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Leroy, pour vous servir
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Dorcas Meadowes
Leroy de Louvière
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Leroy, pour vous servir
Bonsoir! =D
J'espère que je ne m'emmêlerais pas trop les pinceaux dans les codes ^^"
En parcourant le forum, j'ai cru reconnaître des personnages déjà croisés ailleurs Le monde est petit!
"Moi, c'est moralement que j'ai mes élégances" -Cyrano, E. Rostand
Trop exigeant ♦ Susceptible ♦ Sincère ♦ Intelligent, avide d'apprendre ♦ Fier
J'espère que je ne m'emmêlerais pas trop les pinceaux dans les codes ^^"
En parcourant le forum, j'ai cru reconnaître des personnages déjà croisés ailleurs Le monde est petit!
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» La première chose que tu fais en te levant le matin c’est quoi? Je jette un coup d'oeil à mon réveil, en déplorant qu'il soit si tôt. Puis regard par la fenêtre pour voir si le temps a des chances de s'améliorer. Etrangement, c'est le plus souvent non. Vive l'Angleterre! » Si je te dit que j’aime pas le quidditch tu répond quoi? Ecoute, tant mieux pour toi, mais pour dire toute la vérité, je n'en ai pas grand chose à faire. » Entre tes parents et toi c’est l’amour fou? Je constate que vous n'avez jamais rencontré mes parents...Je ne vis plus chez mon père (ma mère est à l'écart de tout ça) depuis deux ans; on a eu quelques désaccords d'ordre... idéologique. Depuis, j'espère ne plus jamais le croiser. » La crise d’adolescence elle est passé chez toi ou pas? Tu l’a eu au moins? Et sinon c’était comment? Je ne suis pas vraiment certain de l'avoir eue...quoique, certains disent que mon sale caractère pourrait en être une manifestation. Aucune idée, à vrai dire, et je ne me torture pas l'esprit là-dessus. » Tu te considère comme un(e) rebelle? Ou un enfant sage? Eh bien, pour mon père, je suis le pire des rebelles, il aimerait bien me faire "rentrer dans le rang" selon son expression. Sinon, non, je ne passe pas mon temps à défier l'autorité. » Ton âme sœur, il est comment dans tes rêves? Je n'y ai jamais vraiment réfléchi...des envies, des espérances, mais rien de précis; je n'ai pas envie de me créer un modèle et de passer ma vie à le chercher. |
"Moi, c'est moralement que j'ai mes élégances" -Cyrano, E. Rostand
Je suis donc né en France, le 27 août 1960, dans la très noble et très prestigieuse famille de Louvière –l’expression est de mon père, mais ça vous montre tout de suite le cadre. Vieille famille, château ancestral, légendes qui parent l’histoire familiale de sang et d’or. Surtout de sang en fait. Mes ancêtres avaient mauvaise réputation (beaucoup ont été des Animagi, capable de se transformer en loup –d’où notre nom de famille d’ailleurs. La bête du Gévaudan, ça vous dit quelque chose ? Le château était une sorte de tanière de loups pour les Moldus). Aujourd’hui encore, le château garde une allure de lieu maudit pour les Moldus des environs. Les Louvière sont tout particulièrement attachés à la pureté de leur sang. Mon père, le chef de famille, a d’ailleurs des idées plus qu’extrêmes sur le sujet : il est foncièrement anti-moldu, exècre les nés-moldus et affirme que les sorciers devraient vivre au grand jour, user pleinement de leurs pouvoirs plutôt que de se cacher. Pour lui, nous devrions dominer le monde, nous sommes faits pour cela. Effrayant, n’est-ce pas ? Et dire que je l’ai suivi un temps… Enfin, je n’en suis pas encore là. Maman, de son côté, est un peu…folle, je n’ai jamais eu d’autre mot pour décrire son état. Elle vit dans ses mondes inventés, discute avec les créatures qu’elle pense rencontrer, en décalage complet avec le monde réel. Elle rit beaucoup, envahie d’une gaieté que personne ne peut comprendre. Quand j’étais petit, elle voulait m’entraîner dans ses univers de contes. S’il y a une chose dont je suis certain, c’est que ce n’est pas l’amour qui a uni mes parents. Les conventions, sûrement, l’union de deux noms anciens –et purs, surtout !-, de deux fortunes loin d’être négligeables…
Mon père m’a élevé de manière très stricte. Très puissant, ambitieux, il voulait me construire à son image ; j’étais son unique héritier –je le suis encore, dommage pour lui- : il fallait que je sois capable, un jour, de prendre les rênes de la famille, de la mener sur le chemin trouble qu’elle suit depuis des siècles. Il me fallait donc tenir mon rang, que je sois à l’aise lors des nombreuses réceptions qu’il donnait, et que je développe mes pouvoirs. Chaque promenade, chaque jeu devenait une sorte de mise à l’épreuve avec lui. Il voulait me forger le caractère, me débarrasser d’une certaine réserve, que je tenais de ma mère, selon lui. J’ai donc commencé très tôt à apprendre la magie, tant sur le plan pratique que théorique ; il me laissait utiliser sa baguette pour les sorts, puisque la Trace est incapable de distinguer le jeteur de sortilèges. Au château de Louvière, nous disposons d’une bibliothèque immense, qui renferme des milliers d’ouvrages, certains étant âgés de plusieurs siècles –de vraies pièces de collection- mais la plupart ne concernent pas franchement ce qu’on peut apprendre à l’école. Disons que la vieille magie n’est pas ce qui passionne le plus mon père. En plus d’apprendre les sortilèges pratiques de tous les jours, j’ai dû lire un grand nombre de ces ouvrages pour parfaire mes connaissances. Soyons francs, même si cette magie était tout sauf recommandable, j’étais passionné par tout ce que je pouvais apprendre, et la puissance que je découvrais dans les livres me fascinait. Cependant, cela n’a jamais paru suffisant aux yeux de mon père ; il m’en donnait toujours plus à faire. Selon lui, j’étais moins intelligent, moins ambitieux, moins fort, moins etc, que lui au même âge. Si je commettais trop d’erreurs, il entrait dans des colères monstrueuses…autant dire que je faisais tout pour les éviter. Je m’efforçais de lui plaire, de faire tout ce qu’il désirait pour m’attirer son respect. Enfant solitaire par ailleurs, je me réfugiais dans les livres pour en apprendre toujours plus.
A côté de cela, il m’a bien sûr formé à ses idées. A 7 ans, j’étais persuadé qu’il fallait nous débarrasser des Moldus, que les sorciers leur étaient réellement supérieurs et tout le discours qui va avec. J’étais par ailleurs très fier de mes pouvoirs, mes cousins peuvent en témoigner. Bref, il semblait que je dusse suivre la digne voie tracée par mon père. Cela se serait probablement passé si mon cousin, de quatre ans mon aîné (j’avais alors huit ans), ne m’avait plus ou moins sauvé.
C’était le dernier été que nous devions passer en France. Le ministère français avait eu vent des expériences tout sauf licites que menait mon père dans notre château, et envisageait de mener une enquête. C’est aussi à cette époque que le Seigneur des Ténèbres –enfin…Voldemort, plutôt- a commencé à faire parler de lui. Mon père, étant totalement d’accord avec lui sur le plan idéologique, décida de déménager en Angleterre, le temps que le ministère français se calme un peu.
Nous étions alors réunis à Louvière, comme chaque été. Il y avait les quatre frères et sœurs de mon père et mes cousins. Accompagné de trois d’entre eux, j’avais décidé de mener la vie dure aux adolescents moldus qui approchaient parfois de la limite magique du domaine, pour discuter ou fumer. En partant, je ne voulais pas donner l’impression d’abandonner le terrain et je voulais leur donner une bonne leçon, afin qu’ils ne reviennent plus jamais dans les parages. J’avais pris soin de prendre la baguette de mon père –elle marchait mieux que celle de maman pour ce genre de choses ; à l’époque, j’ignorais encore pourquoi.
Une fois mis au courant de mon projet, Ambroise, l’aîné de notre groupe, a catégoriquement refusé de participer, outré que j’ose m’en prendre à des Moldus ; je ne voyais pas le problème de mon côté. Il a alors affirmé que mon père me mentait sur beaucoup de choses, que je n’avais nul besoin de m’entraîner à la magie avant l’école. Furieux, je lui ai répondu qu’il était jaloux de moi, parce que j’étais l’héritier, que mes pouvoirs dépassaient les siens et que, de fait, j’hériterais du château et de la fortune. De toute façon, à mes yeux, il n’avait pas à discuter mes ordres puisqu’il devrait m’obéir plus tard –j’étais vraiment un sale gosse, quand j’y repense. Ambroise s’est moqué de moi, a renchéri sur les idées fausses que me donnait mon père. J’ai fini par lui tomber dessus, vraiment en colère. Nous nous sommes battus, ce qui a attiré mon père et celui d’Ambroise. J’ai raconté la vérité, tout en insinuant qu’Ambroise m’avait gravement insulté…que tout était de sa faute, en somme. Mon père l’a grondé, en lui ordonnant d’arrêter de me fausser les idées, avant de me réprimander pour m’être battu sans magie, à la façon d’un vulgaire Moldu. Ce n’était pas pour rien qu’il passait des heures à m’enseigner la manière de me servir de mes pouvoirs !
A l’écart, Ambroise m’a alors suggéré que je pourrais être quelqu’un de bien, si je voulais. J’ai cru qu’il plaisantait sur le moment. Mon père avait passé du temps à m’expliquer que justement, le bien et le mal n’avaient aucune valeur. Il s’agissait seulement de catégories qui ne faisaient que limiter la magie. Le pouvoir se situe bien au-delà de ces frontières simplistes, pour lui. Seul le pouvoir importait, ainsi que le savoir pour l’atteindre. J’ai traité Ambroise avec mépris sur le moment, mais je me suis ensuite interrogé sur ce qu’il pensait vraiment. Les paroles de mon père avaient toujours eu l’accent de la vérité à mes yeux, je ne comprenais pas qu’on puisse envisager le monde différemment. J’ai alors demandé à Ambroise ce que cela voulait dire, d’être quelqu’un de bien.
Nous n’avons pas eu le temps d’en discuter longtemps ; il devait repartir vite, mon père ne souhaitant pas qu’il demeure davantage au château. Il m’a donné de nombreux conseils par écrit, cependant, que je m’efforce de tenir…j’ai fini par reconnaître que c’était moi qui me trompais à propos des Moldus. Mon père a fini par réaliser que je changeais, que je ne le suivais plus autant qu’avant. Il a découvert ma correspondance avec Ambroise. Je ne l’avais jamais vu autant en colère.
Nous avons déménagé en Angleterre quelques mois plus tard. Je m’efforçais de répondre aux exigences de mon cousin, tout en me soumettant à l’entraînement de mon père, qui semblait déterminer à éliminer toute trace de faiblesse morale en moi. Vu la suite des évènements, il n’a jamais vraiment réussi. En Angleterre, j’ai décidé de changer de prénom, car le « Loriân » français se trouvait toujours transformé en « Laurianne », ou abrégé en « Ryan ». Insupportable. Ce changement d’identité n’est évident pas allé sans heurts du côté paternel.
Dans les deux ans qui ont précédé mon entrée à Poudlard, j’ai maîtrisé de nouveaux sorts. Mon père m’a également initié à l’Occlumancie et à la Legilimancie et je peux me vanter de m’en tirer plutôt bien, même si je suis loin de l’égaler là aussi. Ca me gêne quand même un peu de pouvoir entrer ainsi dans l’esprit de quelqu’un pour déchiffrer ses souvenirs…
Mon père a finalement décidé de m’inscrire à Poudlard, après avoir hésité avec l’Académie de Beauxbâtons où il avait lui-même étudié. Le fait que nous fréquentions des familles proches de Voldemort a emporté sa décision, il était en passe de devenir un Mangemort (ce qui s’est réalisé depuis) : il espérait qu’à Poudlard, je me ferais des amis parmi leurs enfants et que je reviendrais définitivement de son côté. Il souhaitait par ailleurs que mon envie d'apprendre, mon intérêt pour le pouvoir et sa recherche me feraient également tourner du mauvais côté.
Mon père m’a élevé de manière très stricte. Très puissant, ambitieux, il voulait me construire à son image ; j’étais son unique héritier –je le suis encore, dommage pour lui- : il fallait que je sois capable, un jour, de prendre les rênes de la famille, de la mener sur le chemin trouble qu’elle suit depuis des siècles. Il me fallait donc tenir mon rang, que je sois à l’aise lors des nombreuses réceptions qu’il donnait, et que je développe mes pouvoirs. Chaque promenade, chaque jeu devenait une sorte de mise à l’épreuve avec lui. Il voulait me forger le caractère, me débarrasser d’une certaine réserve, que je tenais de ma mère, selon lui. J’ai donc commencé très tôt à apprendre la magie, tant sur le plan pratique que théorique ; il me laissait utiliser sa baguette pour les sorts, puisque la Trace est incapable de distinguer le jeteur de sortilèges. Au château de Louvière, nous disposons d’une bibliothèque immense, qui renferme des milliers d’ouvrages, certains étant âgés de plusieurs siècles –de vraies pièces de collection- mais la plupart ne concernent pas franchement ce qu’on peut apprendre à l’école. Disons que la vieille magie n’est pas ce qui passionne le plus mon père. En plus d’apprendre les sortilèges pratiques de tous les jours, j’ai dû lire un grand nombre de ces ouvrages pour parfaire mes connaissances. Soyons francs, même si cette magie était tout sauf recommandable, j’étais passionné par tout ce que je pouvais apprendre, et la puissance que je découvrais dans les livres me fascinait. Cependant, cela n’a jamais paru suffisant aux yeux de mon père ; il m’en donnait toujours plus à faire. Selon lui, j’étais moins intelligent, moins ambitieux, moins fort, moins etc, que lui au même âge. Si je commettais trop d’erreurs, il entrait dans des colères monstrueuses…autant dire que je faisais tout pour les éviter. Je m’efforçais de lui plaire, de faire tout ce qu’il désirait pour m’attirer son respect. Enfant solitaire par ailleurs, je me réfugiais dans les livres pour en apprendre toujours plus.
A côté de cela, il m’a bien sûr formé à ses idées. A 7 ans, j’étais persuadé qu’il fallait nous débarrasser des Moldus, que les sorciers leur étaient réellement supérieurs et tout le discours qui va avec. J’étais par ailleurs très fier de mes pouvoirs, mes cousins peuvent en témoigner. Bref, il semblait que je dusse suivre la digne voie tracée par mon père. Cela se serait probablement passé si mon cousin, de quatre ans mon aîné (j’avais alors huit ans), ne m’avait plus ou moins sauvé.
C’était le dernier été que nous devions passer en France. Le ministère français avait eu vent des expériences tout sauf licites que menait mon père dans notre château, et envisageait de mener une enquête. C’est aussi à cette époque que le Seigneur des Ténèbres –enfin…Voldemort, plutôt- a commencé à faire parler de lui. Mon père, étant totalement d’accord avec lui sur le plan idéologique, décida de déménager en Angleterre, le temps que le ministère français se calme un peu.
Nous étions alors réunis à Louvière, comme chaque été. Il y avait les quatre frères et sœurs de mon père et mes cousins. Accompagné de trois d’entre eux, j’avais décidé de mener la vie dure aux adolescents moldus qui approchaient parfois de la limite magique du domaine, pour discuter ou fumer. En partant, je ne voulais pas donner l’impression d’abandonner le terrain et je voulais leur donner une bonne leçon, afin qu’ils ne reviennent plus jamais dans les parages. J’avais pris soin de prendre la baguette de mon père –elle marchait mieux que celle de maman pour ce genre de choses ; à l’époque, j’ignorais encore pourquoi.
Une fois mis au courant de mon projet, Ambroise, l’aîné de notre groupe, a catégoriquement refusé de participer, outré que j’ose m’en prendre à des Moldus ; je ne voyais pas le problème de mon côté. Il a alors affirmé que mon père me mentait sur beaucoup de choses, que je n’avais nul besoin de m’entraîner à la magie avant l’école. Furieux, je lui ai répondu qu’il était jaloux de moi, parce que j’étais l’héritier, que mes pouvoirs dépassaient les siens et que, de fait, j’hériterais du château et de la fortune. De toute façon, à mes yeux, il n’avait pas à discuter mes ordres puisqu’il devrait m’obéir plus tard –j’étais vraiment un sale gosse, quand j’y repense. Ambroise s’est moqué de moi, a renchéri sur les idées fausses que me donnait mon père. J’ai fini par lui tomber dessus, vraiment en colère. Nous nous sommes battus, ce qui a attiré mon père et celui d’Ambroise. J’ai raconté la vérité, tout en insinuant qu’Ambroise m’avait gravement insulté…que tout était de sa faute, en somme. Mon père l’a grondé, en lui ordonnant d’arrêter de me fausser les idées, avant de me réprimander pour m’être battu sans magie, à la façon d’un vulgaire Moldu. Ce n’était pas pour rien qu’il passait des heures à m’enseigner la manière de me servir de mes pouvoirs !
A l’écart, Ambroise m’a alors suggéré que je pourrais être quelqu’un de bien, si je voulais. J’ai cru qu’il plaisantait sur le moment. Mon père avait passé du temps à m’expliquer que justement, le bien et le mal n’avaient aucune valeur. Il s’agissait seulement de catégories qui ne faisaient que limiter la magie. Le pouvoir se situe bien au-delà de ces frontières simplistes, pour lui. Seul le pouvoir importait, ainsi que le savoir pour l’atteindre. J’ai traité Ambroise avec mépris sur le moment, mais je me suis ensuite interrogé sur ce qu’il pensait vraiment. Les paroles de mon père avaient toujours eu l’accent de la vérité à mes yeux, je ne comprenais pas qu’on puisse envisager le monde différemment. J’ai alors demandé à Ambroise ce que cela voulait dire, d’être quelqu’un de bien.
Nous n’avons pas eu le temps d’en discuter longtemps ; il devait repartir vite, mon père ne souhaitant pas qu’il demeure davantage au château. Il m’a donné de nombreux conseils par écrit, cependant, que je m’efforce de tenir…j’ai fini par reconnaître que c’était moi qui me trompais à propos des Moldus. Mon père a fini par réaliser que je changeais, que je ne le suivais plus autant qu’avant. Il a découvert ma correspondance avec Ambroise. Je ne l’avais jamais vu autant en colère.
Nous avons déménagé en Angleterre quelques mois plus tard. Je m’efforçais de répondre aux exigences de mon cousin, tout en me soumettant à l’entraînement de mon père, qui semblait déterminer à éliminer toute trace de faiblesse morale en moi. Vu la suite des évènements, il n’a jamais vraiment réussi. En Angleterre, j’ai décidé de changer de prénom, car le « Loriân » français se trouvait toujours transformé en « Laurianne », ou abrégé en « Ryan ». Insupportable. Ce changement d’identité n’est évident pas allé sans heurts du côté paternel.
Dans les deux ans qui ont précédé mon entrée à Poudlard, j’ai maîtrisé de nouveaux sorts. Mon père m’a également initié à l’Occlumancie et à la Legilimancie et je peux me vanter de m’en tirer plutôt bien, même si je suis loin de l’égaler là aussi. Ca me gêne quand même un peu de pouvoir entrer ainsi dans l’esprit de quelqu’un pour déchiffrer ses souvenirs…
Mon père a finalement décidé de m’inscrire à Poudlard, après avoir hésité avec l’Académie de Beauxbâtons où il avait lui-même étudié. Le fait que nous fréquentions des familles proches de Voldemort a emporté sa décision, il était en passe de devenir un Mangemort (ce qui s’est réalisé depuis) : il espérait qu’à Poudlard, je me ferais des amis parmi leurs enfants et que je reviendrais définitivement de son côté. Il souhaitait par ailleurs que mon envie d'apprendre, mon intérêt pour le pouvoir et sa recherche me feraient également tourner du mauvais côté.
Après avoir reçu ma lettre, j’ai attendu mon entrée à Poudlard avec impatience. C’était l’occasion d’apprendre de nouvelles choses, de rencontrer d’autres sorciers qui ne seraient pas de mon milieu, et surtout de m’éloigner davantage de mon père…peut-être d’échapper un peu plus à son emprise. Le jour du départ, j’étais fier et inquiet à la fois en me mettant en route, avec ma malle et mon petit hibou, baptisé Mine de Rien.
L’arrivée à Poudlard fut tout simplement magique –un mot trop faible pour décrire ce que j’ai ressenti sur le moment, étant donné la banalité du mot dans notre monde. Un véritable enchantement. Le Poudlard Express et son quai si particulier et surtout, surtout la traversée du lac et la découverte progressive du château.
Flash-back:
La première année s’est plutôt bien déroulée, même si mon père a été un peu déçu de ma Répartition. Il a continué à m’entraîner pendant les vacances, au point que j’ai fini par considérer les séjours au château comme des moments de détente prolongés. Résultats brillants, naturellement, aux examens de fin d’année ainsi qu’à ceux qui ont suivi.
La situation a commencé à se dégrader au cours de la deuxième année, d’un point de vue familial. Mon père se montrait toujours aussi dur et ma mère, toujours ailleurs, jusqu’à ce que sa situation empire.
Flashback:
Mon père a continué à ignorer ma mère, il ne venait plus guère la voir. J’ai fait ce que j’ai pu pour m’occuper d’elle pendant mes séjours dans notre manoir. Elle s’éveillait souvent la nuit, à cause de cauchemars qu’elle faisait, et j’étais le seul à pouvoir la calmer. A chaque retour à Poudlard, les autres me trouvaient l’air fatigué, mais j’éludais les questions en prétextant avoir passé une bonne partie de mon temps à faire la fête. Au château, je continuais de lui écrire même si je savais désormais que cela ne servait à rien. J’espérais qu’un jour elle me répondrait… J’ai attendu jusqu’à la quatrième année, avant d’être obligé de cesser toute correspondance.
Jusque là, tout avait continué à bien se dérouler. Les cours ne présentaient aucune difficulté pour moi, je regrettais seulement que l’étude de la magie noire ne fût pas au programme comme à Durmstrang. On a parfois jugé que j’adoptais une attitude supérieure envers les autres parce que j’en savais plus ; ce n’est pas tout à fait vrai. C’est juste que j’ai été parfois étonné qu’on apprenne des choses qui me semblaient être la base et que je maîtrisais depuis longtemps, d’où parfois la manifestation d’une certaine impatience devant la lenteur de l’apprentissage.
Pour compléter mes connaissances, je passais de longs moments à la bibliothèque à chercher des livres sur tous les sujets qui pouvaient m’intéresser…je crains que ça ne m’ait un peu coupé des autres élèves. Je préférais apprendre tout ce que je pouvais, accroître encore mes connaissances…la magie quelle que soit sa forme, sa nature m’a toujours fasciné et je voulais tout connaître d’elle. J’étais avide de savoir. Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’entrer de nuit –je dors mal, j’ai souvent des insomnies, alors autant éviter de perdre des heures à ne rien faire- dans la Réserve pour y parcourir des livres interdits…et follement intéressants.
J’ai continué ainsi jusqu’à la quatrième année. Mes relations avec mon père ont continué de se dégrader ; je savais qu’il se rapprochait toujours plus des Mangemorts, qu’il les voyait lors de réunions, qu’il souhaitait m’y entraîner aussi mais j’espérais encore qu’il ne franchirait pas le pas. Lourde erreur. Ma position a parfois été ambivalente sur le sujet, j’avoue que les pouvoirs de Voldemort me tentaient, la reconnaissance qu’il pouvait m’accorder, aussi. Mais d’un autre côté, je ne voulais pas ruiner tous les efforts que je faisais pour devenir quelqu’un de bien. Verser dans le meurtre gratuit, merci bien. J’ai fini par me positionner fermement contre les Mangemorts, ce qui a particulièrement déplu à mon père, qui a alors tenté de me débarrasser de toute « faiblesse morale », comme il disait. On aurait peut-être pu tenir ainsi jusqu’à la septième, jusqu’à ce que j’atteigne ma majorité. J’en doute cependant.
Un soir, j’ai eu le malheur d’entendre une de leurs conversations de Mangemorts pendant les vacances de Noël, au cours de ma quatrième année. Mon père m’a surpris en train de les écouter et a commencé à me reprocher mon comportement indigne, selon lui. Je me suis emporté à mon tour : comment pouvait-il me parler de la sorte alors qu’il manigançait des attaques contre des Moldus avec les Mangemorts ? Il a voulu me forcer à me soumettre, à lui obéir. Comme nous sommes aussi sanguins l’un que l’autre, l’affaire a vite dégénéré en duel magique. Chouette façon de passer Noël en famille, n’est-ce pas ?
Disons-le franchement, ça ne s’est pas très bien passé pour moi. Malgré tout ce que j’avais appris, mon père me dominait encore largement. Et se prendre le Doloris à plusieurs reprises, lancé par son propre père, n’est pas une expérience que je recommande.
Je n’ai réussi à m’enfuir que de justesse. Gravement blessé au visage, j’ai trouvé refuge chez une famille d’un village voisin : j’avais lié connaissance avec un enfant moldu lors d’une promenade en première année. Sa mère était sorcière mais pas le reste de sa famille, ce qui me garantissait une certaine sécurité. J’espérais que la médecine moldue, dont j’ignorais tout, alliée aux pouvoirs de la mère de mon camarade, serait assez efficace pour soigner le maléfice de mon père. En réalité, il aurait fallu les guérisseurs de Ste Mangouste. Ils ont fait ce qu’ils ont pu…j’en garde une belle cicatrice.
J’ai néanmoins pu récupérer une partie de mes affaires : désobéissant sans doute aux ordres paternels, notre elfe de maison a déposé, une nuit, ma malle de Poudlard, bourrée de tout ce qu’elle avait pu y faire tenir, avec, à côté, un gros sac de Gallions qui me permettrait de m’en sortir un certain temps.
Le temps de guérir, j’avais manqué la rentrée des vacances à Poudlard. En arrivant, je craignais les questions des autres élèves, qui n’ont pas manqué de pleuvoir. J’ai tout éludé. Aucune envie de leur révéler ce qui m’était arrivé. C’est ma vie privée et cela ne regarde que moi.
Pour autant que j’en sache, mon père est toujours à ma recherche…enfin, il sait où je passe les trois quarts de l’année mais je suis hors d’atteinte. Il me suffit juste de prendre certaines précautions pendant les vacances d’été, que je passe dans le monde des Moldus. Heureusement que la magie permet de faire apparaître des billets ! Cela ne fonctionne pas avec l’argent magique, cependant, et il est aussi impossible de changer du faux argent moldu en Gallions, les gobelins de Gringotts se rendent aussitôt compte de la fraude. Dommage. Mes réserves ne sont pas inépuisables et il faut que je maintienne à tout prix les apparences aux yeux des autres.
Peu de choses à dire sinon, sur la cinquième année. J’ai continué à lire autant qu’avant, en évitant désormais les livres qui traitaient explicitement de magie noire : je ne veux plus avoir à faire à elle. Ce n’est pas sur ce terrain que je battrai mon père, si nous devons nous rencontrer un jour ; j’étudie donc plutôt les hautes arcanes de la magie blanche et la vieille magie. Les BUSEs se sont très bien passés, les résultats ont été à la hauteur de ce que j’attendais. Cela me permet maintenant de poursuivre les matières qui me permettront de devenir Auror, un choix arrêté depuis deux ans. Je n’ai qu’une envie : envoyer tous les Mangemorts à Azkaban.
L’arrivée à Poudlard fut tout simplement magique –un mot trop faible pour décrire ce que j’ai ressenti sur le moment, étant donné la banalité du mot dans notre monde. Un véritable enchantement. Le Poudlard Express et son quai si particulier et surtout, surtout la traversée du lac et la découverte progressive du château.
Flash-back:
- Spoiler:
- Poudlard, enfin ! Il avait tellement entendu parler de ce château qu’il s’était créé une sorte d’image enchanteresse et idéale. En pensée, il voyait déjà les couloirs et les dortoirs, les hautes tours d’où regarder le ciel et les multiples souterrains à explorer. Son père lui avait bien rappelé l’importance de son rang qu’il devait tenir en toutes circonstances mais pour l’instant, il s’en moquait. Il avait onze ans et le monde s’ouvrait devant lui ! Un monde de magie et de splendeurs dont il entendait bien profiter, avec les amis qu’il ne manquerait pas de se faire. Le choc du déménagement s’était un peu atténué et Leroy envisageait l’année à venir sous un jour plus calme. Ses amis français lui manquaient toujours autant mais ce n’était pas la peine de s’enfermer dans la solitude, n’est-ce pas ?
Le train siffla en entrant dans la gare et les élèves descendirent dans un brouhaha de cris et de rires, les capes virevoltant autour d’eux.
La première vision que Leroy eut du château en descendant du Poudlard Express combla toutes ses attentes. Poudlard se dressait en haut d’une éminence et tendait vers le ciel ses tours si nombreuses qu’il semblait tout hérissé. De la lumière apparaissait derrière les petits carreaux des fenêtres, créant un cadre féérique. Au premier regard, le jeune garçon tomba amoureux des vieilles pierres, noires à la lumière des étoiles. Il songeait déjà au récit qu’il ferait à sa mère dans une longue lettre. Elle serait sûrement capable d’apprécier la beauté sauvage du château, qui devait s’accorder à ses délires. Quant à son père, eh bien, Leroy se contenterait d’évoquer la Répartition…
Ce simple mot fit revenir le garçon sur terre. Il jeta un coup d’œil circonspect autour de lui. Ses futurs condisciples n’avaient pas l’air très rassuré et, paradoxalement, cela atténua sa propre anxiété. Il fallait qu’il se montre fort, toujours. Son père le lui avait dit, il devait montrer l’exemple en toutes circonstances. Leroy redressa le menton, affichant une sérénité qu’il ne parvenait pas à ressentir complètement.
Les première année étaient rassemblés dans le hall d’entrée tandis que les élèves plus âgés s’installaient sur les longs bancs devant les quatre tables. Leroy se demandait dans quelle maison il serait envoyé. Serpentard accordait toute l’importance nécessaire au sang, ce qui plairait à son père ; Serdaigle le faisait rêver par l’intelligence de ses élèves –c’était d’ailleurs le second choix paternel- et Gryffondor souriait à son cœur –là, il avait préféré ne pas même l’évoquer, de peur de déclencher une des colères dévastatrices dont son père avait le secret. Il n’avait guère de renseignements sur la quatrième maison et les rares personnes à lui en avoir parlé ne semblaient pas la tenir en haute estime. Le garçon haussa les épaules, il préférait attendre pour avoir son propre avis. Il espéra que le Choixpeau pouvait vraiment lire au fond des cœurs.
Tout à ses réflexions, le garçon n’avait pas entendu l’appel d’un professeur qui enjoignait aux jeunes élèves de s’avancer à leur tour dans la Grande Salle. La répartition allait commencer. Leroy entra d’un pas ferme, prêt à accepter son destin. Il n’eut pas longtemps à attendre, son nom se situant dans la première partie de l’alphabet.
- de Louvière, Leroy !
Sous le coup de l’émotion, le garçon ne réagit pas tout de suite, puis il s’avança et prit place sur le tabouret, posant le Choixpeau rapiécé sur sa tête d'une main qui ne tremblait -presque- pas.
Le Choixpeau mit un long moment avant de se décider, puis la déchirure sur son bord s’ouvrit largement :
-Serdaigle.
La première année s’est plutôt bien déroulée, même si mon père a été un peu déçu de ma Répartition. Il a continué à m’entraîner pendant les vacances, au point que j’ai fini par considérer les séjours au château comme des moments de détente prolongés. Résultats brillants, naturellement, aux examens de fin d’année ainsi qu’à ceux qui ont suivi.
La situation a commencé à se dégrader au cours de la deuxième année, d’un point de vue familial. Mon père se montrait toujours aussi dur et ma mère, toujours ailleurs, jusqu’à ce que sa situation empire.
Flashback:
- Spoiler:
- Son père et lui atteignirent bientôt les marches du majestueux perron et l'adulte le laissa à l’entrée pour retourner à ses affaires. L’elfe de maison venait de déposer sa lourde malle de Poudlard dans le hall. Le garçon revenait pour les vacances de Noël et, si la perspective n’avait rien d’enthousiasmant en soi –car elle annonçait plus de travail que durant les cours-, il était content de pouvoir revoir sa mère.
-Maman, cria-t-il en se ruant dans les escaliers. C’est moi, je suis de retour !
L’elfe tenta alors de l’arrêter mais elle n’était pas assez rapide pour suivre la course de son jeune maître et, lorsqu’elle transplana, il l’écarta d’un geste de sa route sans entendre ce qu’elle voulait lui dire.
Aussi prit-il le choc de plein fouet.
Il frappa à la porte et entra dans la chambre de sa mère sans attendre de réponse. Elle était bien là, debout devant les fenêtres, en train de regarder le parc.
-Maman, c’est Loriân, je suis là.
Elle se retourna et il fut surpris de voir son peu de réaction. Les fois précédentes, pourtant, elle l’avait bien accueilli, elle riait autant qu’avant. Toujours aussi innocente. Toujours aussi folle.
Elle se contenta de le regarder froidement et le jeune garçon arrêta sa course, stupéfait. Que se passait-il ?
-Qui êtes-vous ? demanda-t-elle. Pourquoi entrez-vous ainsi dans ma chambre ?
Le garçon se figea.
-Maman…c’est moi, Loriân. Votre fils !
-Allons, je n’ai pas l’âge d’être votre mère ! Regardez, mon Loriân est là, n’est-il pas beau, mon gentil petit garçon ?
Elle lui désignait un berceau, son ancien berceau, normalement remisé au grenier. Leroy s’approcha, jeta un coup d’œil. Le petit lit abritait une poupée vêtue de ses anciens habits. Avant qu’il n’ait pu dire un mot, sa mère l’écarta brusquement, enleva le poupon et se mit à le bercer en chantonnant. Elle ne regardait que le jouet et l’avait complètement oublié.
Leroy sortit de la chambre sur la pointe des pieds, les yeux secs, les poings serrés, aussi pâle qu’un fantôme. Le lendemain, il avait pris sa décision : puisque sa mère ne pouvait plus s’occuper de lui, c’était à lui de prendre soin d’elle. Il était devenu trop grand pour son monde enfantin, avait-il conclu de son rejet, il devait donc jouer, lui, à l’adulte. D’un jour sur l’autre, elle ne le reconnaissait pas. Leroy endossait tous les rôles : cousin, ami, voisin, simple relation, parent. Bien qu’elle appréciât ses visites, jamais elle ne vit la différence.
Mon père a continué à ignorer ma mère, il ne venait plus guère la voir. J’ai fait ce que j’ai pu pour m’occuper d’elle pendant mes séjours dans notre manoir. Elle s’éveillait souvent la nuit, à cause de cauchemars qu’elle faisait, et j’étais le seul à pouvoir la calmer. A chaque retour à Poudlard, les autres me trouvaient l’air fatigué, mais j’éludais les questions en prétextant avoir passé une bonne partie de mon temps à faire la fête. Au château, je continuais de lui écrire même si je savais désormais que cela ne servait à rien. J’espérais qu’un jour elle me répondrait… J’ai attendu jusqu’à la quatrième année, avant d’être obligé de cesser toute correspondance.
Jusque là, tout avait continué à bien se dérouler. Les cours ne présentaient aucune difficulté pour moi, je regrettais seulement que l’étude de la magie noire ne fût pas au programme comme à Durmstrang. On a parfois jugé que j’adoptais une attitude supérieure envers les autres parce que j’en savais plus ; ce n’est pas tout à fait vrai. C’est juste que j’ai été parfois étonné qu’on apprenne des choses qui me semblaient être la base et que je maîtrisais depuis longtemps, d’où parfois la manifestation d’une certaine impatience devant la lenteur de l’apprentissage.
Pour compléter mes connaissances, je passais de longs moments à la bibliothèque à chercher des livres sur tous les sujets qui pouvaient m’intéresser…je crains que ça ne m’ait un peu coupé des autres élèves. Je préférais apprendre tout ce que je pouvais, accroître encore mes connaissances…la magie quelle que soit sa forme, sa nature m’a toujours fasciné et je voulais tout connaître d’elle. J’étais avide de savoir. Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’entrer de nuit –je dors mal, j’ai souvent des insomnies, alors autant éviter de perdre des heures à ne rien faire- dans la Réserve pour y parcourir des livres interdits…et follement intéressants.
J’ai continué ainsi jusqu’à la quatrième année. Mes relations avec mon père ont continué de se dégrader ; je savais qu’il se rapprochait toujours plus des Mangemorts, qu’il les voyait lors de réunions, qu’il souhaitait m’y entraîner aussi mais j’espérais encore qu’il ne franchirait pas le pas. Lourde erreur. Ma position a parfois été ambivalente sur le sujet, j’avoue que les pouvoirs de Voldemort me tentaient, la reconnaissance qu’il pouvait m’accorder, aussi. Mais d’un autre côté, je ne voulais pas ruiner tous les efforts que je faisais pour devenir quelqu’un de bien. Verser dans le meurtre gratuit, merci bien. J’ai fini par me positionner fermement contre les Mangemorts, ce qui a particulièrement déplu à mon père, qui a alors tenté de me débarrasser de toute « faiblesse morale », comme il disait. On aurait peut-être pu tenir ainsi jusqu’à la septième, jusqu’à ce que j’atteigne ma majorité. J’en doute cependant.
Un soir, j’ai eu le malheur d’entendre une de leurs conversations de Mangemorts pendant les vacances de Noël, au cours de ma quatrième année. Mon père m’a surpris en train de les écouter et a commencé à me reprocher mon comportement indigne, selon lui. Je me suis emporté à mon tour : comment pouvait-il me parler de la sorte alors qu’il manigançait des attaques contre des Moldus avec les Mangemorts ? Il a voulu me forcer à me soumettre, à lui obéir. Comme nous sommes aussi sanguins l’un que l’autre, l’affaire a vite dégénéré en duel magique. Chouette façon de passer Noël en famille, n’est-ce pas ?
Disons-le franchement, ça ne s’est pas très bien passé pour moi. Malgré tout ce que j’avais appris, mon père me dominait encore largement. Et se prendre le Doloris à plusieurs reprises, lancé par son propre père, n’est pas une expérience que je recommande.
Je n’ai réussi à m’enfuir que de justesse. Gravement blessé au visage, j’ai trouvé refuge chez une famille d’un village voisin : j’avais lié connaissance avec un enfant moldu lors d’une promenade en première année. Sa mère était sorcière mais pas le reste de sa famille, ce qui me garantissait une certaine sécurité. J’espérais que la médecine moldue, dont j’ignorais tout, alliée aux pouvoirs de la mère de mon camarade, serait assez efficace pour soigner le maléfice de mon père. En réalité, il aurait fallu les guérisseurs de Ste Mangouste. Ils ont fait ce qu’ils ont pu…j’en garde une belle cicatrice.
J’ai néanmoins pu récupérer une partie de mes affaires : désobéissant sans doute aux ordres paternels, notre elfe de maison a déposé, une nuit, ma malle de Poudlard, bourrée de tout ce qu’elle avait pu y faire tenir, avec, à côté, un gros sac de Gallions qui me permettrait de m’en sortir un certain temps.
Le temps de guérir, j’avais manqué la rentrée des vacances à Poudlard. En arrivant, je craignais les questions des autres élèves, qui n’ont pas manqué de pleuvoir. J’ai tout éludé. Aucune envie de leur révéler ce qui m’était arrivé. C’est ma vie privée et cela ne regarde que moi.
Pour autant que j’en sache, mon père est toujours à ma recherche…enfin, il sait où je passe les trois quarts de l’année mais je suis hors d’atteinte. Il me suffit juste de prendre certaines précautions pendant les vacances d’été, que je passe dans le monde des Moldus. Heureusement que la magie permet de faire apparaître des billets ! Cela ne fonctionne pas avec l’argent magique, cependant, et il est aussi impossible de changer du faux argent moldu en Gallions, les gobelins de Gringotts se rendent aussitôt compte de la fraude. Dommage. Mes réserves ne sont pas inépuisables et il faut que je maintienne à tout prix les apparences aux yeux des autres.
Peu de choses à dire sinon, sur la cinquième année. J’ai continué à lire autant qu’avant, en évitant désormais les livres qui traitaient explicitement de magie noire : je ne veux plus avoir à faire à elle. Ce n’est pas sur ce terrain que je battrai mon père, si nous devons nous rencontrer un jour ; j’étudie donc plutôt les hautes arcanes de la magie blanche et la vieille magie. Les BUSEs se sont très bien passés, les résultats ont été à la hauteur de ce que j’attendais. Cela me permet maintenant de poursuivre les matières qui me permettront de devenir Auror, un choix arrêté depuis deux ans. Je n’ai qu’une envie : envoyer tous les Mangemorts à Azkaban.
Trop exigeant ♦ Susceptible ♦ Sincère ♦ Intelligent, avide d'apprendre ♦ Fier
Physiquement je suis...
Hum, difficile de se décrire soi-même ! Commençons par le plus simple : je suis plutôt grand (je dois frôler le mètre quatre-vingts), assez mince, sans pour autant être maigre. Mes cheveux sont noirs, quelque peu épais, mi-longs –cela fait deux ans que je les laisse un peu pousser, après avoir arboré pendant des années une stricte coupe courte. Côté yeux, ils sont gris, ni trop clairs, ni trop foncés, assez perçants, l'habitude de la légilimancie sans doute qui joue beaucoup sur les regards. Regarder quelqu'un avec attention met souvent mal à l'aise et rend la personne plus vulnérable. Visage fin, teint clair, allure parfois qualifiée de hautaine ou d'aristocratique (bien que je déteste ce mot!)…Le fait est que j’ai l’air sûr de moi. C'est essentiel pour dissimuler ses sentiments et une quelconque faiblesse. Ne jamais laisser de prise sur soi aux autres.
On m’a déjà dit que j’étais beau ; ce fut peut-être le cas. Mon bien-aimé père s’est chargé de rectifier la chose. Notre dernière dispute, au cours de ma quatrième année, a dégénéré en duel magique et il m’a laissé un charmant souvenir : une grande cicatrice, pas très belle, qui part du coin de l’œil et descend le long de la joue gauche, pour s’arrêter quasiment à la mâchoire. D’où l’intérêt de se laisser pousser les cheveux pour la dissimuler du mieux possible, même si je sais bien que c’est inutile. Ce n’est pas que j’en ai honte, mais je ne supporte pas que les gens me dévisagent. Compréhensible, n'est-ce pas?
Niveau vestimentaire...eh bien, disons qu'élégance n'est pas un vain mot pour moi. J'ai grandi dans un milieu qui l'exige mais je n'y vois pas une contrainte, bien au contraire. Pantalon droit -pas de jean-, chemise (blanche la plupart du temps), veste et pochette, voilà l'essentiel. Un costume de temps en temps, ou pour les grandes occasions. Il fut un temps, je portais une chevalière aux armes de ma famille mais elle est désormais soigneusement remisée au fond de ma malle et n'a pas vocation à en sortir.
Hum, difficile de se décrire soi-même ! Commençons par le plus simple : je suis plutôt grand (je dois frôler le mètre quatre-vingts), assez mince, sans pour autant être maigre. Mes cheveux sont noirs, quelque peu épais, mi-longs –cela fait deux ans que je les laisse un peu pousser, après avoir arboré pendant des années une stricte coupe courte. Côté yeux, ils sont gris, ni trop clairs, ni trop foncés, assez perçants, l'habitude de la légilimancie sans doute qui joue beaucoup sur les regards. Regarder quelqu'un avec attention met souvent mal à l'aise et rend la personne plus vulnérable. Visage fin, teint clair, allure parfois qualifiée de hautaine ou d'aristocratique (bien que je déteste ce mot!)…Le fait est que j’ai l’air sûr de moi. C'est essentiel pour dissimuler ses sentiments et une quelconque faiblesse. Ne jamais laisser de prise sur soi aux autres.
On m’a déjà dit que j’étais beau ; ce fut peut-être le cas. Mon bien-aimé père s’est chargé de rectifier la chose. Notre dernière dispute, au cours de ma quatrième année, a dégénéré en duel magique et il m’a laissé un charmant souvenir : une grande cicatrice, pas très belle, qui part du coin de l’œil et descend le long de la joue gauche, pour s’arrêter quasiment à la mâchoire. D’où l’intérêt de se laisser pousser les cheveux pour la dissimuler du mieux possible, même si je sais bien que c’est inutile. Ce n’est pas que j’en ai honte, mais je ne supporte pas que les gens me dévisagent. Compréhensible, n'est-ce pas?
Niveau vestimentaire...eh bien, disons qu'élégance n'est pas un vain mot pour moi. J'ai grandi dans un milieu qui l'exige mais je n'y vois pas une contrainte, bien au contraire. Pantalon droit -pas de jean-, chemise (blanche la plupart du temps), veste et pochette, voilà l'essentiel. Un costume de temps en temps, ou pour les grandes occasions. Il fut un temps, je portais une chevalière aux armes de ma famille mais elle est désormais soigneusement remisée au fond de ma malle et n'a pas vocation à en sortir.
Moralement je suis...
Honnêtement, je ne sais pas trop. Je veux dire…j’essaie toujours d’appliquer les précieux avis de mon cousin mais c’est parfois loin d’être évident.
Vantard, prétentieux, hautain, méprisant, persuadé d’être meilleur que tout le monde quand j’étais petit, certainement. Je possédais l’assurance de ceux qui ont un nom qui compte et savent s’en servir. On m’a parfois dit que cela cachait un manque de confiance en soi, que je voulais m'affirmer à côté de mon père qui me dominait. Je ne sais pas vraiment ; à l’époque, je voulais vraiment lui ressembler et je calquais mon attitude sur la sienne.
J’ai tenté de rectifier le tir par la suite, mais c'est difficile de changer seul, surtout avec quelqu'un en face qui essaie de ruiner tous vos efforts. Il m’arrive encore de céder à un excès de prétention de temps à autres (grâce à mon père, j’ai toujours eu beaucoup d’avance sur les cours, ce qui n’aide pas) mais cela devient rare. Sale caractère, oui, tout droit hérité de mon père. Nous sommes aussi prompts à la colère, aussi sanguins l’un que l’autre, et je l’ai payé cher. Au moins, je ne partage plus ses idées sur le sang-pur, ni sur les Moldus.
J’ai toujours été beaucoup attiré par le pouvoir et la connaissance, la reconnaissance aussi. Là aussi, dur de s’en défaire. On va dire que j’ai simplement changé de centre d’intérêt. Au lieu de la magie noire, je préfère étudier la magie blanche ou, au-delà, la vieille magie.
Par ailleurs, je peux me montrer très exigeant, tant envers les autres qu’envers moi-même. Mon père m’a sans cesse poussé à chercher l’excellence toujours et partout et c’est vrai que j’ai du mal à comprendre ceux qui ne font pas d’efforts pour réussir, simplement par paresse. De fait, j’ai parfois l’air assez froid, distant…surtout que je ne cherche pas particulièrement à fréquenter les autres. J’ai pris l’habitude de me débrouiller seul, et je mets un point d’honneur à ne pas demander d’aide.
Que dire d’autre ? Ah, bien sûr. Je ne suis pas un menteur. On peut sans doute me reprocher beaucoup de chose, mais pas cela. Petit, j’avais tendance à faire des compromis avec la réalité, à détourner un peu la réalité pour qu’elle m’arrange. Fini, maintenant. La vérité, toujours. Je ne supporte pas qu’on mette en doute ma parole. Et je serais prêt à défendre jusqu’au bout une cause en laquelle je crois, en l’occurrence celle de ceux qui combattent Voldemort.
Honnêtement, je ne sais pas trop. Je veux dire…j’essaie toujours d’appliquer les précieux avis de mon cousin mais c’est parfois loin d’être évident.
Vantard, prétentieux, hautain, méprisant, persuadé d’être meilleur que tout le monde quand j’étais petit, certainement. Je possédais l’assurance de ceux qui ont un nom qui compte et savent s’en servir. On m’a parfois dit que cela cachait un manque de confiance en soi, que je voulais m'affirmer à côté de mon père qui me dominait. Je ne sais pas vraiment ; à l’époque, je voulais vraiment lui ressembler et je calquais mon attitude sur la sienne.
J’ai tenté de rectifier le tir par la suite, mais c'est difficile de changer seul, surtout avec quelqu'un en face qui essaie de ruiner tous vos efforts. Il m’arrive encore de céder à un excès de prétention de temps à autres (grâce à mon père, j’ai toujours eu beaucoup d’avance sur les cours, ce qui n’aide pas) mais cela devient rare. Sale caractère, oui, tout droit hérité de mon père. Nous sommes aussi prompts à la colère, aussi sanguins l’un que l’autre, et je l’ai payé cher. Au moins, je ne partage plus ses idées sur le sang-pur, ni sur les Moldus.
J’ai toujours été beaucoup attiré par le pouvoir et la connaissance, la reconnaissance aussi. Là aussi, dur de s’en défaire. On va dire que j’ai simplement changé de centre d’intérêt. Au lieu de la magie noire, je préfère étudier la magie blanche ou, au-delà, la vieille magie.
Par ailleurs, je peux me montrer très exigeant, tant envers les autres qu’envers moi-même. Mon père m’a sans cesse poussé à chercher l’excellence toujours et partout et c’est vrai que j’ai du mal à comprendre ceux qui ne font pas d’efforts pour réussir, simplement par paresse. De fait, j’ai parfois l’air assez froid, distant…surtout que je ne cherche pas particulièrement à fréquenter les autres. J’ai pris l’habitude de me débrouiller seul, et je mets un point d’honneur à ne pas demander d’aide.
Que dire d’autre ? Ah, bien sûr. Je ne suis pas un menteur. On peut sans doute me reprocher beaucoup de chose, mais pas cela. Petit, j’avais tendance à faire des compromis avec la réalité, à détourner un peu la réalité pour qu’elle m’arrange. Fini, maintenant. La vérité, toujours. Je ne supporte pas qu’on mette en doute ma parole. Et je serais prêt à défendre jusqu’au bout une cause en laquelle je crois, en l’occurrence celle de ceux qui combattent Voldemort.
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Dernière édition par Leroy de Louvière le Mar 20 Sep - 17:49, édité 17 fois
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenue parmi nous ! =)
J'espère que tu te plairas sur le forum.
Si besoin d'une quelconque aide, n'hésites pas
Dis moi, tu n'es pas sur Fizwizbiz ? Il y a un Leroy là bas aussi ? ( et donc, sur MT aussi ? )
J'espère que tu te plairas sur le forum.
Si besoin d'une quelconque aide, n'hésites pas
Dis moi, tu n'es pas sur Fizwizbiz ? Il y a un Leroy là bas aussi ? ( et donc, sur MT aussi ? )
Invité- Invité
Re: Leroy, pour vous servir
Dorcas Meadowes a écrit:Oui, oui, tu crois bien. Bienvenue par ici.
- Spoiler:
Oksana Sah ? ^^
Merci
Et oui, c'est bien ce pseudo! =)
@Gabrielle: merci! Ah non, là, par contre, ce n'est pas moi. Je ne connais pas ces forums.
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenue par ici !!!
- Spoiler:
- Euh... ne serais-tu pas Leroy D'Ambierle ailleurs ?
Aaron Köln- Messages : 47
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenue :°
- Spoiler:
- J'en met un puisque tout le monde en met mais en plus il me semble que Kevin Zegger est déjà pris comme avatar dans les post vacant par le frère cadet de Lae non ?
Julie Palmer- Messages : 64
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Leroy, pour vous servir
@Aaron: merci! Et oui, oui, c'est bien moi =D
@Julie: Merci! ^^ Ah oui, effectivement pour l'avatar, on ne regarde jamais assez...j'avais vérifié dans la section des personnages vacants qu'il n'était pas pris, mais je n'avais pas vu celle des persos prédéfinis par les membres. Je changerai alors =)
@Julie: Merci! ^^ Ah oui, effectivement pour l'avatar, on ne regarde jamais assez...j'avais vérifié dans la section des personnages vacants qu'il n'était pas pris, mais je n'avais pas vu celle des persos prédéfinis par les membres. Je changerai alors =)
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Ben après faut voir avec Gaby et Lae
Julie Palmer- Messages : 64
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenuuue
Je ne mets pas de spoiler car je suis unique sort vite...très vite
Je ne mets pas de spoiler car je suis unique sort vite...très vite
Invité- Invité
Re: Leroy, pour vous servir
Merci à tous!
@Opale: "Petit" Français? Je ne suis pas certain que l'adjectif convienne, dans quelque sens qu'on le prenne.
@Opale: "Petit" Français? Je ne suis pas certain que l'adjectif convienne, dans quelque sens qu'on le prenne.
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenue parmi nous très cher ! Vu votre illustre nom je suppose qu'il faudra emplyé un langage soutenu pour converser avec votre personne ^^
Invité- Invité
Re: Leroy, pour vous servir
@Sunday: Oh oh, en voilà une qui a de l'humour, dirait-on... Je répondrais bien "oui" à ta supposition, rien que pour le plaisir de t'entendre me parler ainsi, mais comme j'ai coupé tous les liens avec ma chère famille, je t'en dispenserai. Tu peux donc me parler comme au commun des mortels.
[et merci pour la bienvenue! =D]
[et merci pour la bienvenue! =D]
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Alors, me voilà enfin pour m'occuper de ta fiche !! =)
Tout d'abord, la célébrité de ton avatar est en effet déjà prise par un pv. Je te demanderais donc d'en changer. Par ailleurs, il est stipulé dans le règlement qu'il faut avoir un avatar de 200*320 ou 200*400.
Ton histoire est intéressante, le nombre de lignes est largement respecté, tu décris très bien le style de vie de ton personnage et les idéaux de sa famille. Rien à dire.
Par ailleurs, la description physique est trop courte. Il faut faire minimum 15 lignes La description du caractère est en ordre elle.
Il ne te reste plus qu'à modifier tout cela, et à attendre que le Choixpeau vienne te répartir !! =) Bonne chance !
Tout d'abord, la célébrité de ton avatar est en effet déjà prise par un pv. Je te demanderais donc d'en changer. Par ailleurs, il est stipulé dans le règlement qu'il faut avoir un avatar de 200*320 ou 200*400.
Ton histoire est intéressante, le nombre de lignes est largement respecté, tu décris très bien le style de vie de ton personnage et les idéaux de sa famille. Rien à dire.
Par ailleurs, la description physique est trop courte. Il faut faire minimum 15 lignes La description du caractère est en ordre elle.
Il ne te reste plus qu'à modifier tout cela, et à attendre que le Choixpeau vienne te répartir !! =) Bonne chance !
Invité- Invité
Re: Leroy, pour vous servir
@Kimberley: Merci! La première impression que j'ai du forum est bonne, aucune raison que je ne me plaise pas ici =)
@Gabrielle: Pour l'avatar, je suis en train d'en chercher un autre; je n'enlève pas encore celui-là pour éviter l'image par défaut, mais je le fais dès que j'ai trouvé! [D'ailleurs, si quelqu'un a des idées, je suis preneuse!] Et j'essayerai de trouver un avatar qui ne se déforme pas trop au changement de taille ^^"
Je viens de régler le problème de la description physique.
@Gabrielle: Pour l'avatar, je suis en train d'en chercher un autre; je n'enlève pas encore celui-là pour éviter l'image par défaut, mais je le fais dès que j'ai trouvé! [D'ailleurs, si quelqu'un a des idées, je suis preneuse!] Et j'essayerai de trouver un avatar qui ne se déforme pas trop au changement de taille ^^"
Je viens de régler le problème de la description physique.
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
L'avatar n'est toujours pas bon, mais j'ai fait un essais, j'espère que ça t'ira : https://i.servimg.com/u/f40/14/90/99/01/dfb72810.jpg
Ou sinon donne moi une image qui te plait et je te la met à la bonne taille ça prend juste quelques minutes =)
Le Choixpeau ne tardera pas à passer =)
Ou sinon donne moi une image qui te plait et je te la met à la bonne taille ça prend juste quelques minutes =)
Le Choixpeau ne tardera pas à passer =)
Invité- Invité
Re: Leroy, pour vous servir
Il est écrit que je ne serais jamais douée avec ce genre de manipulation informatique ^^" L'essai que tu as fait me convient parfaitement, merci beaucoup!
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
"Une soif de connaissance, beaucoup d'intelligence...hm...il semblerait que tu ais des qualités que les bleus et bronze pourraient apprécier. Tâche cependant de ne pas être trop exigent envers toi même, et les autres. Le pouvoir est envoûtant, mais terriblement dangereux. SERDAIGLE, t'apprendra sans doute bien des leçons, en espérant que tu feras l'apprentissage de la vie de la meilleure façon possible. Bienvenue chez les érudits !"
Le Choixpeau Magique- Messages : 128
Date d'inscription : 09/03/2010
Localisation : Dans le bureau de Dumbledore
Re: Leroy, pour vous servir
Merci le Choixpeau! =D
On verra ce que j'ai fait de tes conseils au long de ma scolarité...
On verra ce que j'ai fait de tes conseils au long de ma scolarité...
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Bienvenue parmi nous
Et n'oublies pas la partie après la répartition
Et n'oublies pas la partie après la répartition
Lucas Crawd- Messages : 511
Date d'inscription : 20/09/2010
Age : 30
Localisation : dans les coins isolés du château
Re: Leroy, pour vous servir
Merci! =D
Et non, je n'oublie pas, c'est en cours (mais je crois que ma prof de lettres n'aurait pas apprécié que je privilégie Poudlard à son commentaire maudit, je ne sais pas pourquoi...). Ce sera là demain, normalement.
EDIT: Fiche éditée.
Et non, je n'oublie pas, c'est en cours (mais je crois que ma prof de lettres n'aurait pas apprécié que je privilégie Poudlard à son commentaire maudit, je ne sais pas pourquoi...). Ce sera là demain, normalement.
EDIT: Fiche éditée.
Leroy de Louvière- Messages : 335
Date d'inscription : 16/09/2011
Age : 33
Localisation : Quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème
Re: Leroy, pour vous servir
Saloute Monsieur De Louviere.
En esperant que tu t'amuses parmis nous!
En esperant que tu t'amuses parmis nous!
Invité- Invité
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