Romane Lawson

**Romane Lawson** Ven 19 Avr - 23:35

♦ Nom : Lawson
♦ Prénom : Romane
♦ Surnom : Romy
♦ Âge : 16 ans
♦ Date & Lieu de naissance : 9 janvier 1961 à Londres
♦ Sexualité : Bisexuelle
♦ Sang : Enfant de moldus
♦ Année de Scolarité : Sixième année
♦ Baguette : 34 centimètre, bois de chène, plus de phénix.
♦ Patronus : Pingouin
♦ Avatar : Haley Wiliams

Pour en savoir plus

Spoiler:

« L'homme est la seule créature qui refuse d'être ce qu'elle est. »

Votre histoire avant Poudlard

Raconter l'histoire de votre personnage avant son entré à Poudlard.

Je suis née en plein milieu de Londres, dans la luxure et les dorures que mes parents affectionnaient tant. Tout deux moldus, ils m'avaient offert ce que n'importe quelle fille rêve d'avoir. Des robes par milliers, des poupées par centaines, et tout ce qu'un enfant désire. Ils m'avaient appris à porter cela comme une fierté. Ils m'avaient toujours éduqués pour être une lady, et à ne jamais me venter de quoi que se soit. Et au début, j'avais suivis leur éducation avec assiduité.

Mais, le jour de mes neufs ans, alors que j'étais avec le seul ami que j'avais, Charly Belfleurs, ma mère avait trouvé la merveilleuse idée de quitter mon père parce qu'il la trompait. Je crois qu'inconsciemment, je leurs en ais toujours voulu d'avoir cassés ce merveilleux rêve qu'ils avaient fait de ma vie. Car pendant six mois, ils m'ont envoyés chez ma tante, alcoolique et légèrement violente. J'ai perdue ma vie de princesse et le seul ami que j'avais pour vivre une vie de misère et de violence.

C'est ma tante, qui m'a réellement éduqué. Car au final, j'ai passé le reste de mon enfance chez elle. Ma mère s'étant retrouvé un homme qui était allergique aux enfants, et mon père qui avait finit au chômage et sans sous, pas même assez pour vivre.

Ma tante était de ces gens qui ne grandissent jamais. Elle se voyait toujours, malgré ces quarante années, au lycée. Sa maison ressemblait plus à une boite de nuit, qu'à une maison ou on élève un enfant. Elle fumait beaucoup, buvait souvent, et ramenait des hommes tout les soirs. Quand je pleurais, elle me frappait. Quand je désobéissais, elle me frappait.

Mais au delà de ces mauvais côtés, ma tante m'avait appris l'art de la manipulation. Elle me répétait souvent qu'il ne fallait pas que je me laisse marché dessus. Elle m'avait appris à mentir, sans que personne ne se doute de rien. Je jouais si bien la comédie que je faisais punir tout mes camarades à l'école. Si bien que les gens me détestaient et me traitaient de sorcière. Moi cela m'amusait, pour moi c'était un jeu. La vie était devenue un jeu, une comédie ou rien n'est important.

C'est pour ça que quand j'ai reçus ma lettre de Poudlard, j'avais pensé que c'était un jeu. Je devais faire semblant d'être une sorcière et tout le monde devrait me croire. J'avais pensé que se serait un jeu facile. Et pourtant, ma tante semblait inquiète. C'est seulement la veille de mon départ que j'ai su pourquoi. Elle n'avait jamais été inquiète pour moi, mais simplement pour ses problèmes de drogue. Ce soir là, un homme et venu, et comme à mon habitude je me suis cachée pour que ma tante fasse toute seule ses affaires, mais j'ai entendus un coup de feu. Et j'ai accourue, sortant de mon placard, pour voir du sang partout, et un homme debout avec un pistolet.

C'est là que sont apparues mes pouvoirs pour la première fois. C'est de là que j'ai su que ce n'était pas un jeu, que tout cela était réel. Que ma tante était une prostitué drogué et que l'homme en face de moi était un assassin. C'est là que j'ai compris que ma vie de princesse avait viré au cauchemar et que tout s'était écroulé. J'ai regardé ma tante, et l'homme allongé par terre. Il s'était évanouis suite à un coup à la tête. Je n'ai pas pleuér. J'ai juste eu le courage de prendre mes affaires, et de partir en me répétant sans cesse : " Tu es une femme forte et personne ne te marcheras dessus. Les gens sont des pions dont tu es le maître". Je suis arrivé seule devant le train alors que tout le monde était entouré de sa famille, je me suis installé seule, et je n'ai parlé à personne. Je ne voulais plus parler à personne.

Votre histoire après Poudlard

" Serpentard " ! Ce ne fut pas une surprise pour Romane. Elle esquissa même un petit sourire lors des acclamations de sa nouvelle maison, mais il disparut rapidement. Elle s'assit autour de la table où elle mangerait pour les sept années à venir et ne prêta aucune attention aux élèves qui la félicitaient et lui souhaitaient la bienvenue. Elle ne leur prêta même pas un regard, et attendit sagement la fin de la répartition.

Romane adorait ses cours, elle y allait heureuse d'apprendre, et aimait s’entraîner le soir, pour assimiler plus facilement les sorts. Elle ne parlait cependant jamais, et passait son temps toute seule à s’entraîner et à apprendre. Jusqu'au jour, où dans la salle commune de Serpentard, un jeune homme se septième année vint lui parler. Il tenta d'engager la conversation, mais en vain puisque la jeune fille le snoba. Cela faisait rire Aleksanders qui s'amusait à essayer de mettre à bout sa nouvelle proie. Jusqu'à ce qu'elle utilise un sort pour le faire taire. Evidemment, étant beaucoup plus fort qu'elle, il pus facilement délié le sort. Contre toute attente, il se mit à rire et dit à la jeune fille :

- C'est donc là tout ce que tu as dans le ventre ? Tu veux être puissante petite, c'est ça ? Tu veux l'être plus que n'importe qui ? Alors parle. La puissance ce n'est pas dans les sorts qu'elle réside, mais dans ton réseau d'amis. A moins d'être exceptionnelle, ce qui n'est pas ton cas, tu ne feras pas long feu toute seule contre un millier de gens qui te haïssent.

Romane avait alors arrêter ce qu'elle faisait, et s'était retourné vers le jeune homme. Elle avait prit pour la première fois la parole avec un de ses camarades, et avait dit sèchement :

- Aleksanders, n'est-ce pas ? En septième année et qui a plus de filles à son tableau que de sorts maîtrisés. Oh ne fait pas cette tête offusqué, je sais bien qui tu es. N'est-ce pas ce que tu as toujours voulu ? Que ton nom soit connu ? Mais je vais te dire une chose, ce n'est pas parce que tu as tes amis que tu vas survivre contre un millier de gens qui te haïssent. Les amis sont lâches, et partent au premier problème. Dans la vie il ne faut savoir compter que sur soit même.

- Tu n'es qu'une enfant, petite, tu n'es rien ici. Alors même si tu compte sur toi même, cela ne te mènera pas loin. Mais si tu le désire, je peux t'apprendre des choses que les premières années ne peuvent connaitre.

- Pourquoi ferais-tu cela ? dit-elle froidement.

- Parce que si un jour je dois me battre contre un millier de personne qui me haïssent, je veux avoir avec moi des gens puissants. C'est ça que tu veux, être puissante, non ?

Romane avide de puissance, avait accepté non sans condition. Elle avait fait promettre à Alek de ne pas faire des centaines et des centaines de contraintes socials, sans quoi le marché ne tiendrait plus. Et alors, jusqu'à la fin de l'année, les deux jeunes gens passèrent tout leurs temps ensemble. Alek, avait alors perdu tout ses amis auquel il tenait tant. Et Romane avait finit par apprendre beaucoup de chose.

Un soir ils avaient parlé de leurs avenir. De la vie dans les années à venir. La fin d'année était très proche, et les deux amis devraient se séparer. Alek avait confié a Romane ses désirs pour le futur, la façon dont il se voyait diriger sa vie. Il lui avait même promit de lui écrire souvent, mais Romane lui avait dit que cela ne servirait a rien. Qu'elle ne répondrait a aucune de ses lettres. Alek avait alors demandé pourquoi, mais la jeune fille s'était tue. Alek s'était levé et avait regarder la vue du haut de la tour d'astronomie. Et il avait prit la parole :

- Tu n'as jamais demandé pourquoi j'avais accepté ce marché avec toi. Pourtant tu savais que je n'avais rien à gagner. Mais tu as eu raison, cela ne sert a rien d'avoir un millier d'amis si ils fuient au premier problème. Et ce jour là, j'ai eu envie de devenir comme toi. Sans coeur, froide, sans pitié. Quelqu'un qui n'a pas honte d'assumer ce qu'il pense. Et je pense que tu m'as beaucoup appris. Alors je vais t'écrire, dés que j'en aurait l'occasion, parce que je suis certain que même si tu n'y répond pas, tu les liras. Tu es beaucoup trop curieuse pour ne pas lire ma vie palpitante, ria-t-il, et je pense que je te les enverrais égoïstement. Parce que chaque fois que je pense à toi Romane, je me dis qu'il faut que je soit dur, que je soit grand. Tu m'as rendu plus fort. C'était ça notre marché, c'était donnant-donnant. Et maintenant, il prend fin. Je te souhaite de devenir puissante Romane.

Alek avait déposé un baiser sur le front de son amie, et était partit. Elle ne l'a pas retenu et ne l'a pas revu avant le départ du train. Et encore ce jour là, ils ne s'étaient pas parlés. Elle lui avait juste sourit. C'était la première fois qu'elle le faisait depuis l'épisode du choixpeau.

La deuxième année de Romane ne commença que le jour des premiers Duels. Les professeurs les avaient réunis pour qu'ils s'essayent à ce que tout bon sorcier doit maîtriser. De la maison Serpentard, Romane fut la troisième à passer. Un peu hésitante, elle laissa son adversaire, une fille de Serdaigle, attaquer en premier. Elle su parer l'attaque et en relancer une aussitôt. Le problème est qu'elle avait lancé un sort qu'Alek lui avait apprit et qui n'était pas du tout d'un niveau de deuxième année.

Romane fut convoquée dans le bureau du directeur de sa maison. Il lui demanda où elle avait appris un sort qui ne devrait pas être en Possession d'une deuxième année. Alors, pour sa survit, Romane expliqua les cours d'Aleksanders en omettant tout les sorts plus puissant que celui-ci. Le directeur fut soulagé d'ailleurs, qu'il n'y ait pas de sort plus puissant que celui que Romane avait oser utiliser devant tout le monde.

Elle passa toute son année à être surveillé de prêt, ce qui avait tendance à l'agacer. Elle avait l'impression d'être suivit, et que son courrier soit épié. Et comme elle avait peur qu'Aleksanders, ignorant, les informes de choses qu'elle avait mit du temps à cacher, elle du user d'un plan. Durant deux mois, elle se rapprocha d'une fille de la maison Gryffondor, que personne ne suspecterait d'activités illicites. Et un soir, elle lui demanda si elle pouvait envoyé un message avec sa chouette. Elle trouva une excuse idiote, et sa proie la cru sans concession.

"Je ne t'oublis pas Alek, mais fait attention, ils savent pour nos cours et ils n'ont pas l'air très content. Ne m’envoie plus de lettre avant cet été."

Quand Romane réalisa que c'était la première fois qu'elle envoyait une lettre à Aleksanders, elle se demanda jusqu'à quel point elle pouvait renier ses principes pour accumuler de la puissance ? La réponse ne lui plaisant pas beaucoup, elle laissa tomber cette question dans un coin de sa tête.

L'été suivant, elle reçut à nouveau des lettres d'Aleksanders qui lui racontait sa vie palpitante. Mais ce fut aussi un été d'horreur car elle apprit que son père avait un cancer. Il n'y avait aucun moyen pour lui de s'en sortir, et Romane passa ses deux mois à son chevet. Ce fut deux mois horriblement long, car les seuls mots qu'il lui adressait étaient des injures. Il haïssait Romane et ses pouvoirs. Il la haïssait si fort que sa propre fille ne vit pas que cela provenait de sa jalousie.

En ayant assez d'entendre son père se plaindre, Romane partit mit août dans un hôtel de Londres, et ne revit plus jamais son père. Quand elle eut été dans le train en direction de sa troisième année, les cheveux teintés de rouge, elle inscrivit sur un bout de papier : "C'est en voyant que même la peine et la haine de mon père ne m'atteignait plus, que j'ai compris que la plus belle partie de moi s'était définitivement éteint".

La jeune fille de Serdaigle, croyant surement être encore son amie vint la serrer dans ses bras à peine avait-elle posé ses affaires à Poudlard. Romane ne la repoussa pas. Après la perte de sa tante et son père, elle pensa qu'avoir une amie ne lui ferait pas de mal. Même si elles avaient une relation différente des amies générales.

La première moitié de l'année, Romane resta avec son amie et continua cependant à s’entraîner. Les profs avaient cessé de la surveiller. Mais elle ne s'essaya pas à tenter Alek de lui renvoyé des messages.

Romane continua de faire son associable avec tout le monde et à observer le moindre de leurs gestes. Quand au milieu de l'année elle eut un déclic. C'était en observant des Gryffondors qu'elle avait constaté que les gens puissant étaient les gens aimés. Désireuse de toutes les puissances, elle se mit en quête d'être crainte, car s'était la seule chose qu'elle réussirait à merveille.

Les résultats ne se firent pas attendre. Les gens avaient peur de Romane, et cela lui faisait plaisir. Et elle s'amusa à martyriser toutes les personnes qu'elle voyait, sauf quelque uns, jusqu'à la fin de sa quatrième année.

Quand Romane entra en cinquième année, elle ne reçut plus de lettre de Alek. Perturbée, elle lui envoya un hibou pour lui en demander la raison. Ce dernier lui donna rendez-vous à pré-au-lard. Elle le revit pour la première fois depuis trois longues années. Il n'avait presque pas changé, il avait les traits un peu plus marqués, mais rien d'essentiel. Quand elle le vit, elle ne put s'empêcher de sourire. Mais il ne lui rendit pas son sourire. Il la dévisagea et lui dit froidement :

- Alors comme ça, il parait que tu es la brute de Poudlard, qu'il faut toujours éviter de te croiser ? On m'a dit que tu passais plus de temps à martyriser les gens qu'à étudier. Où est la fille qui était avide de pouvoir ?

- Si ils me craignent, je suis puissante.

- Tu veux savoir, je t'admirais y'à quatre ans. Je t'admirais d'être celle que tu es. De te foutre du regard des autres pour être puissante. Mais là, t'es devenu comme tout les autres. Je te croyais au dessus de cela.

Sans même lui adresser un regard, Alek partit. Romane ne dormit pas cette nuit là, elle était trop occupée à réfléchir à ce qu'il lui avait dis. Le lendemain, elle ne parla à personne et passa sa journée à la bibliothèque pour étudier. Et la semaine qui suivit elle continua. Alek avait raison, elle désirait le pouvoir. Elle passa, jusqu'à noël son temps à étudier. Puis elle retourna voir certaine de ses amies. Elle s'excusa, et retourna étudier.

Dans sa maison, certain de plaignirent de sa "non méchanceté" et désiraient des explications. Certains de ses camarades devinrent violent. Alors Romane usa de sortilèges très puissant qu'Alek lui avait appris l'été dernier. C'est ainsi que Romane gagna son respect dans sa maison. Elle continua sa vie, mêlant le pouvoir et ses deux ou trois amies. Cela n'empêchaient pas les premières année de se faire peur entre eux en racontant des histoires sur elle, ou les élèves de la détester pour ces années de terreurs.

Romane se fichait des gens. Elle se fichait du monde. Elle voulait devenir la sorcière la plus puissante. Elle voulait dépasser "vous savez qui". Elle voulait régner sur le monde.

Aleks, durant l'été recommença à lui envoyer des lettres.

Méfiante, vicieuse, intelligente, empathique, honnête, froide,

Physiquement, je suis...

Faites la description physique de votre personnage.
Je mesure un peu plus d'un mètre soixante. Très loin d'avoir la taille mannequin, je me suffit de mes formes qui ne m'ont jamais complexé. Sur mon ventre, suite à une opération subit dans ma jeunesse, j'ai une cicatrice horizontale que je n'aime pas. Je ne me met jamais en bikini pour cette raison, ou quand bien même un tee-shirt qui s'arrête à la poitrine.J'ai les cheveux bordeaux, ma couleur préféré, depuis ma troisième année ou je les ais teint. Ça n'est pas très commun, mais c'est ce que j'adore. C'est sans doute pour la même raison que je me dessine au crayon noir, un point à chaque extrémité de l'oeil, déjà contourné d'un noir intense. Cela fait ressortir le bleu turquoise que je tient de ma mère. Je met souvent du rouge à lèvre, parce que mes lèvres pulpeuse sont un de mes atouts.

Quand je ne porte pas l'uniforme obligatoire, j'aime mettre des robes unis, de couleur sombre, avec une veste en cuir et des talons. Dans ces moments là je rajoute souvent un collant car j'ai la fâcheuse habitude de m'écorcher les genoux. Je lâche souvent mes longs cheveux lisse, parce que je n'aime pas que mon visage soit en avant. Sans doute est-ce la raison qui me pousse depuis ma deuxième année à avoir une mèche qui me couvre la totalité de mon front. Ma peau blafarde, donne un côté encore plus terrifiant au personnage que j'ai toujours essayé de crée. C'était ma façon d'être unique, car je détestais le fait de porter un uniforme, d'être la copie conforme de millier d'autres personne. Même si, je portais fièrement les couleurs de ma maison, qui ne m'allaient guère, mais qui m'avaient toujours rendu fière.

Moralement, je suis...

Faites la description du caractère de votre personnage.
On dit souvent que le pire, ce n'est pas de mourir, mais c'est ce qui meurt à l'intérieur de nous alors qu'on est en vie. C'est de perdre l'espoir, l'envie de rire, de sourire, ou la futilité de croire que le bonheur est la clef de la vie. Quand on commence à se réveiller un matin sans même avoir l'envie de se lever, c'est là qu'on se rend compte que quelque chose a changé. Et c'est ainsi que je vis. Je ne dialogue que rarement avec d'autre personne, car cela serait futile et inutile de tisser un quelconque lien avec une personne dont je me fiche. Je ne veux pas qu'on me comprenne, ou qu'on me connaisse. Je ne veux même pas qu'on me plaigne ou qu'on m'envie. Je veux juste apprendre. Apprendre à devenir forte, à devenir une grande sorcière, puissante. Je suis avide de connaitre des choses que les gens ignorent. C'est pour ça que je passe mon temps a les observer. Je les envies parfois, toutes ces personnes autour de moi qui ressentent des choses dont j'ai oublié le goût. Et puis je me rappelle la souffrance, et le plaisir que je prend quand je vois la vie arracher à tout ces gens quelque chose qui leurs est chère. J'adore quand ils viennent me parler et qu'ils pensent pouvoir me sauver. Je ne suis pas désireuse d'être sauvé, non loin de là. Je n'ai que très peu d'amis, et rare sont les gens qui connaissent mon nom. Cela me plait, savoir être discrète. C'est mieux pour blesser les gens. Tout le monde sait que je suis méchante, sans pitié, et que je ne regrette presque jamais ce que je fais. Les premières années de ma maison détourne le regard sur mon passage, et ça me donne comme un sentiment de puissance. Je suis crainte, parce que je suis différente. Et j'adore cette différence, c'est pour ça que j'aime me renseigner sur la vie des moldus. Je suis passionné de littérature et de philosophie. Connaitre le monde, connaitre les "pourquoi" des "comment", oui, j'estime que le savoir, c'est le pouvoir. Et je suis prête à tout pour devenir puissante, peu m'importe ce que j'ai à perdre. Nul ne peut me faire du mal, alors qu'est-ce que cela peut me faire d'en causer ?

♦ Prénom ou Pseudo :
♦ Âge : 16 ans
♦ Expérience en rp : Ca va !
♦ Tu as lu le règlement ? Oui
♦ Code : [validé par D.]
♦ Double(s) compte(s) ? non
♦ Comment as-tu connus le forum ? Une amie (Elina Ashfort)
♦ Que penses-tu du forum ? Je sens que je vais bien aimé.
♦ Quelque chose à dire ? Seul le pouvoir vaincra !

Questionnaire de répartition

Spoiler:

Dernière édition par Romane Lawson le Sam 20 Avr - 22:45, édité 6 fois

Romane Lawson: Messages : 47
Date d'inscription : 19/04/2013
Age : 27