Bellatrix Lestrange [Terminée !!!]

[Bellatrix Lestrange]

Nom : Black épouse Lestrange
Prénom : Bellatrix
Surnom : Bella (seul le Maître des Ténèbres peut m’appeler ainsi...)
Âge : 25
Date & Lieu de naissance : 1951, manoir des Black
Sexualité : Hétérosexuelle Voldemortophile
Sang : Pur
Quel était votre maison à Poudlard Serpentard
Situation : Mariée
Métier : Lieutenant des Mangemorts
Baguette : Noyer, ventricule de dragon, 31,8 cm
Patronus : Je ne peux pas en former un... je suis le mal incarné.
Avatar : Helena Bonham Carter

Pour en savoir plus

Spoiler:

"Il y a dans la douleur une pureté infatigable"

Votre histoire avant et pendant Poudlard

Mes parents m'ont donné le nom d'une étoile, celle de la constellation Orion dont le sens se rapporte à "guerrière". On l'appelle aussi "l'étoile amazone", et ceux qui me connaissent bien savent que je suis aussi brillante et mortelle qu'elle. Bellatrix Black, l'étoile amazone, ne pouvait naître que pour accomplir de grandes choses. Avec une telle ascendance et un tel prénom...
Je suis née fille unique : mes sœurs Andromeda et Narcissa sont venues après. J'ai toujours beaucoup ressemblé beaucoup à Andromeda par le physique, moins par le caractère. Celui-ci se rapproche davantage de celui de Narcissa et, malgré nos quatre ans de différence, j'ai entretenu dès l'enfance un lien tout particulier avec elle. Dès mes six ans, déclarant mon autorité sur mes deux sœurs de par mon droit d'aînesse, nous faisions les quatre cent coups : notre jeu le plus divertissant était de rendre fous les enfants des voisins moldus, puisque nous avions le malheur, en dépit de notre acsendance si pure, d'habiter en plein Londres moldu. J'aurais préféré grandir à l'écart de la plèbe, de ces moins que rien, mais avec le recul je me demande si je ne serais pas passée à côté de la grande vérité, si je n'aurais pas tourné comme cette gourde d'Andromeda qui, par son caractère si tendre, s'est laissée avoir et a pris le parti des moldus.
Je me souviens de cette fois où nous avions tué le chiot du petit voisin. Non, où moi, à sept ans, j'avais tué le chiot du voisin sous le regard admiratif et terrifiée de mes deux sœurs. Le gamin avait tellement pleuré, surtout quand je m'étais amusée, à l'aide d'une magie que je pratiquais alors instinctivement, à agiter le cadavre en tous sens dans les airs. Les cris du gamins, montant dans le suraigus, avaient tant affolé le voisinage que tout le monde était sorti. Même si le gamin n'avait pas compris par quel moyen j'avais pu tuer le chien sans le toucher, il m'avait vue rire puis accusée. Ayant déjà un passif de peste dans le quartier, tous les moldus l'avaient cru. Père m'avait passé le savon du siècle, mon dos se souvient encore de ses coups de canne. Pour autant, à la fin de ma punition pour avoir commis cette bêtise, il m'avait glissé : "La prochaine fois, sois plus discrète." C'était là l'erreur que j'avais commise : je n'avais pas bien maquillé mon forfait. Pour le reste, il m'approuvait.
Et il m'encouragea.
Je grandis entourée de l'amour de mes parents et de mes sœurs. Un amour parfois dur, sévère, rigide qui pouvait s'apparenter à un traitement impitoyable, mais je savais que mon père exigeait simplement de moi ce qu'il savait pouvoir obtenir : le meilleur.
A dix ans, il me surprit à pratiquer le sortilège du Doloris sur une grenouille.
"C'est interdit." avait-il dit.
J'avais alors compris "Tout va bien tant que tu ne te fais pas surprendre par un autre que moi."
Tout est bien allé.
La seule ombre au tableau n'était autre que ma sœur Andromeda, trop molle, trop douce, et cet idiot de petit cousin Sirius qui osait me dénoncer à chaque forfait que je commettais. Mon père me punissait durement pour m'être faite avoir par un plus petit que moi.
A onze ans, j'étais la première à entrer à Poudlard et à faire la fierté de ma famille en poursuivant la tradition familiale et en allant à Serpentard. Je me fis des amis, rares mais importants, dont mon futur époux, Rodolphus. C'est aussi à Poudlard, école de magie ancienne et renommée mais fréquentée par de plus en plus de sales sang-de-bourbe, que je rencontrai son frère Rabastan, lequel aurait fait un meilleur époux pour moi : je n'aurais pas hésité à le tromper comme il m'aurait trompée, tout en accomplissant notre devoir conjugal. Une entente parfaite...
Mes sept années à Poudlard sont comme un long fleuve trop lent et trop tranquille qui m'a conduit au jour que j'attendais avec le plus d'impatience : mes dix-sept ans.
Ce jour-là, de fiancée, je devins épouse.
En plus d'une bague en argent du plus bel effet à ma main gauche, j'obtins également ce que j'attendais depuis que je l'avais croisé, lui, le Lord.
Mon tatouage.
J'étais en fin de sixième année quand je le reçus. Ce fut le plus beau jour de ma vie. Au premier jour de mes vacances, j'avais été conviée à une réunion de famille que je savais d'avance spéciale, particulière : mes parents m'avaient ordonné de mettre mes plus beaux habits, mais aussi les plus sobres que je possédais. Ma mère avait fait tailler un corsage spécialement pour ce jour-là. Dessus, entre les agrafes qui apparaissaient sur le devant du vêtement, un serpent argenté serpentait de mon bas-ventre à la naissance de ma poitrine, pudiquement dissimulée sous un voile de crêpe noire.
Le Lord me sourit en voyant cela, et j'osais lui répondre d'un même sourire qui signifiait la même chose.
Je savais que j'allais réussir à purger Poudlard, puis l'Angleterre, puis le monde.
A ses côtés.
Lord Voldemort.

Votre histoire après Poudlard

Dès ma sortie de Poudlard, je rejoignis à plein temps les rangs du Seigneur des Ténèbres. A quoi bon travailler quand on descend d'une famille si riche, qu'on est si bien dotée, et que la fortune de votre époux est encore plus vaste que la vôtre ? Nous avions placé l'argent sur quelques comptes, en bourse sorcière, et il faisait tranquillement ses petits tandis que nous travaillons à quelque chose qui produirait bien plus que de l'argent ou de la richesse : la pureté.
Rodolphus n'hésita pas à me suivre dans ma course contre les moldus. Mangemort lui aussi, je me sentais néanmoins mal assortie avec lui. Si j'avais dû épouser quelqu'un à mon goût, ç'aurait été son frère, Rabastan, ou bien... je n'osais pas formuler cela à voix haute, mais le Seigneur des Ténèbres m'aurait convenue. Je lui aurais donné de beaux enfants, une armée d'enfants s'il l'avait désiré, et sa descendance aurait vaincu la mort pour lui, même si j'ai foi en ses pouvoirs et que je sais qu'il parviendra à défaire l'Ankou.
Je n'ai donc eu de cesse de travailler à la grande oeuvre du Seigneur des Ténèbres : je suis fidèlement ses ordres et, peu à peu, j'ai gravi les échelons dans la hiérarchie, et également dans sa confiance. A 25 ans, je suis le Mangemort le plus proche de lui, non parce que nous partageons quoique ce soit de niais comme l'amour, non. C'est très différent. Nous partageons ce bonheur, cette joie intime et intérieure de voir le monde brûler.
Brûler pour mieux renaître, bien entendu, à l'image du phénix du vieux Dumby que je n'ai jamais aimé, d'autant plus depuis qu'il a embrassé la cause moldue et qu'il défend leur droit à l'instruction sorcière. Quel idiot !
Et depuis qu'il a créé son satané ordre du phénix... j'aime encore plus le haïr, car il me donne une bonne raison d'exercer ce qu'il y a de meilleur chez moi : ma fureur de vivre et de tuer. Tuer l'ennemi, l'éliminer. C'est ce quie je fais de mieux. Mon prénom ne ment pas : je suis une guerrière, la guerrière. La plus brillante, la plus terrifiante, la plus puissante. De tous les Mangemorts, je suis celle qu'il faut craindre.
Car c'est dans ma nature de tuer. Pas seulement mon goût : ma nature.
Mon essence.
Ma substantifique moelle...
Ce n'est pas pour rien qu'à seulement vingt-cinq ans, je suis devenue le premier lieutenant du Seigneur des Ténèbres. Peut-être un jour me fera-t-il l'honneur de ses confidences autres que tactiques, de sa confiance, de ses ténèbres... je lui suis fidèle, d'abord parce que je crois en sa cause, ensuite parce que j'ai envie qu'il m'aime autant que je l'aime.
Cela n'arrivera peut-être jamais, mais j'emploierai chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour à lui plaire, ou tenter de lui plaire tout du moins...

Sadique, fanatique, loyale, impitoyable, déterminée

Physiquement, je suis...

Ma famille, mes amis et mes ennemis vous le diront bien : j'ai tout d'une Black. Du port de tête altier qui témoigne de ma haute naissance jusqu'à la noirceur ténébreuse de mes cheveux, je suis l'héritière d'une magie et d'un physique ancestraux. Une Black, une vraie, jusqu'au bout de mes ongles soigneusement manucurés. Je suis grande et brune, froide et belle. Mes yeux sont deux perles noires dans un écrin de chair blanche. Mes paupières lourdes, tombantes diraient certains, accentuent mon air arrogant. Je souris souvent, jamais pour partager la joie, seulement la souffrance. Je ris beaucoup de la souffrance d'autrui. Mon visage est très expressif ; surtout quand je suis heureuse. Ce qui arrive le plus souvent quand autrui est en souffrance, au bout de ma baguette...
Noir est mon nom, noire est la magie que je pratique et, donc, noirs sont mes vêtements. Il se marie avec tout, surtout avec mon teint de porcelaine et la marque des ténèbres sur mon avant-bras gauche. J'aime porter des robes de l'ancien temps sorcier, un temps où le mot "aristocratie" voulait encore dire quelque chose et faisait trembler et pisser la plèbe dans ses chausses. Les corsages en velours ont ma préférence, et j'aime les associer à divers serre-taille. Si les robes à tournures n'étaient pas aussi encombrantes, j'en mettrai bien plus souvent aussi.
Mon mari Rodolphus vous dira qu'il a hérité de la plus voluptueuse des filles Black, la plus belle aussi. Je suis bien en chair sans être grosse, une femme qui lui donnera de beaux enfants au sang aussi pur que celui de leurs parents. Une femme faite pour enfanter, définitivement. Beaux seins, belles fesses, dirait mon époux, mais je n'entrerai pas dans les détails de mon corps entier... le reste ne vous regarde pas.

Moralement, je suis...

Mes ennemis me définissent comme sadique, fanatique et impitoyable. Mes amis sont à peu près du même avis, sauf qu'ils remplacent "fanatique" par "fidèle". Je ne suis pas devenue le lieutenant du Maître des Ténèbres simplement par hasard, ou pour mes compétences : il me fait une entière confiance. Je suis quelqu'un d'entier, nos caractères s'accordent, j'avoue que j'ai tendance à le vénérer mais je ne suis pas non plus aveugle : son projet est vrai, bon, juste. Il veut purger le monde de ses parasites, et quel bon maître ne voudrait pas épargner à son chien tiques, puces et autres insectes ? La Magie mérite des sorciers purs, comme nous, les Mangemorts. Je crois dur comme fer à ce combat, à la cause que je défend. Je mourrais pour le Lord si je le devais. Je tuerai. Je l'ai déjà fait, pour cela. Tuer ne m'effraie pas. Ce qui m'effraie et, pire, me met en colère, c'est la défaite. Pas un seul expelliarmus ne m'a jamais retiré ma baguette magique, j'ai toujours réussi à la retenir juste à temps.
Car oui, dois-je aussi préciser que je suis une duelliste émérite, même si pas très honnête ? Invaincue jusqu'à ce jour, et probablement invaincue jusqu'à la fin de mes jours. Ce n'est pas de la prétention, c'est la vérité. Je déteste l'hypocrisie et la fausse modestie. Je suis douée, je le sais, tout le monde le sait, alors pourquoi m'en cacher ? Tout le monde le sait, et tout le monde me craint.
J'aime le sortilège du doloris car il enseigne à la fois la valeur de la douleur, sa beauté et sa préciosité. La douleur est ce qui nous maintient en vie. L'avada kedavra est bien moins poétique : trop rapide, trop final pour moi. Quant à l'imperio, je ne l'aime guère : je préfère manipuler mes victimes pour les amener à agir plutôt que d'utiliser la magie en ce cas. C'est tellement plus... drôle.
J'ai également un humour bizarre, qui passe souvent par la douleur d'autrui. Mais essayez, vous verrez, c'est tellement drôle !

Prénom ou Pseudo : Gaby/Dodo
Âge : 24
Expérience en rp : une dizaine d'années je crois...
Tu as lu le règlement ? ouaip !
Code : [validé par D.]
Double(s) compte(s) ? Oui chef !
Comment as-tu connus le forum ? Google ^^
Que penses-tu du forum ? Je l'aime, sinon j'aurais pas de DC
Quelque chose à dire ? Nope ^^

Questionnaire pour savoir quel genre de prof' tu es !

Spoiler:

[Invité]

Bienvenu Bellatrix Bonne chance pour ta fiche

[Xenia P. Romanova]

Notre jolie Bellatrix

Bienvenue parmi nous, bonne chance pour la fiche

[Bellatrix Lestrange]

Merci

[Kaede]

Ma très chère cousine *Ironie* Bienvenue quand même Kkk~

[Jake Winchester]

Une Bella *o*
Bienvenue à toi sur le forum !

[Bellatrix Lestrange]

Ma très chère cousine *Ironie* Bienvenue quand même Kkk~

Cousin, un conseil : cours le plus vite et le plus loin possible... ENDOLORIS !

Une Bella *o*
Bienvenue à toi sur le forum !

Merci, jeune sang pur honorable !

[Xenia P. Romanova]

Alors comment avance cette fiche ?

[Dorcas Meadowes]

Alors comment avance cette fiche ?

J'étais en vacances mais elle va avancer ces jours-ci

[Dorcas Meadowes]

J'ai quasiment terminé ma fiche. Il ne me manque plus qu'à poster la dernière partie (après Poudlard) qui est en cours de finalisation.

[Xenia P. Romanova]

Bon ben tu te valideras toi même alors :p

[Dorcas Meadowes]

C'était pour qu'au moins un autre admin vise la fiche
Allez, zou, validé ! XD

[Contenu sponsorisé]