme jamais pour tenter vainement d'extériorisé un tant soit peu la douleur... Ses cris, Sirius ne les entendait même pas. Il hurlait de douleur, certes, mais il avait l'impression d'étouffer, d'avoir les poumons en feu, d'être incapable d’émettre un son. Des larmes coulèrent sans même qu'il ne s'en rende compte. Respirer semblait être impossible, il suffoquait intérieurement et soudain tout s'arrêta. La douleur sembla devenir plus supportable bien que toujours présente et ses cris se turent alors qu'il continuait de convulsé sur le sol, revenant lentement à lui bien qu'encore hébété par le sortilège reçu. Le Maraudeur s'efforça de retrouver une respiration normale, encore trop dans les vapes pour s'inquiété de ce qui se passe autour de lui. Son regard croisa celui de Gabrielle et ne le quitta pas. La jeune femme cligna des yeux plusieurs fois, un faible sourire se dessinant sur son visage alors que ces lèvres bougèrent, prononçant silencieusement un « Tout va bien » qui firent sourire légèrement Sirius avant qu'il ne réponde de la même façon, murmurant silencieusement un « Idiote... Je t'adore ». L'occasion est mal choisie pour ce genre de choses, certes, mais il a besoin de lui dire. Il faut qu'elle le sache. Il ne parle que rarement de ses sentiments, préférant s'occuper de ceux des autres et se cacher derrière sa réputation de Don Juan, mais là, il a besoin de le lui dire. Pour au cas où. Pour qu'elle le sache à l'avenir. Bien qu'il ait déjà du le lui dire une ou deux fois et surtout qu'il le lui ai fait comprendre à plusieurs reprises, il faut que ce soit clair entre eux. Pour Gabrielle, il donnerai sa vie sans hésitation...
« Mes chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissez place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous... Imperio ! »
Le vide total. Oubliés ses camarades blessés, oubliés les mangemorts menaçant... Sous l'effet du sort, le lion eut l'impression que tous ses problèmes s'étaient envolés pour faire place à une sensation d'euphorie, de décontraction. Il était là, debout au beau milieu de la cabane hurlante, sentant sans réellement les sentir les regards des personnes présentes braqués sur lui. Tout était vague, seule la voix de sa cousine, l'infâme Bellatrix, semblait résonnait dans son esprit vide. Prend la baguette de celle que tu aimes le plus... Prend la baguette... Impossible de résister, le bras de Sirius se tendit, complètement sous les ordres de Bellatrix et il attrapa la baguette en bois d'If. La baguette de Gabrielle. L'affection qu'il porte à la jeune femme n'est un secret pour personne. Elle est importante pour lui, plus qu'une simple connaissance, plus qu'une amie. Une meilleure amie certainement. Une confidente. L'une des rares figures féminines qui compte plus que tout au monde à ses yeux. Une partenaire de coups foireux. Une partenaire de beuverie... Et tellement plus encore.
Son regard vide rencontra celui de la blonde. Il vit les larmes coulées sur ses joues. Piégé par le sort, Sirius était impuissant. Simple spectateur des actes horribles de sa cousine. Au fond de lui, il compris sans réellement le comprendre le plan de cette dernière. La suite des évènements ne fut pas une surprise. Pointe la baguette sur elle. Tue la. Dépêches toi Sirius, tue la ! Non. Pas ça. Pas Gabrielle. N'importe quoi, mais pas ça ! Impossible. Pas elle. Pas comme ça... Pas à cause de lui. Le regard planté dans celui de la jeune femme, Sirius résista. Sans savoir comment c'était possible il lutta, semblant puiser l'énergie nécessaire dans les yeux bleus et brillant de larme de sa camarade. Dans son sourire. Dans les moments remplis de joies qu'ils avaient partagés ensemble, comme le fameux matin où elle était venue dans le dortoir des garçons en petite tenue et qu'elle l'avait réveillé. Comme ce fameux jour où ils s'étaient retrouvés pour la première fois ensemble devant un verre de whisky pur feu et qu'ils avaient fini la soirée complètement ivres, dansant sur les tables et le comptoir...
« Tu es assez fort pour ça Sirius. N'abandonne pas. Jamais. »
La voix et les paroles de Gabrielle semblèrent lui donner un peu plus de courage. Il lutta de toutes ses forces, refusant d'obéir à sa cousine, refusant de commettre un tel acte... Et soudain, ce fut fini. L'impression de vide dans son esprit s'envola en même temps que la sensation de rêverie. Comme si quelqu'un lui avait versé un sceau d'eau gelée sur le visage. Il se souvenait de ce qui s'était passé dans les moindres détails, mais encore étourdi il fut incapable de réagir lorsque Bellatrix lui arracha la baguette des mains pour la pointer sur Gabrielle et achevée ce qui avait été commencée. Avada Kedavra. C'était fini. Les mangemorts firent apparaître la marque des ténèbres dans le ciel et s'envolèrent dans un tourbillon de fumée noire alors que Sirius, dans un hurlement de douleur, se précipitait sur le corps désormais sans vie de la jeune femme. Il l'agrippa par les épaules et la secoua faiblement, articulant avec difficulté.
« Non ! Gaby... Ça peut pas être possible... Gaby... Réveille-toi ! »
Assis sur le sol sale de la cabane hurlante, il serra le corps de la jeune femme contre lui, se balançant légèrement d'avant en arrière. Il laissa les larmes coulées de ses paupières closes, tout bonnement incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher de glisser sur ses joues. Qu'importe que les autres le voit comme ça, aussi faible, lui qui veut toujours se montrer fort. Rien d'autre ne semblait être plus important que la jolie blonde dans ses bras, figée par la mort et malgré tout souriante. Les autres victimes, il sembla les oubliées. Exit la douleur, exit les mangemorts. Plus rien ne compte hormis la mort de Gabrielle. Provoquée à cause de lui... A cette pensée, le Gryffondor laissa échapper un gémissement de douleur, semblable à un hurlement de chien blessé. Resserrant son étreinte, il embrassa le haut du crâne de sa défunte camarade, murmurant des 'Désolé' d'une voix étranglée par les larmes...
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Lorsque les autres mangemorts arrivèrent Xenia devint un peu plus pâle. Sa peau était même devenue translucide. Ses cheveux passaient toujours de rouge à noire et de noire à blanc. De la colère à la peur, de la peur à l'espoir. Lorsqu'elle vit Sirius elle fut remplie de joie et en même temps elle avait peur pour lui. Sirius était son protecteur attitré, celui qui avait toujours été la pour protéger son corps frêle de tous et surtout d'elle même. Là, elle avait envie de lui crier de remplir ce rôle, mais elle savait que c'était impossible. Il était comme elle, une pauvre petite souris qu'on regardait se débattre dans un labyrinthe sans sortie. Je touchais toujours les cheveux de Lucas dans ma main, lui lançant mentalement de tenir bon. Que ça ira, et qu'on pourra retourner ensemble au Lac après ça. Elle regardait les mangemorts se chamaillaient tout en continuant te lancer des Protego sans même attendre le précédent n’est totalement disparu. Elle pensa à moment en lançait un sur les personnes les plus proche d’elle. Les plus proches ? Gabrielle. Elle avait déjà assez soufferte comme ça. Xenia pensait que dans son état il ne s’intéresserait plus à elle. Dorcas était un nouveau jouer pour eux, et Sirius semblait être l’attraction du groupe qui venait de venir. En entendant sa voix, Xenia crut avoir reconnu la cousine de Sirius : la fameuse Bellatrix. Celle à la chevelure aussi noir que la nuit qui et qui ressentait de l’amour uniquement pour son Lord chérit et sa sœur Cissy. Xenia pinça les lèvres. S’il y en avait une qui dépassait toutes les autres, c’était bien elle. Xenia était pourtant loin de penser que la folie et la cruauté de cette femme était bien plus poussée qu’elle n’aurait plus l’imaginer. Parfois la réalité dépasse de loin l’imagination des simples mortels. Xenia regardait le corps de Sirius se tordre sur le sol sous les coups du sortilèges Impardonnables de la mangemort. C’est à ce moment là que celle qui l’avait brûler s’approcha et lui dit :
« « Elle, tu ne la protège pas ? C’est à Dumbledore que tu as envoyé ton patronus n’est ce pas ? … Endoloris ! »
Xenia écarquilla les yeux, elle réagit trop tard. Gabrielle était juste à côté d’elle et elle aurait du mettre un charme de protection sur elle aussi. Elle eut de nouveau des larmes. Même si Xenia ne portait pas Gabrielle dans son cœur, elle restait une personne sympathique et elle avait toujours là pour Lucas. Et malgré sa fierté mal placée, malgré sa jalousie, elle remerciait cette dernière d’avoir était là pour l’amour de sa vie malgré tout. Xenia lui fit le premier sourire de sa vie. Un sourire franc qui la remerciait et en même temps elle s’excusait pour ne pas avoir mit de charme sur elle aussi alors qu’elle était juste à côté de Lucas.
Xenia vit ensuite Dorcas subir également le sortilège Impardonnable. Même si en ce moment elle avait des différents. Xenia appréciait Dorcas. Elle savait que c’était une des personnes les plus droites qu’elle connaissait, l’une des plus courageuse également. Son entrer en cassant le nez d’un des mangemorts montraient sa bravoure, mais aussi son incapacité à mesurer et calculer les risques. Xenia entendit que le mangemort la traité d’impureté. Elle eut peur que sans retenue le mangemort la tue prochainement. Sous tension Xenia ne sachant pas où elle alla cherchait la force tira encore plus Lucas vers elle. Elle le souleva un minimum pour pouvoir le mettre sur elle. Elle posa sa tête sur ses genoux et caressa son front fiévreux. Il était encore conscient et elle lui fit un léger sourire. Bellatrix, si c’était bien elle, semblait être en colère et la désigna en demandant aux autres pourquoi Xenia avait encore sa baguette. En criant elle fit cassé les fenêtres. Xenia frissonna d’horreur. Cette femme semblait être le diable en personne. Elle ordonna ensuite aux autres mangemorts de ramener tous ses camarades près d’elle. Xenia naïve pensait que se serait fini. Il c’était lassé d’eux. Xenia toujours brûler à la poitrine, presque sans peau jusqu’au cou, se pencha tout en tenant Lucas vers Gabrielle quand la mangemort arrêta de la torturé. Mais l’ordre le Bellatrix claqua dans l’air et Xenia voulant ramener Gabrielle près de Lucas pour lançait de nouveau le Protego, se trouva pris de court.
« Choisis en deux, mais sache que Sirius est pour moi ! Mettez les autres près de la blonde brûlée, elle va pouvoir marmonner des prières pour les protéger aussi. Enlevez leur aussi la stupéfication, je veux voir leur visage plein de peur et de douleur. »
Gabrielle se fit porter de l’autre côté de la pièce sous les yeux de Xenia qui commençait à voir qu’elle avait était bien crédule de croire qu’ils allaient enfin être tranquille. Que les mangemorts allaient fuir après qu’elle ait envoyé son patronus. Lorsque les corps de Leroy et Svetlana arrivèrent près d’elle elle pleura en voyant l’état de sa cousine. Les larmes roulaient sur ses lèvres. Elle avait l’impression d’être le plus consciente dans leur groupe de départ. La main de Svetlana étant cassée, Xenia attrapa son avant bras et la tira vers elle. Elle tentait en faite de rassembler tout ce qu’ella aimait pour lançer une nouveau Protego. Elle ne connaissait pas les deux autres Serdaigles qui était arrivée bien amoché aussi. Elle « marmonna » son charme comme l’avait dit Bellatrix et écouta la folie de cette dernière.
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
Encore une fois sans pouvoir faire quelque chose elle vit Sirius se faire contrôler par la folle dingue. Xenia hésita. Elle avait toujours sa baguette. Elle aurait pu tentait de désarmé l’un d’entre eux, mais elle avait peur que cela se répercute sur ceux qu’elle n’avait pas encore protéger. Elle entreprit alors de le faire. Lançant un sortilège silencieux de protection sur toute les personnes autour d’elle. Lucas et Svetlana l’étaient déjà. Elle jeta un regard à Leroy et marmonné en le pointant un « Protego ». Elle regarda ensuite les deux Serdaigles et fit de même. Devant elle se passait pourtant une scène terrible. C’est en jetant le sort de protection sur les serdaigles qu’elle entendit :
« Bon Sirius. Voilà la baguette de la Blonde et celle la c’est celle de la Brune. Ho c’est toujours une histoire entre les Brune et le Blonde. Écoute moi bien mon cher Sirius, choisis la baguette de la fille que tu aimes les plus, celle qui te tient le plus à cœur. Ha tu préfères les blondes alors. Bon très bien. Maintenant pointe la baguette vers celle que tu aimes le plus et tue là avec le sortilège de la mort. »
Xenia qui allait lançait un sortilège sur Jake. Tourna la tête vers Sirius et son bras tendu vers Gabrielle. Cette dernière pleurait. Xenia fut aussi prise de Sanglot. Elle attrapa la main de Lucas. Non, elle ne pouvait pas mourir. Elle ne pouvait pas abandonné Lucas. Comment il allait pouvoir faire ? Non, elle ne pouvait pas. Sirius ne pourrait pas vivre avec ça non plus. Xenia était presque prise de hoquet. Xenia se demanda ensuite si un simple Protego pouvait protéger d’un sortilège de mort. Elle tenta. Xenia lança le sortilège sur Dorcas pour être sur que cette dernière ne soit pas touché, elle garda Gabrielle en dernier se disant que la volonté de Sirius allait résistait. Que tant qu’il n’était pas totalement parti de son corps Gabrielle ne serait pas tuer de sa main. Elle le pensait, elle l’espérait. Elle jeta un coup d’œil sur Lucas. Elle ne voulait pas le perdre, elle ne voulait pas qu’il souffre encore. Il avait vécu trop de chose négative dans cette vie pour que sa meilleure amie s’en aille sous ses yeux. Xenia poita ensuite sa baguette vers Gabrielle. Personne ne semblait s’intéressé à eux. Elle chuchota alors :
« Pro … » en juste après les premières syllabes du sortilège Impardonnable « Avada Ked… »
Xenia écarquilla les yeux et quand elle prononça le « … Tego » Bellatrix avait déjà fait sortir le sortilège de mort de la baguette de Gabrielle. Xenia. Écarquilla les yeux. Elle avait vu le sortilège frapper la blonde de plein fouet. Son visage ruisselant de larmes, ses boucles rebondit, son sourire … Le temps sembla se suspendre. Le silence régna dans la tête de Xenia. Elle venait de voir quelqu’un mourir, là juste sous ses yeux. Ce n’était pas quelqu’un quelle ne connaissait pas. Ce n’était pas quelqu’un d’insignifiant pour elle. C’était Gabrielle et même si elle ne lui avait jamais montré de la sympathie… Elle était une bonne amie pour Sirius, pour Lucas, pour beaucoup de gens … Les larmes de Xenia coulaient. Son souffle était couper. Elle ne vit pas les mangemorts se volatiliser. Ce ne fut que le cris de douleur de Sirius qui la fit de nouveau respirer avec encore plus de difficulté.
« Non ! Gaby... Ça peut pas être possible... Gaby... Réveille-toi ! » criait Sirius.
Xenia fondit littéralement en larmes. Gémissant elle aussi, de soulagement de peine, de tristesse. De tout. Pris par les émotion ses cheveux, ses yeux sa peau était un véritable sapin de noël. Elle attrapa Lucas et par je ne sais qu’elle miracle elle le souleva. Elle l’aida elle savait qu’il devait allait la bas. Elle l’aida à le porter, prenant la force que les entrainements de Dorcas lui avait donné. Elle peina, pleurant de rage, de désespoire mais réussit à parcourir les quelques mètres avec Lucas afin de poser son corps ruisselant de sang près de celui de Gabrielle. Quand elle fut à hauteur du corps de la jeune fille. Elle posa Lucas comme elle pu et s’effondra sur le sol. Elle Regarda le visage paisible de la blonde que Sirius serrait dans ses bras. Xenia attrapa serra elle aussi le corps faiblard de son amour. Et lui murmura :
« On la vengera mon amour … je te jure … on la vengera Lucas ».
Xenia tendit sa main vers une des boucles de la jeune fille et la fit tressauté dans sa main et murmura pour le corps sang vie de la gryffondor :
« On te vengera Gaby … Je te promets … »
Xenia regarda ensuite en direction des autres. Elle regarda Dorcas, la seule à être encore Stupéfié. Elle pointa sa baguette vers elle et prononça :
« Ennervatum »
Après ça elle regarda de nouveau le corps sans vie de celle qu’elle n’avait pas pu protéger dès le début à cause de sa fierté, à cause de sa jalousie …. Elle se promit une chose, plus de jalousie tant que cela serait possible. Plus de fierté face aux gens qu’on ne connaît pas et qu’on n’aime pas. C’est personne qu’on n’apprécie pas, sont aimés de personne qui elle souffre de leur disparition. Xenia se sentait faible, mais en même temps elle avait l’envie de s’en sortir pour pouvoir tenir la parole qu’elle avait fait devant le corps sans vie de Gabrielle : la venger. La venger pour la peine que Lucas, Sirius, les autres et même elle ressentait. Il n'y avait pas que Gabrielle qui avait rencontré la mort : leur crédulité, leur espoir, leur jeunesse, leur âme l'étaient aussi...
« « Elle, tu ne la protège pas ? C’est à Dumbledore que tu as envoyé ton patronus n’est ce pas ? … Endoloris ! »
Xenia écarquilla les yeux, elle réagit trop tard. Gabrielle était juste à côté d’elle et elle aurait du mettre un charme de protection sur elle aussi. Elle eut de nouveau des larmes. Même si Xenia ne portait pas Gabrielle dans son cœur, elle restait une personne sympathique et elle avait toujours là pour Lucas. Et malgré sa fierté mal placée, malgré sa jalousie, elle remerciait cette dernière d’avoir était là pour l’amour de sa vie malgré tout. Xenia lui fit le premier sourire de sa vie. Un sourire franc qui la remerciait et en même temps elle s’excusait pour ne pas avoir mit de charme sur elle aussi alors qu’elle était juste à côté de Lucas.
Xenia vit ensuite Dorcas subir également le sortilège Impardonnable. Même si en ce moment elle avait des différents. Xenia appréciait Dorcas. Elle savait que c’était une des personnes les plus droites qu’elle connaissait, l’une des plus courageuse également. Son entrer en cassant le nez d’un des mangemorts montraient sa bravoure, mais aussi son incapacité à mesurer et calculer les risques. Xenia entendit que le mangemort la traité d’impureté. Elle eut peur que sans retenue le mangemort la tue prochainement. Sous tension Xenia ne sachant pas où elle alla cherchait la force tira encore plus Lucas vers elle. Elle le souleva un minimum pour pouvoir le mettre sur elle. Elle posa sa tête sur ses genoux et caressa son front fiévreux. Il était encore conscient et elle lui fit un léger sourire. Bellatrix, si c’était bien elle, semblait être en colère et la désigna en demandant aux autres pourquoi Xenia avait encore sa baguette. En criant elle fit cassé les fenêtres. Xenia frissonna d’horreur. Cette femme semblait être le diable en personne. Elle ordonna ensuite aux autres mangemorts de ramener tous ses camarades près d’elle. Xenia naïve pensait que se serait fini. Il c’était lassé d’eux. Xenia toujours brûler à la poitrine, presque sans peau jusqu’au cou, se pencha tout en tenant Lucas vers Gabrielle quand la mangemort arrêta de la torturé. Mais l’ordre le Bellatrix claqua dans l’air et Xenia voulant ramener Gabrielle près de Lucas pour lançait de nouveau le Protego, se trouva pris de court.
« Choisis en deux, mais sache que Sirius est pour moi ! Mettez les autres près de la blonde brûlée, elle va pouvoir marmonner des prières pour les protéger aussi. Enlevez leur aussi la stupéfication, je veux voir leur visage plein de peur et de douleur. »
Gabrielle se fit porter de l’autre côté de la pièce sous les yeux de Xenia qui commençait à voir qu’elle avait était bien crédule de croire qu’ils allaient enfin être tranquille. Que les mangemorts allaient fuir après qu’elle ait envoyé son patronus. Lorsque les corps de Leroy et Svetlana arrivèrent près d’elle elle pleura en voyant l’état de sa cousine. Les larmes roulaient sur ses lèvres. Elle avait l’impression d’être le plus consciente dans leur groupe de départ. La main de Svetlana étant cassée, Xenia attrapa son avant bras et la tira vers elle. Elle tentait en faite de rassembler tout ce qu’ella aimait pour lançer une nouveau Protego. Elle ne connaissait pas les deux autres Serdaigles qui était arrivée bien amoché aussi. Elle « marmonna » son charme comme l’avait dit Bellatrix et écouta la folie de cette dernière.
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
Encore une fois sans pouvoir faire quelque chose elle vit Sirius se faire contrôler par la folle dingue. Xenia hésita. Elle avait toujours sa baguette. Elle aurait pu tentait de désarmé l’un d’entre eux, mais elle avait peur que cela se répercute sur ceux qu’elle n’avait pas encore protéger. Elle entreprit alors de le faire. Lançant un sortilège silencieux de protection sur toute les personnes autour d’elle. Lucas et Svetlana l’étaient déjà. Elle jeta un regard à Leroy et marmonné en le pointant un « Protego ». Elle regarda ensuite les deux Serdaigles et fit de même. Devant elle se passait pourtant une scène terrible. C’est en jetant le sort de protection sur les serdaigles qu’elle entendit :
« Bon Sirius. Voilà la baguette de la Blonde et celle la c’est celle de la Brune. Ho c’est toujours une histoire entre les Brune et le Blonde. Écoute moi bien mon cher Sirius, choisis la baguette de la fille que tu aimes les plus, celle qui te tient le plus à cœur. Ha tu préfères les blondes alors. Bon très bien. Maintenant pointe la baguette vers celle que tu aimes le plus et tue là avec le sortilège de la mort. »
Xenia qui allait lançait un sortilège sur Jake. Tourna la tête vers Sirius et son bras tendu vers Gabrielle. Cette dernière pleurait. Xenia fut aussi prise de Sanglot. Elle attrapa la main de Lucas. Non, elle ne pouvait pas mourir. Elle ne pouvait pas abandonné Lucas. Comment il allait pouvoir faire ? Non, elle ne pouvait pas. Sirius ne pourrait pas vivre avec ça non plus. Xenia était presque prise de hoquet. Xenia se demanda ensuite si un simple Protego pouvait protéger d’un sortilège de mort. Elle tenta. Xenia lança le sortilège sur Dorcas pour être sur que cette dernière ne soit pas touché, elle garda Gabrielle en dernier se disant que la volonté de Sirius allait résistait. Que tant qu’il n’était pas totalement parti de son corps Gabrielle ne serait pas tuer de sa main. Elle le pensait, elle l’espérait. Elle jeta un coup d’œil sur Lucas. Elle ne voulait pas le perdre, elle ne voulait pas qu’il souffre encore. Il avait vécu trop de chose négative dans cette vie pour que sa meilleure amie s’en aille sous ses yeux. Xenia poita ensuite sa baguette vers Gabrielle. Personne ne semblait s’intéressé à eux. Elle chuchota alors :
« Pro … » en juste après les premières syllabes du sortilège Impardonnable « Avada Ked… »
Xenia écarquilla les yeux et quand elle prononça le « … Tego » Bellatrix avait déjà fait sortir le sortilège de mort de la baguette de Gabrielle. Xenia. Écarquilla les yeux. Elle avait vu le sortilège frapper la blonde de plein fouet. Son visage ruisselant de larmes, ses boucles rebondit, son sourire … Le temps sembla se suspendre. Le silence régna dans la tête de Xenia. Elle venait de voir quelqu’un mourir, là juste sous ses yeux. Ce n’était pas quelqu’un quelle ne connaissait pas. Ce n’était pas quelqu’un d’insignifiant pour elle. C’était Gabrielle et même si elle ne lui avait jamais montré de la sympathie… Elle était une bonne amie pour Sirius, pour Lucas, pour beaucoup de gens … Les larmes de Xenia coulaient. Son souffle était couper. Elle ne vit pas les mangemorts se volatiliser. Ce ne fut que le cris de douleur de Sirius qui la fit de nouveau respirer avec encore plus de difficulté.
« Non ! Gaby... Ça peut pas être possible... Gaby... Réveille-toi ! » criait Sirius.
Xenia fondit littéralement en larmes. Gémissant elle aussi, de soulagement de peine, de tristesse. De tout. Pris par les émotion ses cheveux, ses yeux sa peau était un véritable sapin de noël. Elle attrapa Lucas et par je ne sais qu’elle miracle elle le souleva. Elle l’aida elle savait qu’il devait allait la bas. Elle l’aida à le porter, prenant la force que les entrainements de Dorcas lui avait donné. Elle peina, pleurant de rage, de désespoire mais réussit à parcourir les quelques mètres avec Lucas afin de poser son corps ruisselant de sang près de celui de Gabrielle. Quand elle fut à hauteur du corps de la jeune fille. Elle posa Lucas comme elle pu et s’effondra sur le sol. Elle Regarda le visage paisible de la blonde que Sirius serrait dans ses bras. Xenia attrapa serra elle aussi le corps faiblard de son amour. Et lui murmura :
« On la vengera mon amour … je te jure … on la vengera Lucas ».
Xenia tendit sa main vers une des boucles de la jeune fille et la fit tressauté dans sa main et murmura pour le corps sang vie de la gryffondor :
« On te vengera Gaby … Je te promets … »
Xenia regarda ensuite en direction des autres. Elle regarda Dorcas, la seule à être encore Stupéfié. Elle pointa sa baguette vers elle et prononça :
« Ennervatum »
Après ça elle regarda de nouveau le corps sans vie de celle qu’elle n’avait pas pu protéger dès le début à cause de sa fierté, à cause de sa jalousie …. Elle se promit une chose, plus de jalousie tant que cela serait possible. Plus de fierté face aux gens qu’on ne connaît pas et qu’on n’aime pas. C’est personne qu’on n’apprécie pas, sont aimés de personne qui elle souffre de leur disparition. Xenia se sentait faible, mais en même temps elle avait l’envie de s’en sortir pour pouvoir tenir la parole qu’elle avait fait devant le corps sans vie de Gabrielle : la venger. La venger pour la peine que Lucas, Sirius, les autres et même elle ressentait. Il n'y avait pas que Gabrielle qui avait rencontré la mort : leur crédulité, leur espoir, leur jeunesse, leur âme l'étaient aussi...
Xenia P. RomanovaHer Royal Highness Princess Xenia Petrovna Romanova of Russia - Messages : 570
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Lucas n’y arrivait pas. Ses doigts ne réussissaient pas à l’atteindre. Elle était trop loin. Physiquement comme moralement. Il la perdait. Petit à petit, elle disparaissait sous ses yeux. Il ne suivait plus ce qu’il se passait autour de lui. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il y avait Xenia à ses côtés et que Gabrielle lui échappait. Une fumée noire accentua son impression. Il avait ce sentiment que les choses allaient mal tourner. Pourquoi n’arrivait-il pas à l’atteindre ? Pourquoi ne pouvait-il pas sentir sa main ? Plus il essayait de l’attraper et plus elle s’éloignait. Comment était-ce possible ? Elle ne se préoccupait pas forcément de lui. Elle était ailleurs. On pouvait croire qu’elle avait quitté ce monde. Il ne la laisserait pas faire. Elle allait rester avec lui, qu’elle le veuille ou non ! Il tira sur son bras. Là une sortie. Il se précipita sur ce lieu invisible où aucune force ne venait le perturber. Trop tard… Il vit sa meilleure amie se tordre de douleur juste là… Il aurait voulu sauter sur elle pour empêcher cette douleur. Il aurait voulu être à sa place. Il aurait voulu fuir le plus loin possible. Mais rien. Rien ne vint. Il était incapable de faire quoi que ce soit. Il était bloqué là. Il ne voyait rien autour de lui. Juste sa belle meilleure amie se tordre sur ce parquet en bois pourri le laissant impuissant. Cela ne dura pas longtemps mais juste assez pour qu’aucune force ne reste en lui. Il avait laissé faire. Il n’avait pas bougé d’un centimètre pour arrêter ça. Mais est-ce que ça avait de l’importance maintenant que c’était fini ? Elle ne faisait pas attention à lui. Elle regardait ailleurs. Fuyait-elle son regard ? Lui en voulait-elle ? Il aurait voulu s’approcher d’elle pour la prendre dans ses bras. Une dernière fois au moins.
Il entendait des bruits aux alentours. Des personnes parlaient, bougeaient. Peut-être. Sûrement. Il ne quittait pas Gaby du regard. Il ne voulait pas. Il ne pouvait pas. Pour une raison quelconque, il sentait que s’il la lâchait ne serait-ce qu’une seconde du regard, il ne la reverrait plus. Et les autres ? Pourquoi ne faisait-il pas attention aux autres ? Il sentait leur souffrance aussi… Mais cela ne le touchait pas autant. Pas tout de suite. Les autres vivraient, il le sentait. Il ne savait pourquoi mais cette « fête » se finirait avec la même victime. Il aurait tout le temps d’observer les autres après, il en était sûr. Elle partait. Si elle survivait, elle ne tiendrait pas moralement. Il le savait. Elle était déjà détruite d’avant. Elle venait d’abandonner il y a quelques minutes. Cela se voyait à son corps détendu. Il l’avait tout de suite vu. Mais il ne la laisserait pas faire. Ce n’était pas possible. Il n’abandonnerait pas et ne la laisserait pas abandonner.
Il se sentit pencher. Il ne comprit pas dans quelle position il était. Cela avait changé sans qu’il ne s’en rende compte. Mais le corps qui le tenait lui donnait plus de force. Xenia était là avec lui et l’aidait à essayer d’atteindre Gabrielle. Elle avait laissé de côté sa jalousie pour être avec lui de tout cœur. Elle ne l’abandonnait pas. Plus, elle n’abandonnait pas Gabrielle. Mais Lucas sentit soudain qu’il y avait un problème. Elle le ramena vers lui tandis que Gaby lui échappait et s’éloignait réellement. Non ! Pas maintenant ! Ce n’était pas possible ! Il y avait quelqu’un d’autre avec elle, mais on ne lui ferait rien. Il savait ce que ça voulait dire. Il n’était pas le seul. Il y eut un moment de remue-ménage. Mais qu’est-ce que cela pouvait faire. Que ce soit maintenant ou dans quelque instant, le résultat serait le même. Il sentit une main serrer la sienne. Elle voulait lui donner du courage. Mais il n’y avait plus que du vide en lui. Il ne faisait attention qu’à elle et ses boucles blondes. Il la vit se tourner de son côté. Un seul regard pour tout dire. Il le lui rendit avec intensité. Il n’arrivait pas à y croire. Elle retourna sa tête. Elle envoyait un message à quelqu’un d’autre. Quelqu’un de seul contrairement à lui. Il n’était plus que l’ombre de lui-même, spectateur d’une scène irréelle. Il ne se battait plus. Sa mission, son but de détruisait en mille morceaux devant lui. Pourquoi continuer à se battre alors ?
N'abandonne pas. Jamais.Il entendait des bruits aux alentours. Des personnes parlaient, bougeaient. Peut-être. Sûrement. Il ne quittait pas Gaby du regard. Il ne voulait pas. Il ne pouvait pas. Pour une raison quelconque, il sentait que s’il la lâchait ne serait-ce qu’une seconde du regard, il ne la reverrait plus. Et les autres ? Pourquoi ne faisait-il pas attention aux autres ? Il sentait leur souffrance aussi… Mais cela ne le touchait pas autant. Pas tout de suite. Les autres vivraient, il le sentait. Il ne savait pourquoi mais cette « fête » se finirait avec la même victime. Il aurait tout le temps d’observer les autres après, il en était sûr. Elle partait. Si elle survivait, elle ne tiendrait pas moralement. Il le savait. Elle était déjà détruite d’avant. Elle venait d’abandonner il y a quelques minutes. Cela se voyait à son corps détendu. Il l’avait tout de suite vu. Mais il ne la laisserait pas faire. Ce n’était pas possible. Il n’abandonnerait pas et ne la laisserait pas abandonner.
Il se sentit pencher. Il ne comprit pas dans quelle position il était. Cela avait changé sans qu’il ne s’en rende compte. Mais le corps qui le tenait lui donnait plus de force. Xenia était là avec lui et l’aidait à essayer d’atteindre Gabrielle. Elle avait laissé de côté sa jalousie pour être avec lui de tout cœur. Elle ne l’abandonnait pas. Plus, elle n’abandonnait pas Gabrielle. Mais Lucas sentit soudain qu’il y avait un problème. Elle le ramena vers lui tandis que Gaby lui échappait et s’éloignait réellement. Non ! Pas maintenant ! Ce n’était pas possible ! Il y avait quelqu’un d’autre avec elle, mais on ne lui ferait rien. Il savait ce que ça voulait dire. Il n’était pas le seul. Il y eut un moment de remue-ménage. Mais qu’est-ce que cela pouvait faire. Que ce soit maintenant ou dans quelque instant, le résultat serait le même. Il sentit une main serrer la sienne. Elle voulait lui donner du courage. Mais il n’y avait plus que du vide en lui. Il ne faisait attention qu’à elle et ses boucles blondes. Il la vit se tourner de son côté. Un seul regard pour tout dire. Il le lui rendit avec intensité. Il n’arrivait pas à y croire. Elle retourna sa tête. Elle envoyait un message à quelqu’un d’autre. Quelqu’un de seul contrairement à lui. Il n’était plus que l’ombre de lui-même, spectateur d’une scène irréelle. Il ne se battait plus. Sa mission, son but de détruisait en mille morceaux devant lui. Pourquoi continuer à se battre alors ?
Ces paroles se répercutèrent dans son cerveau sans trouver de sortie, de prise. Elles faisaient échos sans réellement être comprises. C’était fini. Plus de vie, plus de rire, plus de blague… Plus de sourire. Plus rien. Il restait seul dans ce combat. Un combat perdu depuis longtemps. A quoi bon se battre contre la défaite ? Pourquoi ne pas la rejoindre tout de suite ? On le souleva, comme un poids mort. Il ne fit aucun effort pour aider. Il ne pouvait pas. Cela servait à quoi ? Lui-même n’était plus très loin de ce paradis. Il pourrait enfin arrêter de se battre. Il pourrait la retrouver, rigoler de nouveau. Il s’effondra de nouveau sur le sol, comme son esprit s’était effondré. Il sentit un corps autour de lui. Il entendit une voix dans son oreille. Il vit un sourire familier sur un visage qu’il ne reverrait plus jamais. Tout était flou. Il voulait abandonner. Mais on l’en empêchait. On le maintenait sur Terre. On le maintenait dans ce lieu de torture. Il ne pouvait se détacher de ce visage. La voix continuait de parler. On le secoua quand quelqu’un bougea derrière lui. Sa vision changea. Un flash apparu. Gabrielle rigolait d’une de ses bêtises. Elle le secouait pour qu’il bouge. Elle le questionnait sans arrêt. Elle ne le quittait pas du regard pour le perturber. Elle le bousculait en rigolant. Elle tombait dans la déprime. Elle commençait à ne plus ressembler à sa meilleure amie. Elle buvait. Elle le fuyait. Elle lui mentait. Elle abandonnait. Elle s’excusait du regard. Elle abandonnait. Elle restait sans vie devant ses yeux. Des larmes coulaient sur ses joues. Un souffle irrégulier lui prit à la gorge. Il n’arrivait plus à respirer. Le choc montait. Il e comprenait plus. Il était perdu. La réalité l’embrouillait. Elle ne laissait qu’un sourire derrière elle. Elle abandonnait. Elle l’abandonnait. Elle l’avait fait depuis un moment. Il la suivait. Péniblement mais il le faisait. Il baissa la tête, la respiration complètement détruite, se noyant sous la colère, le désespoir, l’abandon, la tristesse. Il sentit un corps contre lui. Un nouveau choc se fit. Il se leva d’un coup et hurla dans cette tension lugubre :
JE N’ABANDONNERAI JAMAIS GABRIELLE ! TU M’ENTENDS ! JAMAIS ! Il tomba à genoux, vit son visage, la toucha avec tendresse du bout des doigts et murmura avec une souffrance inexprimable :
Jamais…Il retomba sur ses genoux, sans aucune force. Il était vide. Complètement. Il se reposa sur Xenia pour ne pas tomber, garder un minimum de force. Il ne voulait pas abandonner. Pas tout de suite. Il n'avait le droit. Il devait rester éveillé, coûte que coûte. Pour Elle.
- Spoiler:
- j'ai changé un peu la toute fin à cause d'un petit critiqueur
Lucas Crawd- Messages : 511
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Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Elizabeth continuait de fixer la femme vêtue de noir. Sa baguette n'avait fait que quelques mètres en hauteur, mais sa détentrice l'avait très rapidement rattrappée. La traitant de lâche, Elizabeth l'entendit rire. Un rire qui, pouvait glacer le sang, mais pas le sien. Elle tirait sa capuche, où l'on apercevait que ses cheveux. Elizabeth provoquait cette femme, qui fit un geste de baguette. D'instinct, l'américaine s'écartait et le mur juste derrière explosait. L'espionne sourit sous ses cheveux, alors qu'elle se déplaçait comme au ralenti. Elizabeth se fit quand même touchée par un débris de béton qui allait se cogner avec brutalité contre son bras. Elle crachait un cri silencieux de douleur avant de reprendre un masque impassible sur le visage. Elle avait sans doute réussi à la libéré d'Evangeline un temps. Enchainant les sorts, la femme en noir ne voyait pas si elle touchait Elizabeth ou non. Ou du moins, c'est ce que l'espionne apercevait au delà de la poussière. L'américaine n'attendit pas et enchainait les Protego aussi vite. Très vive, Elizabeth n'avait pas été touchée par les sorts, mais elle sentait une douleur insoutenable à son bras. Il était très certainement cassé, mais soit. Elle cachait une partie du visage alors qu'elle encore dans la poussière, mais entendit tout de même Evangeline parler.
Elle crachait de la poussière, alors qu'elle sortait du nuage de poussière. Elle n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit, que la femme en noir prit Evangeline par les cheveux. La... L'ordure. Elizabeth voulu intervenir, mais la femme se déplaçait rapidement et l'agrippait pas par le bras. L'américaine grimaçait silencieusement alors qu'elles disparaissaient dans un voile de fumée opaque. Le voyage fut nauséeux. Elle détestait le transplanage. Elles atterirent toutes les trois dans un grand manoir. La Cabane Hurlante. Ca sentait le défraîchi, le bois moisi. L'américaine grimaçait tout en gesticulant, pour se faire libérer. Ni une, ni deux, Elizabeth se faisait ejectée contre le sol poussiéreux. Son bras la faisait souffrir et ses poumons se remplissaient de poussières. Elle était légèrement à bout de forces, malgré qu'elle était pourtant une jeune femme forte. Elle se relevait avec peine et se dirigeait vers sa baguette qui était tombée plus loin. A quatre pattes, elle s'approchait prudemment, jusqu'à ce que celle-ci ne soit volée. Elizabeth ne comprit pas grand chose, alors qu'elle se faisait prendre par la peau du cou et ramené aux côtés des plus blessés. Elle n'avait jamais fait face à cette situation, elle ne savait plus où se projeter, elle avait envie de se défendre, de défendre les autres, mais elle n'était plus capable d'assumer. Entourée de ces élèves en agonie, elle se sentait faible et incapable de faire le moindre mouvement de solidarité. A nouveau déplacée, Elizabeth ne se contentait que de tousser, vu la façon dont elle était prise par le cou et se débattre avec peine.
« Mais chers invités, nous sommes aux regrets de vous annoncer que la fête se termine maintenant. Mais nous avons un dernier spectacle pour vous mes chers amis. Après tant de rire, laissait place au dernier numéro des serviteurs de notre cher Lord Voldemort, votre maître à tous. »
Elle avait envie de leur dire d'aller se faire voir avec ce Voldemort, qu'un jour, il mourra, comme tant d'autres, mais se retint. A la place, elle arpentait un visage déformé par le dégoût. La femme qu'elle avait poursuivie s'attaquait à un des élèves, son prétendu “cousin”, lui proposant deux baguettes. Sous l'imperium, le jeune homme se débattait tout de même au fond de lui, ce qui n'avait pas l'air de plaire.
« Tu choisis celle que tu aimes le plus Sirius ! Dépêche toi ! Où je tue les deux ! »
Elle n'attendit cependant pas. Ces mots, ce sort fut comme un déclic au fond d'Elizabeth.
« Avada Kedavra »
Le jeune femme à l'agonie n'était plus. Un sentiment de faiblesse s'empara de l'américaine qui avait observer la scène d'un regard presque inexpressif. Elle prit la première personne dans ses bras, à savoir Evangeline, qui était à ses côtés. Une fois que les mangemorts disparurent, Elizabeth se levait et s'approchait du corps inanimé de la Gryffondor. Elle semblait paisible, elle donnait l'impression de dormir profondémment. Cela soulageait un peu Elizabeth, qui la prit dans les bras, une fois ses amis calmés. Elle avait mal à son bras, mais elle avait reçu un élan de courage et de force pour poser la demoiselle sur une surface plus douce que le sol. Un lit, sans nul doute. Elle reculait et se laissait tombé sur le sol, anéantie. Elle avait perdu, elle avait échouée et elle savait exactement ce qui l'attendait avec ses parents. Avec le reste d'ailleurs. Bien qu'elle était d'habitude si froide et inexpressive, une larme perlait au bord de ses yeux et partait s'échouer sur le sol. Lammentablement.
Invité- Invité
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
Un tigre argenté apparu devant le directeur, il y avait un message pour lui : mangemorts, otages, cabane hurlante, vite. Il ne perdu pas une seule seconde et envoya un message aux autres professeurs de venir le rejoindre à la cabane hurlante pour aider les étudiants. De son côté, il ne les attendit pas et se dirigea rapidement vers Pré-au-Lard, il fut accueillit par un village affolé : des trous dans les murs, des vitrines cassées, mais le pire, la marque des ténèbres qui planaient sournoisement au-dessus de la cabane hurlante. Des curieux s'étaient approchés en un demi-cercle sans s'approcher du lieu où les mangemorts avaient probablement été quelque instant plus tôt. Dumbledore se fraya un chemin et se dirigea vers ses étudiants, il scanna la scène du regard et il fut désolé de voir la situation dans laquelle ses étudiants s'étaient retrouvés, une sortie à Pré-au-Lard, ne pouvait tourner dans un tel carnage. Il s'approcha du groupe qui se tenait dans une formation serrée, la marque des ténèbres ne venait pas sans la mort qui lui était rattaché, il redoutait déjà de voir le visage de celui ou celle qui avait été touché par le sortilège impardonnable. Il entendit vaguement que d'autres se rapprochaient des étudiants, mais il n'y portait pas attention, il avait reconnu la Gryffondor aux cheveux bouclés or, Gabrielle Kipenson. Elle ne le méritait pas, personne ne méritait de mourir aussi jeune, personne ne devrait voir la mort aussi jeune. Doucement, il délogea Sirius de sa prise sur la rouge et or.
- Sirius, je vais prendre soin d'elle, tu peux la lâcher, je vais la ramener à ses parents.
- Pourquoi toute cette agitation, qu'est-ce qui s'est passé ?
- Les mangemorts ont attaqués, ce n'est que le début, le ministère doit se préparer mieux pour d'éventuelle attaque.
- Voyons Dumbledore, ne soyez pas idiot, ce ne sont que vos étudiants qui ont voulu faire un mauvais coup.
Dumbledore lança un regard froid à l'auror et d'un geste de main lui indiqua les dits étudiants qui étaient dans un piteux état; membres cassés, brûlures, ensanglantés et finalement Gabrielle qu'il fit doucement léviter pour pouvoir la transporter jusqu'à un lieu plus calme. De son autre main, il pointa la marque des ténèbres qui étaient toujours sournoisement au-dessus de leur tête. Les professeurs et les quelques autres aurors commençaient à apporter des soins auprès des blessés. Zachary, entre autre, devait faire un effort surhumain pour ne pas avoir à bloquer ses émotions, sa mâchoire était crispé, tant de douleur, c'était infernal. Il s'approcha de Svetlana et observa l'état de ses blessures, elle avait au moins la main et le nez de cassés, rien que l'infirmière ne pourrait pas arranger au cours de la nuit, par contre il savait qu'il lui faudra plus qu'une tournée de vodka pour guérir la plaie qu'elle avait sur le cœur, du coin de l'oeil il pouvait voir Horace s'occuper de Xenia, il avait pensé à amener quelques onguent avec lui ou bien était-ce l'infirmière qui lui avait donné ? Cela ne serait pas suffisant pour guérir les blessures, mais suffisant pour les rendre supportable jusqu'à ce qu'ils atteignent le château. L'infirmière s'était empressé d'arriver au côté de Lucas, elle avait mis un bandage temporaire sur son épaule et appliquait de la pression sur celle-ci. Tout ce sang, toute cette horreur. Des sorciers qu'il ne connaissait pas, qu'il supposait être des aurors étaient au côté de Leroy, Dorcas et Evangeline. Ils ne semblaient pas avoir de blessures physiques, mais cela était loin de prouver qu'ils n'avaient rien, les mangemorts n'auraient jamais laissés quelqu'uns sans blessure et il pouvait ressentir leur douleur. L'infirmière demanda à un homme sans nom, ne prendre la relève sur le Poufsouffle, pour qu'elle puisse s'occuper d'Elisabeth, il était possible de l'entendre marmonner que les aurors du ministère devrait apprendre un minimum de soin pour avoir l'emploi que c'était ridicule qu'ils soient aussi incompétent. Horace, lui, avec son onguent il aperçu, la brûlure de Sirius, alors il s'approcha du Gryffondor en disant quelques derniers mots rassurants à Xenia, même s'il s'éloignait à peine. Les étudiants avaient de besoin de tout le support qu'ils pouvaient avoir. Subir une attaque de mangemort et la perte d'une de leur compagne. C'était un jour sombre pour le monde magique.
[La gentillesse c'est pas mon fort, mais au moins le RP est fait dans les temps (=]
- Sirius, je vais prendre soin d'elle, tu peux la lâcher, je vais la ramener à ses parents.
- Pourquoi toute cette agitation, qu'est-ce qui s'est passé ?
- Les mangemorts ont attaqués, ce n'est que le début, le ministère doit se préparer mieux pour d'éventuelle attaque.
- Voyons Dumbledore, ne soyez pas idiot, ce ne sont que vos étudiants qui ont voulu faire un mauvais coup.
Dumbledore lança un regard froid à l'auror et d'un geste de main lui indiqua les dits étudiants qui étaient dans un piteux état; membres cassés, brûlures, ensanglantés et finalement Gabrielle qu'il fit doucement léviter pour pouvoir la transporter jusqu'à un lieu plus calme. De son autre main, il pointa la marque des ténèbres qui étaient toujours sournoisement au-dessus de leur tête. Les professeurs et les quelques autres aurors commençaient à apporter des soins auprès des blessés. Zachary, entre autre, devait faire un effort surhumain pour ne pas avoir à bloquer ses émotions, sa mâchoire était crispé, tant de douleur, c'était infernal. Il s'approcha de Svetlana et observa l'état de ses blessures, elle avait au moins la main et le nez de cassés, rien que l'infirmière ne pourrait pas arranger au cours de la nuit, par contre il savait qu'il lui faudra plus qu'une tournée de vodka pour guérir la plaie qu'elle avait sur le cœur, du coin de l'oeil il pouvait voir Horace s'occuper de Xenia, il avait pensé à amener quelques onguent avec lui ou bien était-ce l'infirmière qui lui avait donné ? Cela ne serait pas suffisant pour guérir les blessures, mais suffisant pour les rendre supportable jusqu'à ce qu'ils atteignent le château. L'infirmière s'était empressé d'arriver au côté de Lucas, elle avait mis un bandage temporaire sur son épaule et appliquait de la pression sur celle-ci. Tout ce sang, toute cette horreur. Des sorciers qu'il ne connaissait pas, qu'il supposait être des aurors étaient au côté de Leroy, Dorcas et Evangeline. Ils ne semblaient pas avoir de blessures physiques, mais cela était loin de prouver qu'ils n'avaient rien, les mangemorts n'auraient jamais laissés quelqu'uns sans blessure et il pouvait ressentir leur douleur. L'infirmière demanda à un homme sans nom, ne prendre la relève sur le Poufsouffle, pour qu'elle puisse s'occuper d'Elisabeth, il était possible de l'entendre marmonner que les aurors du ministère devrait apprendre un minimum de soin pour avoir l'emploi que c'était ridicule qu'ils soient aussi incompétent. Horace, lui, avec son onguent il aperçu, la brûlure de Sirius, alors il s'approcha du Gryffondor en disant quelques derniers mots rassurants à Xenia, même s'il s'éloignait à peine. Les étudiants avaient de besoin de tout le support qu'ils pouvaient avoir. Subir une attaque de mangemort et la perte d'une de leur compagne. C'était un jour sombre pour le monde magique.
[La gentillesse c'est pas mon fort, mais au moins le RP est fait dans les temps (=]
Re: Evénement du mois de Mai (Groupe 1) [Vérouillé]
HS Ceci est le poste de Lana, comme elle est en vacance elle m'a demandé de le poster.
Xenia P. RomanovaHer Royal Highness Princess Xenia Petrovna Romanova of Russia - Messages : 570
Date d'inscription : 05/10/2010
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